tizniti
Soyons sérieux .
Salamoualayekoume,
S’il est un sujet pour lequel les mots nous manquent, c’est bien l’amour. Quand après quelques semaines d’une belle relation, un frémissement se fait sentir, et que nous osons murmurer un timide « je t’aime », l’expression semble immense. Immense pour exprimer des sentiments tout juste naissants. Immense quant à la crainte de s’entendre répondre : « Désolé, pas moi ! » Puis l’attachement croît et l’expression reste la même. Ce « je t’aime », répété inlassablement pendant des années devient soudain trop petit. C’est alors qu’interviennent les pronoms possessifs : « mon amour », « mon cœur », « mon homme » ou « ma chérie ».
Ensuite que dire de plus ?
S’il est un sujet pour lequel les mots nous manquent, c’est bien l’amour. Quand après quelques semaines d’une belle relation, un frémissement se fait sentir, et que nous osons murmurer un timide « je t’aime », l’expression semble immense. Immense pour exprimer des sentiments tout juste naissants. Immense quant à la crainte de s’entendre répondre : « Désolé, pas moi ! » Puis l’attachement croît et l’expression reste la même. Ce « je t’aime », répété inlassablement pendant des années devient soudain trop petit. C’est alors qu’interviennent les pronoms possessifs : « mon amour », « mon cœur », « mon homme » ou « ma chérie ».
Ensuite que dire de plus ?