Un point parmi tant d'autre qui fait s'effondrer sa théorie : la barrière inter-espèce.
L'ADN du chimpanzé à 99% de similitude avec l'homme, mais 99% de similitudes de quoi d'une protéine, d'un gène ou de l'ADN ? Si toute fois dans le meilleur des cas ce serait de l'ADN alors les 0.1% restant représente 3 300 000 de paires de bases différentes ! Autrement dit, la similitude n'est qu'apparente.
Des similitudes certes mais finalement, chaque être vivant est un peu fait sur le même schéma, il est normal qu'il soit constitué d'à peu près les mêmes "matériau". Un artiste fera bien différentes uvres mais utilisera toujours les mêmes peintures, il n'y aura que les nuances qui changeront.
Explication :
Comme chacun sait chaque espèce ne peut se reproduire qu'avec elle même par exemple, un singe et un homme ne peut pas franchir la barrière inter-espèce et ne peuvent pas avoir d'enfant. Il existe parfois des croisements possibles mais l'enfant est stérile comme par exemple l'âne et le cheval. Tout ceci pour dire que la barrière inter-espèce fait que chaque espèce ne peut se reproduire avec une espèce différente.
C'est même la définition d'une espèce :
"Terme de classification regroupant tous les êtres vivants ayant des caractères anatomiques et comportementaux suffisamment proches pour se reproduire et avoir des petits féconds"
Donc nous allons avoir trois raisonnements différents :
Première hypothèse : Imaginons qu'il y ai une espèce, au sein de cette espèce surgit une mutation, la théorie de Darwin conduirait à dire que l'individu ayant cette mutation va la transmettre, mais pour la transmettre, il faut qu'un autre individu ayant la même mutation (sur 3milliards de paires de bases il faut que la même base est changé pour l'homme par exemple) le rencontre et se reproduise avec lui pour faire naitre une nouvelle espèce puisque la barrière inter-espèce ne permet pas que cette individu muté se reproduise avec quelqu'un de l'espèce initiale, il faudrait alors pour qu'il y ai naissance d'une nouvelle espèce, qu'il y ai mutation quelconque + mutation de la barrière inter-espèce + Enorme chance de trouver un partenaire ayant les mêmes mutations = impossible.
Deuxième hypothèse : L'individu a une mutation quelconque, se reproduit avec un individu de son espèce initial mais s'il peut se reproduire cela signifie qu'il n'y a pas de barrière inter-espèce donc il n'y a pas 2 espèces différentes puisqu'il peut encore se reproduire avec l'espèce initiale. La théorie de l'évolution des espèces s'effondre encore.
Troisième hypothèse : (à mon sens la moins pire si je puis dire), la mutation est au niveau des mécanismes qui entre en jeu dans la barrière inter-espèce, or ces gènes sont très bien conservés, et de plus si la mutation intervient à ce niveau là, il faudrait là encore que deux individus aient la même mutation pour pouvoir se reproduire entre eux. (Ceci est très semblable à la première hypothèse mais moins hasardeuse en terme de probabilités). Ensuite il faut que de nouvelles mutations aient lieu et bien différentes pour les différentiées de l'espèce 1 et que le schéma se reproduise à l'infini. Finalement, avec toutes ses probabilités infimes, qui s'ajoutent encore et encore pour créer toutes les espèces qui peuplent la terre, il faudrait des temps infinis qui ne sont pas ceux de l'existance de la terre. Donc cette théorie n'est pas encore viable.
L'ADN du chimpanzé à 99% de similitude avec l'homme, mais 99% de similitudes de quoi d'une protéine, d'un gène ou de l'ADN ? Si toute fois dans le meilleur des cas ce serait de l'ADN alors les 0.1% restant représente 3 300 000 de paires de bases différentes ! Autrement dit, la similitude n'est qu'apparente.
Des similitudes certes mais finalement, chaque être vivant est un peu fait sur le même schéma, il est normal qu'il soit constitué d'à peu près les mêmes "matériau". Un artiste fera bien différentes uvres mais utilisera toujours les mêmes peintures, il n'y aura que les nuances qui changeront.
Explication :
Comme chacun sait chaque espèce ne peut se reproduire qu'avec elle même par exemple, un singe et un homme ne peut pas franchir la barrière inter-espèce et ne peuvent pas avoir d'enfant. Il existe parfois des croisements possibles mais l'enfant est stérile comme par exemple l'âne et le cheval. Tout ceci pour dire que la barrière inter-espèce fait que chaque espèce ne peut se reproduire avec une espèce différente.
C'est même la définition d'une espèce :
"Terme de classification regroupant tous les êtres vivants ayant des caractères anatomiques et comportementaux suffisamment proches pour se reproduire et avoir des petits féconds"
Donc nous allons avoir trois raisonnements différents :
Première hypothèse : Imaginons qu'il y ai une espèce, au sein de cette espèce surgit une mutation, la théorie de Darwin conduirait à dire que l'individu ayant cette mutation va la transmettre, mais pour la transmettre, il faut qu'un autre individu ayant la même mutation (sur 3milliards de paires de bases il faut que la même base est changé pour l'homme par exemple) le rencontre et se reproduise avec lui pour faire naitre une nouvelle espèce puisque la barrière inter-espèce ne permet pas que cette individu muté se reproduise avec quelqu'un de l'espèce initiale, il faudrait alors pour qu'il y ai naissance d'une nouvelle espèce, qu'il y ai mutation quelconque + mutation de la barrière inter-espèce + Enorme chance de trouver un partenaire ayant les mêmes mutations = impossible.
Deuxième hypothèse : L'individu a une mutation quelconque, se reproduit avec un individu de son espèce initial mais s'il peut se reproduire cela signifie qu'il n'y a pas de barrière inter-espèce donc il n'y a pas 2 espèces différentes puisqu'il peut encore se reproduire avec l'espèce initiale. La théorie de l'évolution des espèces s'effondre encore.
Troisième hypothèse : (à mon sens la moins pire si je puis dire), la mutation est au niveau des mécanismes qui entre en jeu dans la barrière inter-espèce, or ces gènes sont très bien conservés, et de plus si la mutation intervient à ce niveau là, il faudrait là encore que deux individus aient la même mutation pour pouvoir se reproduire entre eux. (Ceci est très semblable à la première hypothèse mais moins hasardeuse en terme de probabilités). Ensuite il faut que de nouvelles mutations aient lieu et bien différentes pour les différentiées de l'espèce 1 et que le schéma se reproduise à l'infini. Finalement, avec toutes ses probabilités infimes, qui s'ajoutent encore et encore pour créer toutes les espèces qui peuplent la terre, il faudrait des temps infinis qui ne sont pas ceux de l'existance de la terre. Donc cette théorie n'est pas encore viable.