Cela fait près d’un siècle que la recherche médicale a commencé à se pencher sur l’utilité des porcs dans le traitement de certaines maladies.
Dans les années 1920, on a découvert que l’insuline du porc était très similaire de celle de l’homme. Dès les années 1940, l’insuline de porc (et également l’insuline bovine) a donc été employée pour soigner les patients diabétiques.
Jusque dans les années 1980 et la fabrication de l’insuline de synthèse, des dizaines de milliers de personnes ont survécu au diabète grâce à de l’insuline porcine…
Les porcs ont un cœur proche de l’homme
Par la suite, c’est la fonction cardiaque du porc qui a suscité l’intérêt de la recherche scientifique. Les valves aortiques de cochons ont été greffées avec succès sur des cœurs humains, un procédé qui est toujours d’actualité vu qu’on parvient assez facilement à extraire ces valves chez l’animal et à les implanter chez l’homme.
C’est dans les années 1980 qu’on commence à penser aux xénogreffes (des greffes d’organes entiers d’animaux à l’être humain). Comme les demandes de greffes chez l’homme sont bien plus élevées que l’offre d’organes, que la moyenne d’âge des donneurs augmente, on cherche d’autres sources d’organes.
On pense d’abord aux primates mais le porc s’impose très vite comme donneur vu les similitudes qu’il présente avec l’homme notamment dans les fonctions cardiaques ou rénales et la régulation de la glycémie. Pour la science, c’est la prise de conscience que les organes du porc pourraient avoir leur utilité chez l’homme.
Dans les années 1920, on a découvert que l’insuline du porc était très similaire de celle de l’homme. Dès les années 1940, l’insuline de porc (et également l’insuline bovine) a donc été employée pour soigner les patients diabétiques.
Jusque dans les années 1980 et la fabrication de l’insuline de synthèse, des dizaines de milliers de personnes ont survécu au diabète grâce à de l’insuline porcine…
Les porcs ont un cœur proche de l’homme
Par la suite, c’est la fonction cardiaque du porc qui a suscité l’intérêt de la recherche scientifique. Les valves aortiques de cochons ont été greffées avec succès sur des cœurs humains, un procédé qui est toujours d’actualité vu qu’on parvient assez facilement à extraire ces valves chez l’animal et à les implanter chez l’homme.
C’est dans les années 1980 qu’on commence à penser aux xénogreffes (des greffes d’organes entiers d’animaux à l’être humain). Comme les demandes de greffes chez l’homme sont bien plus élevées que l’offre d’organes, que la moyenne d’âge des donneurs augmente, on cherche d’autres sources d’organes.
On pense d’abord aux primates mais le porc s’impose très vite comme donneur vu les similitudes qu’il présente avec l’homme notamment dans les fonctions cardiaques ou rénales et la régulation de la glycémie. Pour la science, c’est la prise de conscience que les organes du porc pourraient avoir leur utilité chez l’homme.