A cette tombe, que l'on ne jette aucune fleur...
Expression misérable du 18/12/2010.
Les poignards dhorreur ont remplacé les légères plumes
Et les douces proses quen toute magnificence, nous fîmes
Sécroulent depuis leur sémillant trône au fielleux abîme
Tel un corps ensanglanté, étripé par un horrible crime
....
A cette tombe, que l'on ne jette aucune fleur...
Expression misérable du 18/12/2010.
"A Kellât Megounna ...Il n'y a que des roses "Hassan II sur Tazmmamart.
Le cimitière est empli de fleurs...elles aussi sont mortes...Quel contrast que celui d'allier leurs morts à leus chers...Les poignards dhorreur ont remplacé les légères plumes
Et les douces proses quen toute magnificence, nous fîmes
Sécroulent depuis leur sémillant trône au fielleux abîme
Tel un corps ensanglanté, étripé par un horrible crime
....
A cette tombe, que l'on ne jette aucune fleur...
Expression misérable du 18/12/2010.
Acte:666Le cimitière est empli de fleurs...elles aussi sont mortes...Quel contrast que celui d'allier leurs morts à leus chers...
Les coquelicots en tapis...tracent les sourires de l'innocence
La rose se vêtit en rouge... pour déclarer la passion
Les lilas d'amitié rêvassent ...en préférant l'union
La reine marguerite de sa sollenité ...espère la considération
Le dahlia en ensemble bariolé...s'offre la méditation
Le trèfle de sa géométrie, en trois temps...fait de l'incertitude une émotion
L'orchidée, l'unique...Solitaire, empreinte d'élévation
Mais la plus belle fleur...C'est celle que l'on admire sans cueillir...Celle qu'on contemple sans offrir...
ça me rappelle le titre de l'un de mes ballades poétiques
je ne sais si j'ai le droit de le poster ou pas
Au printemps, il y a des jolies fleurs dans les champs,
En été, il y a de jolis coquelicots dans les prés,
En automne, les arbres s'habillent de couleurs monotones,
Et en hiver, les arbres et les prairies sont tous nus et découverts.
Romantika en mode poétesse
Bien sûr faites donc ;-)
Voilà donc
en alexrandrin
Une épine de plus dans le langage des fleurs
Le zénith moribond asphyxié par la brume
Issue des lourds soupirs des vieilles forêts
Qui sépuisent à porter leur grande amertume
Incitant en cela le firmament à pleurer
Nous voici désormais dans les bras de lautomne
Derrière nous les fleurs et les joies du printemps
Sur les interminables rails où chaque pas frissonne
A ruminer les souvenirs de nos précieux instants
Le cur lourd se noie dans la mélancolie
Traînant avec lui le vice et la vertu .
A quoi sert la raison dans ce monde en folie
Si seulement on y trouvait notre salut.
Regarde comme nos doigts saccrochent
Dans les moments où le rêve nous est interdit.
Des liens se forment se tissent puis seffilochent
Dans les moments où notre espoir tiédit .
Les arbres comme des piliers se montrent intrépides
Telle est malheureusement le sort des arbres stériles
Tous les passagers comme nous leur sont apatrides
Maudissant ainsi tous ceux qui viennent des villes
Même si cette voix nous mène à lhiver,
Au delà de ses intempéries se trouve lété
Même si on gèlera dans cet enfer
Ensemble nous briserons sa froidure régentée
En fleur blanche tu sembles tépanouir,
Dans ces chemins meurtris par les sillons
Je presse le pas vers toi pour te cueillir,
Et te voila transformée en papillon !
Vivre pour aimer ! mais lamour est aveugle
Princesse des fées pardonne ma cécité
Et si parfois jai manqué dêtre humble
Lémotion ma jeté aux dents de la fatalité
Je scelle mon âme entre tes doigts
je toffre aussi mon cur en offrande
Pour que tes peines deviennent joies
Pour que ton sourire bénisse mon monde
Toutes les destinations portent leur mystère
C'est à nous de construire notre félicite
Puisque la vie n'est qu'un rêve éphémère
festonné par les fragments de l'éternité
BOUDJE
Beau poème que voilà ...Merci pour la partage ;-)
J'aime l'automne, période où les couleurs sont les plus chatoyantes Et toi Elyssa ???La romantique que tu es préfère quelle saison ?
Voilà donc
en alexrandrin
Une épine de plus dans le langage des fleurs
Le zénith moribond asphyxié par la brume
Issue des lourds soupirs des vieilles forêts
Qui sépuisent à porter leur grande amertume
Incitant en cela le firmament à pleurer
Nous voici désormais dans les bras de lautomne
Derrière nous les fleurs et les joies du printemps
Sur les interminables rails où chaque pas frissonne
A ruminer les souvenirs de nos précieux instants
Le cur lourd se noie dans la mélancolie
Traînant avec lui le vice et la vertu .
A quoi sert la raison dans ce monde en folie
Si seulement on y trouvait notre salut.
Regarde comme nos doigts saccrochent
Dans les moments où le rêve nous est interdit.
Des liens se forment se tissent puis seffilochent
Dans les moments où notre espoir tiédit .
Les arbres comme des piliers se montrent intrépides
Telle est malheureusement le sort des arbres stériles
Tous les passagers comme nous leur sont apatrides
Maudissant ainsi tous ceux qui viennent des villes
Même si cette voix nous mène à lhiver,
Au delà de ses intempéries se trouve lété
Même si on gèlera dans cet enfer
Ensemble nous briserons sa froidure régentée
En fleur blanche tu sembles tépanouir,
Dans ces chemins meurtris par les sillons
Je presse le pas vers toi pour te cueillir,
Et te voila transformée en papillon !
Vivre pour aimer ! mais lamour est aveugle
Princesse des fées pardonne ma cécité
Et si parfois jai manqué dêtre humble
Lémotion ma jeté aux dents de la fatalité
Je scelle mon âme entre tes doigts
je toffre aussi mon cur en offrande
Pour que tes peines deviennent joies
Pour que ton sourire bénisse mon monde
Toutes les destinations portent leur mystère
C'est à nous de construire notre félicite
Puisque la vie n'est qu'un rêve éphémère
festonné par les fragments de l'éternité
BOUDJE
J'aime l'automne, période où les couleurs sont les plus chatoyantes Et toi Elyssa ???
J'aime l'automne, période où les couleurs sont les plus chatoyantes Et toi Elyssa ???
Trés joli poème
Nous sommes deux automnières alors
merci j'ai bien aimé ton quatrain saisonnier aussi
Cool alors
Merci boudje
Au printemps, il y a des jolies fleurs dans les champs,
En été, il y a de jolis coquelicots dans les prés,
En automne, les arbres s'habillent de couleurs monotones,
Et en hiver, les arbres et les prairies sont tous nus et découverts.
Romantika en mode poétesse