Dans certains quartiers, les filles se voient reprocher tout succès scolaire trop affiché

Ceux qui veulent soumettre les jeunes
filles à une police des mœurs en France
ne s’attaquent pas uniquement à leur
tenue vestimentaire ou à leur
comportement avec les garçons, mais
aussi à leur volonté de s’émanciper par
l’école et les études

« Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant
une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées »
Certaines filles de ce pays sont aujourd’hui menacées par une police des mœurs qui, dans la famille mais aussi à l’école, fait appliquer ses règles viri-
les en matière de comportements sociaux et religieux mais aussi… de modalités d’apprentissage : « Tu vas à l’école mais
fais-en sorte de ne pas trop montrer ton désir d’apprendre ; si tu ne portes pas le voile, tâche d’exhiber
le moins possible tes “appâts” ; évite toute singularité linguistique, tout comportement culturel étranger
à la norme tribale ; et surtout veille à soumettre tes fréquentations à l’autorité fraternelle ou paternelle. » Ce contrôle insidieux et parfois brutal engen-
dre des représailles qui ont récemment coûté la vie à des enfants de 15 ans coupables d’avoir désobéi aux règles archaïques.
Parmi les jeunes que des années de ghettoïsation ont cruellement privés du pouvoir de comprendre
et de se faire comprendre, beaucoup exhibent leurs insuffisances langagières et leur enfermement culturel comme un signe d’appartenance tri-
bale alors qu’ils ne sont que le résultat d’une injustice sociale inacceptable. Certains en viennent à
considérer le choix d’un mot un peu rare, ou la lecture d’un livre, comme la manifestation d’une
trahison culturelle et sociale, et souvent comme un aveu de féminité suspecte. L’affirmation d’une vi-
rilité triomphante se révèle donc dans l’usage d’un vocabulaire pauvre interdit de toute nuance et
dans le rejet de notre patrimoine culturel et historique. Il n’est donc pas étonnant que, dans ces
lieux d’enfermement soumis à la loi virile, ce soient d’abord les filles qui se voient reprocher
tout succès scolaire trop affiché, tout comportement social non conforme, tout marqueur linguis-
tique exogène.
Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent en effet très cher la supériorité de leurs
performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français. À
17 ans, la différence était en 2022 de plus de 4 points entre jeunes gens et jeunes filles en situa-
tion d’illettrisme. En 2024, l’étude du Centre national du livre révèle que les filles lisent plus de
23 minutes par jour alors que les garçons culnent à 6 minutes. Le crédit que beaucoup de filles
accordent aux activités intellectuelles que sont la lecture et l’écriture « longues », leur ouverture au
valeurs culturelles communes les rendent ainsi suspectes de « collaboration » et de trahison. Elles
doivent donc être surveillées et, de temps en temps, « mises au pas ». Féminité et « intellectualité » sont, au sein même de certains établisse-
ments scolaires, l’objet d’un même mépris.
 
En lui en interdisant l'accès si elle porte un voile ou une robe un peu trop longue...
Respecter la loi est valable pour toutes les religions, en plus il paraît que ça améliore les résultats scolaires:
«L’interdiction du voile a coïncidé avec une nette amélioration des résultats des jeunes filles musulmanes»
 

Chalou

🦟
VIB
L’interdiction du voile a coïncidé avec une nette amélioration des résultats des jeunes filles musulmanes
Et a coïncidé avec les résultats catastrophiques des autres élèves... Étrange...



Pour les jeunes filles musulmanes si tu fais tourner un peu ta cervelle tu sauras pourquoi les résultats de la deuxième générations de français d'origine étrangère sont meilleurs que ceux de la première... Ceux de la troisième meilleurs que ceux de la deuxième...
 
Et a coïncidé avec les résultats catastrophiques des autres élèves... Étrange...



Pour les jeunes filles musulmanes si tu fais tourner un peu ta cervelle tu sauras pourquoi les résultats de la deuxième générations de français d'origine étrangère sont meilleurs que ceux de la première... Ceux de la troisième meilleurs que ceux de la deuxième...
Il n'est pas question de générations et le pisa est une chute globale du niveau des élèves, tu mélanges tout.
 

de passage

I'm just passing through
VIB
On a hélas 2 cassos sur ce forum.
Lun dit les arabes ne connaissent pas leur langue ne comprennent rien à leur religion
Et l autre que les musulmans ne font que tuer, terroriser,
Le Monde serait beau sans ces musulmans. Alors commençons d'abord par exterminer les Palestiniens,il ne faut pas rater l'occasion.
 

de passage

I'm just passing through
VIB
La diabolisation de 2milliards de musulmans coûtent très cher, je ne savais pas pourquoi dépenser tant d'argent et d'effort
Aujourd'hui on sait c'est pour un seul objectif ou plutôt un rêve :
c'est qu un jour le monde dira
Oh que c'est beau l'extermination du peuple palestinien.
 

de passage

I'm just passing through
VIB
Un jour,en parlant avec un ami israélite
J'avais dit moise l'égyptien il me regarda étonnement..je réplique
Moise est né en Afrique, a vécu en Afrique et mort en Afrique,il n a jamais été hors l'Afrique, c'était un africain.
J'attendais sa réaction
Lui :" j'ai rien dit "
Il suffit d'expliquer les gens ne sont pas bêtes
Sauf les têtus bien sûr.
 
Ceux qui veulent soumettre les jeunes
filles à une police des mœurs en France
ne s’attaquent pas uniquement à leur
tenue vestimentaire ou à leur
comportement avec les garçons, mais
aussi à leur volonté de s’émanciper par
l’école et les études

« Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant
une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées »
Certaines filles de ce pays sont aujourd’hui menacées par une police des mœurs qui, dans la famille mais aussi à l’école, fait appliquer ses règles viri-
les en matière de comportements sociaux et religieux mais aussi… de modalités d’apprentissage : « Tu vas à l’école mais
fais-en sorte de ne pas trop montrer ton désir d’apprendre ; si tu ne portes pas le voile, tâche d’exhiber
le moins possible tes “appâts” ; évite toute singularité linguistique, tout comportement culturel étranger
à la norme tribale ; et surtout veille à soumettre tes fréquentations à l’autorité fraternelle ou paternelle. » Ce contrôle insidieux et parfois brutal engen-
dre des représailles qui ont récemment coûté la vie à des enfants de 15 ans coupables d’avoir désobéi aux règles archaïques.
Parmi les jeunes que des années de ghettoïsation ont cruellement privés du pouvoir de comprendre
et de se faire comprendre, beaucoup exhibent leurs insuffisances langagières et leur enfermement culturel comme un signe d’appartenance tri-
bale alors qu’ils ne sont que le résultat d’une injustice sociale inacceptable. Certains en viennent à
considérer le choix d’un mot un peu rare, ou la lecture d’un livre, comme la manifestation d’une
trahison culturelle et sociale, et souvent comme un aveu de féminité suspecte. L’affirmation d’une vi-
rilité triomphante se révèle donc dans l’usage d’un vocabulaire pauvre interdit de toute nuance et
dans le rejet de notre patrimoine culturel et historique. Il n’est donc pas étonnant que, dans ces
lieux d’enfermement soumis à la loi virile, ce soient d’abord les filles qui se voient reprocher
tout succès scolaire trop affiché, tout comportement social non conforme, tout marqueur linguis-
tique exogène.
Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent en effet très cher la supériorité de leurs
performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français. À
17 ans, la différence était en 2022 de plus de 4 points entre jeunes gens et jeunes filles en situa-
tion d’illettrisme. En 2024, l’étude du Centre national du livre révèle que les filles lisent plus de
23 minutes par jour alors que les garçons culnent à 6 minutes. Le crédit que beaucoup de filles
accordent aux activités intellectuelles que sont la lecture et l’écriture « longues », leur ouverture au
valeurs culturelles communes les rendent ainsi suspectes de « collaboration » et de trahison. Elles
doivent donc être surveillées et, de temps en temps, « mises au pas ». Féminité et « intellectualité » sont, au sein même de certains établisse-
ments scolaires, l’objet d’un même mépris.
À un moment il faut sortir la tête des médias mensongers et aller voir ce qui se passe ailleurs que derrière son petit écran.
 
Il y a des mecs qui sentent de l'insécurité ou une blessure narcissique quand les filles sont plus intelligentes et réussissent mieux qu'eux. :eek:

À côté de cela la Société fait croire aux Femmes qu'on réussit mieux en travaillant (avec le statut social qui va avec) que s'occuper de son Mari et ses Enfants. Le Bonheur d'une Femme et de sa Famille est là en Réalité.

Il suffit de voir comment les gens rabaissent les Femmes au Foyer, y compris des femmes entre-elles. C'est moche.

(Nb : Attention je ne dis pas qu'une Femme ne doit pas avoir un bagage études + métier.)
 
Ceux qui veulent soumettre les jeunes
filles à une police des mœurs en France
ne s’attaquent pas uniquement à leur
tenue vestimentaire ou à leur
comportement avec les garçons, mais
aussi à leur volonté de s’émanciper par
l’école et les études

« Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant
une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées »
Certaines filles de ce pays sont aujourd’hui menacées par une police des mœurs qui, dans la famille mais aussi à l’école, fait appliquer ses règles viri-
les en matière de comportements sociaux et religieux mais aussi… de modalités d’apprentissage : « Tu vas à l’école mais
fais-en sorte de ne pas trop montrer ton désir d’apprendre ; si tu ne portes pas le voile, tâche d’exhiber
le moins possible tes “appâts” ; évite toute singularité linguistique, tout comportement culturel étranger
à la norme tribale ; et surtout veille à soumettre tes fréquentations à l’autorité fraternelle ou paternelle. » Ce contrôle insidieux et parfois brutal engen-
dre des représailles qui ont récemment coûté la vie à des enfants de 15 ans coupables d’avoir désobéi aux règles archaïques.
Parmi les jeunes que des années de ghettoïsation ont cruellement privés du pouvoir de comprendre
et de se faire comprendre, beaucoup exhibent leurs insuffisances langagières et leur enfermement culturel comme un signe d’appartenance tri-
bale alors qu’ils ne sont que le résultat d’une injustice sociale inacceptable. Certains en viennent à
considérer le choix d’un mot un peu rare, ou la lecture d’un livre, comme la manifestation d’une
trahison culturelle et sociale, et souvent comme un aveu de féminité suspecte. L’affirmation d’une vi-
rilité triomphante se révèle donc dans l’usage d’un vocabulaire pauvre interdit de toute nuance et
dans le rejet de notre patrimoine culturel et historique. Il n’est donc pas étonnant que, dans ces
lieux d’enfermement soumis à la loi virile, ce soient d’abord les filles qui se voient reprocher
tout succès scolaire trop affiché, tout comportement social non conforme, tout marqueur linguis-
tique exogène.
Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent en effet très cher la supériorité de leurs
performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français. À
17 ans, la différence était en 2022 de plus de 4 points entre jeunes gens et jeunes filles en situa-
tion d’illettrisme. En 2024, l’étude du Centre national du livre révèle que les filles lisent plus de
23 minutes par jour alors que les garçons culnent à 6 minutes. Le crédit que beaucoup de filles
accordent aux activités intellectuelles que sont la lecture et l’écriture « longues », leur ouverture au
valeurs culturelles communes les rendent ainsi suspectes de « collaboration » et de trahison. Elles
doivent donc être surveillées et, de temps en temps, « mises au pas ». Féminité et « intellectualité » sont, au sein même de certains établisse-
ments scolaires, l’objet d’un même mépris.
J'ai la chance de côtoyer beaucoup de jeunes de quartiers par le biais d'une association et je ne vois rien de tout cela.
Ces jeunes filles galèrent pour trouver un stage et une alternance malgré leurs compétences et leurs motivations. Je ne te parle pas des jeunes filles qui portent le voile et qui voient toutes les portes se fermer devant elles.
Je n'ai aucun témoignage, je dis bien aucun témoignage de jeunes filles qui me disent que la pression du quartier ou de la famille les empêchent de réussir par l'école au contraire, elles représentent une fierté. En revanche, je peux te parler de dizaines de jeunes femmes qui vont te parler de cas de discrimination, de refus de stage,...
 
À côté de cela la Société fait croire aux Femmes qu'on réussit mieux en travaillant (avec le statut social qui va avec) que s'occuper de son Mari et ses Enfants. Le Bonheur d'une Femme et de sa Famille est là en Réalité.

J'ai pas précisé qu'en face le Mari est un Homme, pas un canard boiteux pas fiable, dans ce cas vaut mieux assurer ses arrières.
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
À côté de cela la Société fait croire aux Femmes qu'on réussit mieux en travaillant (avec le statut social qui va avec) que s'occuper de son Mari et ses Enfants. Le Bonheur d'une Femme et de sa Famille est là en Réalité.

Il suffit de voir comment les gens rabaissent les Femmes au Foyer, y compris des femmes entre-elles. C'est moche.

(Nb : Attention je ne dis pas qu'une Femme ne doit pas avoir un bagage études + métier.)

Je crois qu'il faut respecter le choix des femmes avant tout : travailler hors du foyer ou non, se marier ou non, avoir des enfants ou non. En d'autres termes, leur reconnaître un maximum de liberté, ne pas chercher à les enfermer dans un rôle unique ou une destinée unique, dont certaines ne veulent pas. :cool:
 
Ceux qui veulent soumettre les jeunes
filles à une police des mœurs en France
ne s’attaquent pas uniquement à leur
tenue vestimentaire ou à leur
comportement avec les garçons, mais
aussi à leur volonté de s’émanciper par
l’école et les études

« Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant
une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées »
Certaines filles de ce pays sont aujourd’hui menacées par une police des mœurs qui, dans la famille mais aussi à l’école, fait appliquer ses règles viri-
les en matière de comportements sociaux et religieux mais aussi… de modalités d’apprentissage : « Tu vas à l’école mais
fais-en sorte de ne pas trop montrer ton désir d’apprendre ; si tu ne portes pas le voile, tâche d’exhiber
le moins possible tes “appâts” ; évite toute singularité linguistique, tout comportement culturel étranger
à la norme tribale ; et surtout veille à soumettre tes fréquentations à l’autorité fraternelle ou paternelle. » Ce contrôle insidieux et parfois brutal engen-
dre des représailles qui ont récemment coûté la vie à des enfants de 15 ans coupables d’avoir désobéi aux règles archaïques.
Parmi les jeunes que des années de ghettoïsation ont cruellement privés du pouvoir de comprendre
et de se faire comprendre, beaucoup exhibent leurs insuffisances langagières et leur enfermement culturel comme un signe d’appartenance tri-
bale alors qu’ils ne sont que le résultat d’une injustice sociale inacceptable. Certains en viennent à
considérer le choix d’un mot un peu rare, ou la lecture d’un livre, comme la manifestation d’une
trahison culturelle et sociale, et souvent comme un aveu de féminité suspecte. L’affirmation d’une vi-
rilité triomphante se révèle donc dans l’usage d’un vocabulaire pauvre interdit de toute nuance et
dans le rejet de notre patrimoine culturel et historique. Il n’est donc pas étonnant que, dans ces
lieux d’enfermement soumis à la loi virile, ce soient d’abord les filles qui se voient reprocher
tout succès scolaire trop affiché, tout comportement social non conforme, tout marqueur linguis-
tique exogène.
Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent en effet très cher la supériorité de leurs
performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français. À
17 ans, la différence était en 2022 de plus de 4 points entre jeunes gens et jeunes filles en situa-
tion d’illettrisme. En 2024, l’étude du Centre national du livre révèle que les filles lisent plus de
23 minutes par jour alors que les garçons culnent à 6 minutes. Le crédit que beaucoup de filles
accordent aux activités intellectuelles que sont la lecture et l’écriture « longues », leur ouverture au
valeurs culturelles communes les rendent ainsi suspectes de « collaboration » et de trahison. Elles
doivent donc être surveillées et, de temps en temps, « mises au pas ». Féminité et « intellectualité » sont, au sein même de certains établisse-
ments scolaires, l’objet d’un même mépris.
Les femmes indigne n'ont pas besoin d'être sauvé par les hommes de civilisation avancé, les mollah s'en charge... :rolleyes:
 
Les femmes indigne n'ont pas besoin d'être sauvé par les hommes de civilisation avancé, les mollah s'en charge... :rolleyes:
Steve Brule GIF by MOODMAN
 
Je crois qu'il faut respecter le choix des femmes avant tout : travailler hors du foyer ou non, se marier ou non, avoir des enfants ou non. En d'autres termes, leur reconnaître un maximum de liberté, ne pas chercher à les enfermer dans un rôle unique ou une destinée unique, dont certaines ne veulent pas. :cool:

Tu peux m'expliquer c'est quoi la Logique de faire des Enfants et de Payer d'autres Femmes à s'en occuper ? 🙃

Pourquoi ils donnent pas ce Salaire directement aux Mères ? Ah non c'est vrai ça fait pas tourner le Système, mince.
 
Respecter la loi est valable pour toutes les religions, en plus il paraît que ça améliore les résultats scolaires:
«L’interdiction du voile a coïncidé avec une nette amélioration des résultats des jeunes filles musulmanes»
ta loi n'est valable que pour les musulmanes, une loi qui discrimine les gens au lieu de les accepter comme ils le sont, pourquoi un gay a le droit d'afficher son orientation, alors qu'un musulman n'a pas ce droit ?
vous célébrez bien les fêtes chrétiennes, vous n'avez pas le droit d'insulter un juif, c'est de l'antisémitisme, alors qu'on est aussi des sémites, par contre quand il s'agit des musulmans, ça devient un droit de les humilier, vous payer des sommes astronomiques que pour diaboliser les musulmans, on l'a vu pendant la coupe du monde, article après article pour critiquer, alors que les gens sur place étaient très satisfaits, les femmes se sentaient en sécurité, mais des choses comme ça vous pouvez pas les montrer au grand public
 
Ceux qui veulent soumettre les jeunes
filles à une police des mœurs en France
ne s’attaquent pas uniquement à leur
tenue vestimentaire ou à leur
comportement avec les garçons, mais
aussi à leur volonté de s’émanciper par
l’école et les études

« Au sein de l’école de la République, on peut aujourd’hui empêcher impunément une jeune fille de vivre librement sa vie intellectuelle, en lui opposant
une force virile et obtuse qui veille à ce que les lois linguistiques et culturelles de la tribu soient ostensiblement respectées »
Certaines filles de ce pays sont aujourd’hui menacées par une police des mœurs qui, dans la famille mais aussi à l’école, fait appliquer ses règles viri-
les en matière de comportements sociaux et religieux mais aussi… de modalités d’apprentissage : « Tu vas à l’école mais
fais-en sorte de ne pas trop montrer ton désir d’apprendre ; si tu ne portes pas le voile, tâche d’exhiber
le moins possible tes “appâts” ; évite toute singularité linguistique, tout comportement culturel étranger
à la norme tribale ; et surtout veille à soumettre tes fréquentations à l’autorité fraternelle ou paternelle. » Ce contrôle insidieux et parfois brutal engen-
dre des représailles qui ont récemment coûté la vie à des enfants de 15 ans coupables d’avoir désobéi aux règles archaïques.
Parmi les jeunes que des années de ghettoïsation ont cruellement privés du pouvoir de comprendre
et de se faire comprendre, beaucoup exhibent leurs insuffisances langagières et leur enfermement culturel comme un signe d’appartenance tri-
bale alors qu’ils ne sont que le résultat d’une injustice sociale inacceptable. Certains en viennent à
considérer le choix d’un mot un peu rare, ou la lecture d’un livre, comme la manifestation d’une
trahison culturelle et sociale, et souvent comme un aveu de féminité suspecte. L’affirmation d’une vi-
rilité triomphante se révèle donc dans l’usage d’un vocabulaire pauvre interdit de toute nuance et
dans le rejet de notre patrimoine culturel et historique. Il n’est donc pas étonnant que, dans ces
lieux d’enfermement soumis à la loi virile, ce soient d’abord les filles qui se voient reprocher
tout succès scolaire trop affiché, tout comportement social non conforme, tout marqueur linguis-
tique exogène.
Dans un contexte de fracture culturelle, les filles payent en effet très cher la supériorité de leurs
performances scolaires qui n’a cessé de s’accentuer année après année, notamment en français. À
17 ans, la différence était en 2022 de plus de 4 points entre jeunes gens et jeunes filles en situa-
tion d’illettrisme. En 2024, l’étude du Centre national du livre révèle que les filles lisent plus de
23 minutes par jour alors que les garçons culnent à 6 minutes. Le crédit que beaucoup de filles
accordent aux activités intellectuelles que sont la lecture et l’écriture « longues », leur ouverture au
valeurs culturelles communes les rendent ainsi suspectes de « collaboration » et de trahison. Elles
doivent donc être surveillées et, de temps en temps, « mises au pas ». Féminité et « intellectualité » sont, au sein même de certains établisse-
ments scolaires, l’objet d’un même mépris.
Du coup, quelles sont les sources ?
Je crois que justement c'est plutôt le contraire.

Bizarre, une essayiste d'extrême droite s'est ridiculisée hier en tenant les mêmes propos 🤨
 
Du coup, quelles sont les sources ?
Je crois que justement c'est plutôt le contraire.

Bizarre, une essayiste d'extrême droite s'est ridiculisée hier en tenant les mêmes propos 🤨
Renseigne toi regarde qui est Roland Fryer un des plus grands sociologues actuels je te rassure il est noir americain; il a fait la meme etude dans les milieux noirs et latinos aux stazunis:

L’enquête révèle clairement un effet Acting White chez les enfants noirs, et plus encore hispaniques. Dans ces milieux, il y a bien une pénalité en terme de popularité infligée aux bons élèves. A l’inverse, les enfants blancs sont d’autant plus populaires qu’ils sont bons à l’école (cf. graphique 1).
.
file0073.jpg

Chez les noirs, le préjudice social est plus particulièrement fort pour les garçons. La popularité diminue un peu plus tôt (à partir d’un indice 3.25 vs 3.5 pour les filles), et surtout la chute est alors beaucoup plus prononcée.

Une explication possible serait que les bons élèves noirs sont simplement beaucoup plus isolés dans leur école. Mais la relation persiste quand on ajuste les données pour raisonner à densité comparable de bons élèves.


 
Dernière édition:
Renseigne toi regarde qui est Roland Fryer un des plus grands sociologues actuels je te rassure il est noir americain; il a fait la meme etude dans les milieux noirs et latinos aux stazunis:

L’enquête révèle clairement un effet Acting White chez les enfants noirs, et plus encore hispaniques. Dans ces milieux, il y a bien une pénalité en terme de popularité infligée aux bons élèves. A l’inverse, les enfants blancs sont d’autant plus populaires qu’ils sont bons à l’école (cf. graphique 1).
.
😕
file0073.jpg

Chez les noirs, le préjudice social est plus particulièrement fort pour les garçons. La popularité diminue un peu plus tôt (à partir d’un indice 3.25 vs 3.5 pour les filles), et surtout la chute est alors beaucoup plus prononcée.

Une explication possible serait que les bons élèves noirs sont simplement beaucoup plus isolés dans leur école. Mais la relation persiste quand on ajuste les données pour raisonner à densité comparable de bons élèves.


Comment dire sans être blessante 😕
Tu ouvres un sujet sur les jeunes femmes françaises originaire du Maghreb qui subiraient des pressions familiales et dans leur quartiers pour ne pas qu'elles réussissent dans leurs scolarité.
Je demande simplement une source ou une étude qui corroborent tes affirmations.
Mais tu mets un graphique qui est censé parlé des communautés noires et hispaniques aux États-Unis ! Mais quel rapport !!!???
D'ailleurs plutôt qu'un graphique, je préférerai le mien direct de l'étude car Fryer est surtout connu pour ses études sur les inégalités éducatives entre noirs et blancs et sur les inégalités dans les brutalités policières.

Mais je cherche toujours le rapport avec les françaises maghrébines.
 
Je demande simplement une source ou une étude qui corroborent tes affirmations.
le lien https://www.lefigaro.fr/vox/societe...er-tout-succes-scolaire-trop-affiche-20240416

plutôt qu'un graphique, je préférerai le mien direct de l'étude car Fryer est surtout connu pour ses études sur les inégalités éducatives entre noirs et blancs et sur les inégalités dans les brutalités policières.

Mais je cherche toujours le rapport avec les françaises maghrébines.
le lien de l"etude de fryer https://scholar.harvard.edu/files/fryer/files/an_empirical_analysis_of_acting_white.pdf
Le rapport est evident rien que dans le titre: acting white t'as qu'a traduire par 'agir comme un kfr' et remplacer Noir/latino par maghrebine
La calomnie est de dire qu'un Noir ou un Latino ou un/une maghrebine avec un bouquin agit comme un blanc.

“Go into any inner city neighborhood, and folks will tell you that government alone can’t teach kids to
learn. They know that parents have to parent, that children can’t achieve unless we raise their expectations
and turn off the television sets and eradicate the slander that says a black youth with a book is acting
white.”
Senator Barack Obama, 2004 Democratic National Convention
 
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