Des imams « certifiés » en france

c'est une excellente idée . Trop d'imams aujourd'hui s'approprient le titre et inculquent aux jeunes et moins jeunes des valeurs ... anti - républicaines. Je m'explique : un imam venu du Maroc, de Tunisie, des Commores etc ne peut pas avoir un discours adapté face à un "public" français . Les codes ne sont pas les mêmes, les cultures ne sont pas les mêmes et les traditions non plus. Un imam qui fait un prêche dans une mosquée française doit être formé en France . Aujourd'hui, il doit connaitre le Coran, prendre des cours de théologie mais doit savoir aussi être pédagogue et soigner son discours. On entend trop souvent des imams prêcher l'importance de faire la prière, raconter la vie du prophète, l'importance de l'obeissance etc... et nous assommer avec des règles que l'on connait déjà ! Qu'en est -il du fait qu'il faille respecter son prochain, être généreux envers le plus pauvre de n'importe quelle couleur, religion ou nationalité qu'il soit, d'aimer les gens, de s'entraider quelques soient nos origines ... que notre religion est avant tout amour ! quand j'entendrais un imam nous demander de respecter les homo sexuels, de ne pas juger les alcooliques mais d'essayer de leur venir en aide , de laisser la femme non voilée tranquille parce que nous ne sommes pas habilités à juger les autres ... on aura fait un grand pas vers la tolérance ! et les valeurs républicaines sont importantes car dans trop de foyer ( chez mes parents aussi) on nous sort en boucle le discours sur les kuffars, les gaworis , les mécréants qui ne sont pas comme nous et avec lesquels il faut se différencier... il en est de même (parfois) dans les mosquées malheureusement. Comment les jeunes peuvent se sentir français , et acceptés si à la maison, en plus de l'école, du travail etc... on ne fait que pointer le doigt sur le fait qu'ils sont différents des autres ? Nous sommes tous responsables de cette situation...
oui mais qui délivrera cette certificat ?
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Formation des imams en France à l'institut Ghâzali au milieu de savants

http://www.institut-al-ghazali.fr/les-enseignants/

Les formations

Notre honorable religion a donné une grande importance à la science, car elle est le fondement des nations dans la construction des civilisations. Dans ce cadre l’Institut Al-Ghazali de la Grande Mosquée de Paris, dispense un enseignement religieux en réponse aux attentes de la communauté musulmane en France.

L’OFFRE DE FORMATION


Formation des imâms et des aumôniers.
Etudes de sciences islamiques. (en arabe).
Etudes de sciences et civilisation islamiques. (en français)
Apprentissage du Coran (pour les femmes)


Formation des imams et des aumoniers


Chaque année de formation est cadrée par 15 professeurs qui forment une équipe pédagogique soigneusement composée d’universitaires et d’enseignants spécialisés dans les disciplines suivantes :

lecture du Coran
science du hadîth
science de `aqîda
science du fiqh
fondements de la jurisprudence
civilisation et culture islamique
science du Coran
langue arabe et ses diverses disciplines
la sira du Prophète – salla Allâhu `alayhi wa sallam -
l’aumônerie
l’exégèse du Coran
philosophie Islamique et Occidentale
étude du français
économie et finance Islamique
histoire des doctrines Islamiques
la jurisprudence des transactions
les objectifs de la Shari`a, les institutions françaises et communauté européenne
l’histoire des religions
la traduction
études des prêches et sermons
recherche et travaux pratiques dans la bibliothèque.

74 heures par semaine sont assurées à ses formations dont les deux premières années sont en tronc commun.

Nous avons mis l’accent dans nos formations sur le fiqh mâlikite et la `aqîda sunnite et la lecture coranique selon l’imâm warsh, la langue arabe prend une place importante dans notre formation ainsi que l’éducation spirituelle afin que nos étudiants aient une formation complète, réfléchie et équilibrée loin de tout dérapage ou extrémisme. Les étudiants doivent préparer un mémoire de fin d’étude dont le sujet touche en général la vie sociale et la pratique religieuse des musulmans en France.

Nous suivons nos étudiants même après leur formation afin de leur faciliter le travail sur le terrain ; pour cela ils restent en contact permanent avec l’institut après leur formation.
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
ASCENDANCE :

Né le 25/03/1978 à Moroni aux Comores, fils de Shaykh Mouhammad Soighir, un des illustres disciples de l’ancien grand Mufti des Comores, Sa’id Mouhammad ‘Abdourrahmane, auprès de qui Shaykh Mouhammad Soighir passe 21 ans dans l’apprentissage du Fiqh (droit et jurisprudence) Shafi’ite, les sciences de la purification des âmes, la poésie classique et d’autres disciplines de la Shari’a, comme l’exégèse, discipline dans laquelle le grand mufti était simplement un miracle, il fût initié naturellement dès son plus jeune aux sciences religieuses, par son père.

Ce dernier a été à plus d’une reprise couronné par la idjaza (autorisation d’enseigner le savoir reçu) du grand mufti, ce qui est la plus haute consécration qui soit dans le domaine des sciences religieuses ; et ce, dans de grands publics où il venait commencer un livre et appelait Shaykh Mouhammad Soighir pour le compléter en disant aux gens de ne plus venir le voir, mais d’aller vers Shaykh Mouhammad Soighir. Preuve de cette confiance, il lui ouvre officiellement son école, appelée « Al Madrasat as Salafiyat », où des différents horizons de la plus grande île des Comores plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de personnes viendront suivre leur formation en théologie.

Le père de Mouhammed Badjarafil y enseigna pendant plus de quarante ans les sciences religieuses, en formant des juges (quoudat), des prédicateurs (dou’at)…

SA FORMATION RELIGIEUSE :

Dans la Madrasat as Salafiyat de son père, le jeune Badjarafil se trouve aux côtés de gens ayant deux, voire trois fois son âge. Il y lit les premiers moutouns dans la jurisprudence shafi’ite, comme le veut la méthode d’enseignement yéménite, dont l’enseignement comorien est incontestablement une prolongation, comme « Irshadou al ’Ibad » (communément appelé babou), la « ar Risalat al Jami’a » (petit condensé de certains passages d’Abou Hamid Al Ghazali dans les ‘ibadat (actes rituels d’adorations) et la ‘aqida (dogme), le « Dourarou al Bahiyyat », le « Mouqaddimatou al Hadhramiyat », le « Touriyaqou al nafiou », écrit par un des shouyoukhs des shouyoukhs de son père, al Habib Abou Bakr, grand-père d’al Habib Omar ibn Soumayt, illustre savant comoro-yéménite mort en soixante seize aux Comores et auteur de beaucoup de livres en théologie, et fils de son père al Habib ahmad ibn Abi Bakr, sans doute le plus grand théologien jamais né en Afrique de l’Est, (la bibliothèque de ses œuvres en fiqh, en poésie comme en ousoul et dans les autres disciplines flottera pour toujours sur les sciences religieuses dans le monde religieux yéménito-comorien), le « Hadiyyatou al Atfal », le « Safinatou al nadja » et le « Safinatou al salat », «al Ghayatu wa taqrib » d’Abi Choudjaa, le commentaire du ghaya, appelé Fathou alqarib almoudjib, du célèbre Ibnou alQasim Alghazzi, « Oumdattou al Salik » d’Ibnou al Naqib, « Bahdjatou al wasa-il », de Nawawi Adjawi, le « zoubd », d’Ibnou Rassalane. Etant donné le fait que plusieurs niveaux de livres étaient enseignés au même moment, il a pu suivre l’enseignement des plus grands livres de l’école shafi’ite, comme « Fathou al Mouin » d’Al Malibari, célèbre disciple d’Ibn Hadjar al Haythami, al Makki, le « Minhadj At Twalibin » d’An Nawawi et le commentaire du « Mouqaddimatou al Hadhramiyat » d’Ibnu Hadjar al Haythami. Comme il écoutera, chez lui, certaines parties du « Boulough al Maram », d’Ibnu Hadjar Al ’Asqalani.

En ‘aqida, il apprendra la dialectique et la rhétorique ash’arite à travers la « Sanousiyat », le « Djawharat at Tawhid » et une partie dans « Riyad al Badi’in », livre où se trouvent côte à côte Fiqh et ‘Aqida, ainsi que le « ‘Aqidatou al Imane », et son commentaire « Hadiyyatou al Ikhwane ».

Dans les disciplines liées à la purification des âmes et de la pédagogie scolastique, il apprend à l’école (madrasat) de son père le « Bidayatou al Hidaya » d’Abou Hamid Al Ghazali, l’essentiel de l’œuvre de l’illustre Imam Al Haddad, que certains savants azharites de son temps ont considéré comme le revificateur des sciences religieuses au douzième siècle après l’hégire, comme « Al Naswa’ihou al Diniyat », « al Da’awat al tammat », « Risalatou al Moua’awana » et « Risalatou al moudhakara», en commençant par l’incontournable « Ta’alim al mouta’alim toiriqa al ta’aalloum » d’az Zaroundji al Hanafi, et « risalatou l’adhkiya » d’Almalibari.

En poésie liturgique, il apprend, à la maison et à la madrasat de son père l’œuvre monumentale de l’illustre compagnon Ka’ab ibnou Zouhayr , « Banat Sou’and », « Madaridjou al ’Ounlat », d’un des shouyoukhs de son maître, dont il lit l’introduction et quelques parties, « Ta’iyatou al Soulouki ila Maliki al Moulouki », « Nafhatou al Wardat fi manhadji al bourda », du célèbre poète et grammairien comorien Bourhane Mkallé et le début de « Salatou al Moudhar ». Avec l’aide de son grand frère Ibrahim le jeune Mouhammed Badjarafil va apprendre par cœur la quasi-totalité des poèmes du recueil de l’Imam ash Shafi’i.....................

http://mohamedbajrafil.unblog.fr/biographie-de-mohamed-bajrafil/




c'est une excellente idée . Je m'explique : un imam venu du Maroc, de Tunisie, des Commores etc ne peut pas avoir un discours adapté face à un "public" français .
 
ASCENDANCE :

Né le 25/03/1978 à Moroni aux Comores, fils de Shaykh Mouhammad Soighir, un des illustres disciples de l’ancien grand Mufti des Comores, Sa’id Mouhammad ‘Abdourrahmane, auprès de qui Shaykh Mouhammad Soighir passe 21 ans dans l’apprentissage du Fiqh (droit et jurisprudence) Shafi’ite, les sciences de la purification des âmes, la poésie classique et d’autres disciplines de la Shari’a, comme l’exégèse, discipline dans laquelle le grand mufti était simplement un miracle, il fût initié naturellement dès son plus jeune aux sciences religieuses, par son père.

Ce dernier a été à plus d’une reprise couronné par la idjaza (autorisation d’enseigner le savoir reçu) du grand mufti, ce qui est la plus haute consécration qui soit dans le domaine des sciences religieuses ; et ce, dans de grands publics où il venait commencer un livre et appelait Shaykh Mouhammad Soighir pour le compléter en disant aux gens de ne plus venir le voir, mais d’aller vers Shaykh Mouhammad Soighir. Preuve de cette confiance, il lui ouvre officiellement son école, appelée « Al Madrasat as Salafiyat », où des différents horizons de la plus grande île des Comores plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de personnes viendront suivre leur formation en théologie.

Le père de Mouhammed Badjarafil y enseigna pendant plus de quarante ans les sciences religieuses, en formant des juges (quoudat), des prédicateurs (dou’at)…

SA FORMATION RELIGIEUSE :

Dans la Madrasat as Salafiyat de son père, le jeune Badjarafil se trouve aux côtés de gens ayant deux, voire trois fois son âge. Il y lit les premiers moutouns dans la jurisprudence shafi’ite, comme le veut la méthode d’enseignement yéménite, dont l’enseignement comorien est incontestablement une prolongation, comme « Irshadou al ’Ibad » (communément appelé babou), la « ar Risalat al Jami’a » (petit condensé de certains passages d’Abou Hamid Al Ghazali dans les ‘ibadat (actes rituels d’adorations) et la ‘aqida (dogme), le « Dourarou al Bahiyyat », le « Mouqaddimatou al Hadhramiyat », le « Touriyaqou al nafiou », écrit par un des shouyoukhs des shouyoukhs de son père, al Habib Abou Bakr, grand-père d’al Habib Omar ibn Soumayt, illustre savant comoro-yéménite mort en soixante seize aux Comores et auteur de beaucoup de livres en théologie, et fils de son père al Habib ahmad ibn Abi Bakr, sans doute le plus grand théologien jamais né en Afrique de l’Est, (la bibliothèque de ses œuvres en fiqh, en poésie comme en ousoul et dans les autres disciplines flottera pour toujours sur les sciences religieuses dans le monde religieux yéménito-comorien), le « Hadiyyatou al Atfal », le « Safinatou al nadja » et le « Safinatou al salat », «al Ghayatu wa taqrib » d’Abi Choudjaa, le commentaire du ghaya, appelé Fathou alqarib almoudjib, du célèbre Ibnou alQasim Alghazzi, « Oumdattou al Salik » d’Ibnou al Naqib, « Bahdjatou al wasa-il », de Nawawi Adjawi, le « zoubd », d’Ibnou Rassalane. Etant donné le fait que plusieurs niveaux de livres étaient enseignés au même moment, il a pu suivre l’enseignement des plus grands livres de l’école shafi’ite, comme « Fathou al Mouin » d’Al Malibari, célèbre disciple d’Ibn Hadjar al Haythami, al Makki, le « Minhadj At Twalibin » d’An Nawawi et le commentaire du « Mouqaddimatou al Hadhramiyat » d’Ibnu Hadjar al Haythami. Comme il écoutera, chez lui, certaines parties du « Boulough al Maram », d’Ibnu Hadjar Al ’Asqalani.

En ‘aqida, il apprendra la dialectique et la rhétorique ash’arite à travers la « Sanousiyat », le « Djawharat at Tawhid » et une partie dans « Riyad al Badi’in », livre où se trouvent côte à côte Fiqh et ‘Aqida, ainsi que le « ‘Aqidatou al Imane », et son commentaire « Hadiyyatou al Ikhwane ».

Dans les disciplines liées à la purification des âmes et de la pédagogie scolastique, il apprend à l’école (madrasat) de son père le « Bidayatou al Hidaya » d’Abou Hamid Al Ghazali, l’essentiel de l’œuvre de l’illustre Imam Al Haddad, que certains savants azharites de son temps ont considéré comme le revificateur des sciences religieuses au douzième siècle après l’hégire, comme « Al Naswa’ihou al Diniyat », « al Da’awat al tammat », « Risalatou al Moua’awana » et « Risalatou al moudhakara», en commençant par l’incontournable « Ta’alim al mouta’alim toiriqa al ta’aalloum » d’az Zaroundji al Hanafi, et « risalatou l’adhkiya » d’Almalibari.

En poésie liturgique, il apprend, à la maison et à la madrasat de son père l’œuvre monumentale de l’illustre compagnon Ka’ab ibnou Zouhayr , « Banat Sou’and », « Madaridjou al ’Ounlat », d’un des shouyoukhs de son maître, dont il lit l’introduction et quelques parties, « Ta’iyatou al Soulouki ila Maliki al Moulouki », « Nafhatou al Wardat fi manhadji al bourda », du célèbre poète et grammairien comorien Bourhane Mkallé et le début de « Salatou al Moudhar ». Avec l’aide de son grand frère Ibrahim le jeune Mouhammed Badjarafil va apprendre par cœur la quasi-totalité des poèmes du recueil de l’Imam ash Shafi’i.....................

http://mohamedbajrafil.unblog.fr/biographie-de-mohamed-bajrafil/
c'était à titre d'exemple sans vouloir généraliser ou avoir des préjugés sur les imams . Toutefois, ils sont peu, sur le nombre de mosquées , à avoir un tel savoir .
 

Drianke

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Contributeur
Oui nous sommes d'accord et c'est pas des chalgoumi qui vont relever le niveau justement, les imams de la répoublique merci qu'on les mette sur les marché à vendre de la naana...:D on doit former nos imams dans nos centres prévus à cet effet comme celui de Paris que j'ai posté plus haut par exemple!

c'était à titre d'exemple sans vouloir généraliser ou avoir des préjugés sur les imams . Toutefois, ils sont peu, sur le nombre de mosquées , à avoir un tel savoir .
 
il apparaîtrait d'apres certaine infos circulant dans le milieux politique que la formation des imams soit confiée a l’université de Strasbourg !
et qu'elle serait la seule habilitée pour ce travail
 
il apparaîtrait d'apres certaine infos circulant dans le milieux politique que la formation des imams soit confiée a l’université de Strasbourg !
et qu'elle serait la seule habilitée pour ce travail
une seule université pour les former ? ça me semble peu ? plutôt que de les former, c'est peut être pour les formater ? :bizarre:
 

anatolien

c ttttc
Bladinaute averti
je ne connait pas cette institution je ne connai que google qui est gratuit est accessible meme aux handicapés

je sais qu'ils n'arrivent pas a attirer une cession complète en étudiants

tout le monde préfère un diplome permettant de sauver ca vie ici bas

personne n'envoie son enfant à l'inconnu l'incompris

trop de tapage mediatique mensongés
 
alors une info ! le gouvernement est en train depuis plusieurs jours de nommé une commission composée de linguistes, de theologiens, d'historiens afin d’étudier le coran et les hadith !
dans quel but ? je pense que c'est evident !
 

Drianke

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Contributeur
lol et re lol :D:D

alors une info ! le gouvernement est en train depuis plusieurs jours de nommé une commission composée de linguistes, de theologiens, d'historiens afin d’étudier le coran et les hadith !
dans quel but ? je pense que c'est evident !
 

supermaxx

Bladinaute averti
Le problème est plutôt d'essayer de comprendre pourquoi certains jeunes (convertis ou non) ont ce besoin d'aller se radicaliser. J'avais lu un article expliquant que le manque d'espoir en l'avenir, la perte de repères, la perte de valeurs pouvait pousser certains à la recherche d'un soi-disant bonheur qu'à l'heure actuelle daesh semble donner à certains esprits...
Parce que l'imam radical, il ne prêche pas dans les mosquées traditionnelles.
Y peut y avoir le gout de l'aventure, fini les jeux videos ou tu dégommes l'ennemis et joues à la guerre.
On t'offre de vivre l'avanture de ta vie, des armes, un territoire où reigner, le pouvoir, éventuellement des femmes, de l'argent.
Le point commun c'est que tous ont fait de la prison, des délinquants à la base. On sait que le réinsertion ne marche pas vraiment, tu crois qu'un braqueur sans diplome ou un vendeur de shit vas faire le ménage à carrefour ou vigile ou livreur de pizza?! Sérieux pour un délinquant daesh ça fait rêver. C'est comme rejoindre la mafia italienne en grillant plusieurs échelons.
On voit pas des ingénieurs informaticiens y aller,
 
Mais bien sûr...:rolleyes:
Tu te rends compte de l'énormité que tu as écrite ou pas du tout? Si elle est vrai, y a de quoi faire tomber le gouvernement, tout simplement.
je ne vois pas comment je ferais tomber un gouvernement alors que n'importe qui peut avoir cette info !!
le gouvernement et les 2 chambres prennent des decisions tous les jours, seule une petite partie est publié dans les journaux (les partie les plus accrocheuses^^) le gouvernement et les 2 chambres nomment des commissions regulierement et c'est public il suffit de demander ! je ne vois pas ce qu'il y a d'enorme sauf a voir que tu ne connais pas la vie politique !
 
je ne vois pas comment je ferais tomber un gouvernement alors que n'importe qui peut avoir cette info !!
Oh ce n'est pas toi ni d'ailleurs personne ici qui le pourrait.
L'action que tu décris ( réunion d'une commission de différents scientifiques uniquement dans le but d'étudier le Coran et les hadiths pour le compte du gouvernement donc dans un but politique )le suffirait à elle seule.
Si tu es française ce que je dis ne devrait te poser strictement aucun problème de compréhension. Il suffit de se reporter aux articles de la loi de 1905...
je ne vois pas ce qu'il y a d'enorme sauf a voir que tu ne connais pas la vie politique !
C'est bien ça le problème...
 
Oh ce n'est pas toi ni d'ailleurs personne ici qui le pourrait.
L'action que tu décris ( réunion d'une commission de différents scientifiques uniquement dans le but d'étudier le Coran et les hadiths pour le compte du gouvernement donc dans un but politique )le suffirait à elle seule.
Si tu es française ce que je dis ne devrait te poser strictement aucun problème de compréhension. Il suffit de se reporter aux articles de la loi de 1905...
c'est une commission d’enquête comme ça a été fait pour le concordat avec la religion juive ! et je pense que c'est dans le meme but ! donc rien de genant vis a vis de la loi de 1905
 
Des imams « certifiés » et habilités à exercer dans les mosquées françaises. C'est la proposition faite par le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Anouar Kbibech, mardi 24 novembre.
Selon Anouar Kbibech, cette habilitation devrait prévoir une vérification des connaissances théologiques de l'imam et surtout son adhésion aux valeurs républicaines par la signature d'une charte de l'imam, charte en cours d'élaboration par le CFCM.
Mais l'absence de cette nouvelle certification n'empêchera (...)

- Monde / Religion, Terrorisme, Conseil Français du Culte Musulman, France

Des imams « certifiés » en France
les français veulent les halalisés ??

ça veut dire quoi halal ?? égorgé selon le rite musulman ??
 
Au contraire, Chalghoumi est le contraire absolu de ce qu'un "imam certifié" par l'Etat devrait être.

Dans son dialogue avec les communautés religieuses, l'Etat a besoin de s'adresser à des intellectuels compétents, légitimes et consensuels. La dernière chose dont il a besoin serait de s'auto-intoxiquer avec des parasites, des imposteurs ou des marionnettes.

Dans mon esprit, un imam, un faqih, un qadi ou un mufti (etc...) "certifié par l'Etat" serait un citoyen français ayant accompli un solide cursus universitaire en matière religieuse, ceci au sein d'un institut privé dont les diplômes seraient reconnus par l'Etat mais qui ne serait pas directement géré par lui.

Marwan Mohamed et Mohamed Bajrafil serait bien dans ce contexte.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Marwan Mohamed et Mohamed Bajrafil serait bien dans ce contexte.

Voilà, tout à fait, par exemple !

Je suis loin d'être d'accord sur tout avec M. Mohamed, mais il s'agit au moins d'une pensée bien structurée, cultivée et fondée sur une légitimité certaine.

L'Etat n'a pas besoin de "cadres des cultes" qui soient des bénis-oui-oui, mais simplement des gens avec des compétences, des convictions et une autorité bien installée. M. Mohamed et M. Bajrafil correspondent bien plus à ce profil que certaines autres figures beaucoup plus médiatisées, mais que je ne me permettrai pas de nommer ! :claque:
 
Eux doivent deja subir une longue formation et des examens par des organismes de leurs communautes.

C'est justement ca le probleme avec les imams (sunnites): n'importe qui peut le devenir, sans vraiment passer par une formation solide auparavant. La qualite est pietre.
Dans la plupart des mosquées ils demandent diplômes
C'est pas à la portée du premier venu d'avoir ses diplômes
 
Tous ? J'en doute...

Certains s'autoproclament imans et exercent dans des salles incognitos...

Il y beaucoup de mosquées pour peu d'imams diplômés donc faut bien que quelqu'un dirige la prière, diplôme ou pas.
Donc il faut faire un effort sur la formation et les écoles privées plutôt que la construction de mosquées.
Et l'état doit aider dans ce sens au lieu de freiner les projets.
 
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