Et si les banlieues étaient très peu abordées par la candidate du FN depuis le début de la campagne, aujourd'hui, elles deviennent le symbole d'endroits tenus par "une mafia que l'on laisse prospérer". "L'Etat a perdu le contrôle des banlieues. Il a perdu la guerre. (...) Je veux que la République reprenne le contrôle de tout le territoire", a en outre déclaré la candidate du FN, qui a ensuite affirmé que l'on "achetait la paix sociale" par "des aides sociales et avec la politique de la ville".
Mme Le Pen a en outre fustigé "les zones de non-droit où il y a deux lois : celle de la drogue et celle de l'islam radical". Elle a proposé "la visite systématique des caves de banlieues" pour y débusquer "les armes de guerre". Elle a également redit son souhait d'instaurer une "présomption de légitime défense" pour les forces de l'ordre.
Les banlieues, symbole donc d'une "dérive". Mais aussi symptôme "d'une gangrène", celle de "l'islamisme radical" censé, selon Marine Le Pen, se développer dans notre pays. "Je mettrai l'islam radical à genoux !", a promis la candidate, faisant référence aux propos tenus par Merah et rapportés par Claude Guéant, où le tueur affirmait qu'avec ses crimes, il voulait mettre la France "à genoux".
"COMBIEN DE MOHAMED MERAH ARRIVENT CHAQUE JOUR ?"
Un thème d'une actualité brûlante qui lui permet d'aborder dans un même mouvement l'autre sujet phare du FN : l'immigration. "L'islamisme radical, son imprégnation, son influence s'aggravent d'année en année (...). C'est la conséquence directe de l'immigration de masse." La prétendante à l'Elysée a en outre opposé le concept d'assimilation, qu'elle soutient, au communautarisme et à "l'islamo-gauchisme", qu'elle condamne.
Marine Le Pen s'est ensuite interrogée : "Combien de Mohamed Merah dans les bateaux, les avions, qui chaque jour arrivent en France remplis d'immigrés ? (...) Combien de Mohamed Merah parmi les enfants de ces immigrés non assimilés ?" Et la candidate d'égrainer des propositions radicales mais déjà connues : "abolition du droit du sol", "fin du regroupement familial automatique", impossibilité de régulariser les clandestins. Marine Le Pen a en outre proposé d'interdire le port des signes ostensibles pour les usagers du service public, comme dans "les trains".
Mme Le Pen a en outre fustigé "les zones de non-droit où il y a deux lois : celle de la drogue et celle de l'islam radical". Elle a proposé "la visite systématique des caves de banlieues" pour y débusquer "les armes de guerre". Elle a également redit son souhait d'instaurer une "présomption de légitime défense" pour les forces de l'ordre.
Les banlieues, symbole donc d'une "dérive". Mais aussi symptôme "d'une gangrène", celle de "l'islamisme radical" censé, selon Marine Le Pen, se développer dans notre pays. "Je mettrai l'islam radical à genoux !", a promis la candidate, faisant référence aux propos tenus par Merah et rapportés par Claude Guéant, où le tueur affirmait qu'avec ses crimes, il voulait mettre la France "à genoux".
"COMBIEN DE MOHAMED MERAH ARRIVENT CHAQUE JOUR ?"
Un thème d'une actualité brûlante qui lui permet d'aborder dans un même mouvement l'autre sujet phare du FN : l'immigration. "L'islamisme radical, son imprégnation, son influence s'aggravent d'année en année (...). C'est la conséquence directe de l'immigration de masse." La prétendante à l'Elysée a en outre opposé le concept d'assimilation, qu'elle soutient, au communautarisme et à "l'islamo-gauchisme", qu'elle condamne.
Marine Le Pen s'est ensuite interrogée : "Combien de Mohamed Merah dans les bateaux, les avions, qui chaque jour arrivent en France remplis d'immigrés ? (...) Combien de Mohamed Merah parmi les enfants de ces immigrés non assimilés ?" Et la candidate d'égrainer des propositions radicales mais déjà connues : "abolition du droit du sol", "fin du regroupement familial automatique", impossibilité de régulariser les clandestins. Marine Le Pen a en outre proposé d'interdire le port des signes ostensibles pour les usagers du service public, comme dans "les trains".