Des parlementaires américains veulent revoir le partenariat avec l'Afrique du Sud

" Des parlementaires" payés par qui ?
L'esclavagisme et l'apartheid doit être payé
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Alors qu’elles se sont déjà détériorées en raison de la position de non-alignement de Pretoria vis-à-vis de la guerre en Ukraine, les relations entre l’Afrique du Sud et les États-Unis pourraient prendre un nouveau coup du fait de la situation dans la bande de Gaza.

Washington est le deuxième partenaire commercial pour la nation Arc-en-ciel en termes d’exportations, notamment grâce à l’Agoa, une loi qui offre des avantages commerciaux pour les nations africaines. Mais à la suite du soutien apporté par l’Afrique du Sud aux Palestiniens, en accusant notamment Israël de génocide devant la Cour internationale de Justice et en obtenant des mesures d’urgence, des parlementaires américains demandent à Washington d'être moins clément avec l'Afrique du Sud. Ils ont même décidé d’agir et de déposer un projet de loi pour transformer ces relations.

Ce projet de loi doit maintenant être accepté par un comité, puis débattu, et la route est donc encore très longue avant un possible vote devant les deux chambres du Congrès. Mais son caractère bipartisan indique comment sont perçues les prises de positions sud-africaines par certains représentants américains.


John James, du parti républicain, récent soutien de Donald Trump, et Jared Moskowitz, du parti démocrate, appellent la présidence à conduire « un réexamen » de ces relations bilatérales. Ces parlementaires accusent notamment Pretoria d’avoir pris fait et cause pour le Hamas, depuis l’attaque du 7 octobre.
rfi
 
" Des parlementaires" payés par qui ?
L'esclavagisme et l'apartheid doit être payé
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Alors qu’elles se sont déjà détériorées en raison de la position de non-alignement de Pretoria vis-à-vis de la guerre en Ukraine, les relations entre l’Afrique du Sud et les États-Unis pourraient prendre un nouveau coup du fait de la situation dans la bande de Gaza.

Washington est le deuxième partenaire commercial pour la nation Arc-en-ciel en termes d’exportations, notamment grâce à l’Agoa, une loi qui offre des avantages commerciaux pour les nations africaines. Mais à la suite du soutien apporté par l’Afrique du Sud aux Palestiniens, en accusant notamment Israël de génocide devant la Cour internationale de Justice et en obtenant des mesures d’urgence, des parlementaires américains demandent à Washington d'être moins clément avec l'Afrique du Sud. Ils ont même décidé d’agir et de déposer un projet de loi pour transformer ces relations.

Ce projet de loi doit maintenant être accepté par un comité, puis débattu, et la route est donc encore très longue avant un possible vote devant les deux chambres du Congrès. Mais son caractère bipartisan indique comment sont perçues les prises de positions sud-africaines par certains représentants américains.


John James, du parti républicain, récent soutien de Donald Trump, et Jared Moskowitz, du parti démocrate, appellent la présidence à conduire « un réexamen » de ces relations bilatérales. Ces parlementaires accusent notamment Pretoria d’avoir pris fait et cause pour le Hamas, depuis l’attaque du 7 octobre.
rfi
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Que des lâches qui ne veulent pas qu'on appelle un chat un chat parce que le lobby pro israelien pèse de son poids dans la vie politique et diplomatique américaine.

Et ce sont les mêmes Usa qui vont sanctionner des pays qui refusent de brader leur souveraineté d'atteintes à des droits de l'homme pour UN journaliste ou opposant détenu alies qu'Israel a tué déja au moins 80 journalistes les visant par des tirs de fusils ou obus de chars.

Sans parler du génocide perpétré par l'occupant avec des armes US pour l'expansionisme qui a tué massivement des années avant le 7 0ctobre, juste avant le 7 octobre, pendant et aprés le 7 octobre.

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" Des parlementaires" payés par qui ?
L'esclavagisme et l'apartheid doit être payé
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Alors qu’elles se sont déjà détériorées en raison de la position de non-alignement de Pretoria vis-à-vis de la guerre en Ukraine, les relations entre l’Afrique du Sud et les États-Unis pourraient prendre un nouveau coup du fait de la situation dans la bande de Gaza.

Washington est le deuxième partenaire commercial pour la nation Arc-en-ciel en termes d’exportations, notamment grâce à l’Agoa, une loi qui offre des avantages commerciaux pour les nations africaines. Mais à la suite du soutien apporté par l’Afrique du Sud aux Palestiniens, en accusant notamment Israël de génocide devant la Cour internationale de Justice et en obtenant des mesures d’urgence, des parlementaires américains demandent à Washington d'être moins clément avec l'Afrique du Sud. Ils ont même décidé d’agir et de déposer un projet de loi pour transformer ces relations.

Ce projet de loi doit maintenant être accepté par un comité, puis débattu, et la route est donc encore très longue avant un possible vote devant les deux chambres du Congrès. Mais son caractère bipartisan indique comment sont perçues les prises de positions sud-africaines par certains représentants américains.


John James, du parti républicain, récent soutien de Donald Trump, et Jared Moskowitz, du parti démocrate, appellent la présidence à conduire « un réexamen » de ces relations bilatérales. Ces parlementaires accusent notamment Pretoria d’avoir pris fait et cause pour le Hamas, depuis l’attaque du 7 octobre.
rfi
Voici comment se vote une loi aux Congrès Américain

Article 1 section 1 de la constitution des USA

Les lois commencent sous forme d'idées. Tout d'abord, un représentant parraine un projet de loi. Le projet de loi est ensuite attribué à une commission pour étude. S'il est approuvé par la commission, le projet de loi est inscrit à un calendrier pour être soumis au vote, débattu ou modifié. Si le projet de loi est adopté à la majorité simple (218 sur 435), il passe ensuite au Sénat. Au Sénat, le projet de loi est attribué à une autre commission et, s'il est approuvé, il est débattu et voté. Une fois de plus, une majorité simple (51 sur 100) permet l'adoption du projet de loi. Enfin, une commission mixte composée de membres de la Chambre des représentants et du Sénat résout les éventuelles divergences entre les versions de la Chambre et du Sénat du projet de loi. Le projet de loi résultant retourne à la Chambre des représentants et au Sénat pour approbation finale. Le Government Printing Office imprime le projet de loi révisé dans le cadre d'un processus appelé l'enrôlement. Le Président dispose de 10 jours pour signer ou opposer son veto au projet de loi enrôlé.

ça peut mettre plusieurs années....
 
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