Des millions d'esclaves (salariés) ont le droit chaque année de vivre normalement durant un mois, généralement pour les plus bas dans la pyramide sociale et donc les plus nombreux c'est durant le mois d'Aout que cela se passe et ce dernier touche en ce moment à sa fin.
Retour donc dans l'air urbaine, dans leurs petit mètre carré, métro, boulot, dodo, monoprix etc... ils vont reprendre leurs obligation quotidienne, c'est à dire produire de la richesse pour les banques et l'Etat qui tien le pays, évidement on leurs laissera un petit quelque chose pour se nourrir, se loger et rester en forme pour etre exploitable au moins jusqu'à 65ans.
Mais le retour est dur, revenir à un truc aussi horrible qu'une vie de salarié est insupportable pour l'esprit, meme si ce qu'ils laissent derrière eux est minable : Camping chips à la mayo, plages blindés du sud, froide du nord, tourisme de masse à l'étranger, bon plan pour beauf etc... et bien tout cela est bien mieux que ce qui les attend durant 11 mois.
Les capitalistes qui tiennent le pays ( et qui sont une des conséquence du modernisme) ont compris qu'une coupure pour l'esclave est parfaite pour l'économie, non seulement cela permet de booster le marché du tourisme mais cela amène une soumission encore plus intense du citoyen, qui croit que l'on s'occupe de lui comme il faut et que les choses sont juste. Cette croyance empêche évidement toute révoltes du sujet.
Cette période de transition est très difficile, comporte beaucoup de stress, d'anxiété, et d'angoisse en plus de la dépression plus au moins lourde selon les personnes, mais tout cela peut s'éviter, il faut juste savoir que changer de vie est possible contrairement à ce que l'on vous fait croire et qu'il y a d'autres façon de mener sa vie que celle ci.
Par contre, le système notamment grace à la télé a tellement matraquer les gens que ces derniers pensent que malgré la dureté de leurs vie, c'est toujours mieux qu'autre chose, de prendre le risque d'opter pour une vie que le système présente comme risquée et complètement absurde. En gros reste chez nous, t'auras des congés, une assurances, une retraite et tas d'autres cordes imaginaire mais bien solides autour du cou.
Retour donc dans l'air urbaine, dans leurs petit mètre carré, métro, boulot, dodo, monoprix etc... ils vont reprendre leurs obligation quotidienne, c'est à dire produire de la richesse pour les banques et l'Etat qui tien le pays, évidement on leurs laissera un petit quelque chose pour se nourrir, se loger et rester en forme pour etre exploitable au moins jusqu'à 65ans.
Mais le retour est dur, revenir à un truc aussi horrible qu'une vie de salarié est insupportable pour l'esprit, meme si ce qu'ils laissent derrière eux est minable : Camping chips à la mayo, plages blindés du sud, froide du nord, tourisme de masse à l'étranger, bon plan pour beauf etc... et bien tout cela est bien mieux que ce qui les attend durant 11 mois.
Les capitalistes qui tiennent le pays ( et qui sont une des conséquence du modernisme) ont compris qu'une coupure pour l'esclave est parfaite pour l'économie, non seulement cela permet de booster le marché du tourisme mais cela amène une soumission encore plus intense du citoyen, qui croit que l'on s'occupe de lui comme il faut et que les choses sont juste. Cette croyance empêche évidement toute révoltes du sujet.
Cette période de transition est très difficile, comporte beaucoup de stress, d'anxiété, et d'angoisse en plus de la dépression plus au moins lourde selon les personnes, mais tout cela peut s'éviter, il faut juste savoir que changer de vie est possible contrairement à ce que l'on vous fait croire et qu'il y a d'autres façon de mener sa vie que celle ci.
Par contre, le système notamment grace à la télé a tellement matraquer les gens que ces derniers pensent que malgré la dureté de leurs vie, c'est toujours mieux qu'autre chose, de prendre le risque d'opter pour une vie que le système présente comme risquée et complètement absurde. En gros reste chez nous, t'auras des congés, une assurances, une retraite et tas d'autres cordes imaginaire mais bien solides autour du cou.