Après des mois de valses-hésitations, Desertec sest enfin décidé. Le mégaprojet conduit par des firmes allemandes pour la production dénergie solaire implantera sa première centrale en 2012 au Maroc, pour un investissement de 800 millions de Dollars .
Lannonce en a été dautant plus forte quelle a été faite par le PDG de la Desertec Industrial Initiative (DII), Paul Van Son, en personne. Face au renchérissement croissant des énergies fossiles et aux défis climatiques, lEurope prévoit dores et déjà de couvrir une partie de ses besoins en énergie électrique à partir des sources renouvelables.
Le solaire est lénergie qui sy prête le mieux, dautant quil peut être acheminé rapidement, à partir du sud de la méditerranée, et du Sahara, où le soleil brille de mille feux .
Cest dans ce sens que le projet Desertec prépare la liaison du vieux Continent à tout un réseau de centrales solaires en Afrique du nord et au Moyen Orient. Coût global estimé de ce projet pharaonique: quelque 400 milliards deuros.
Un montant fabuleux qui, dans le contexte de crise financière internationale, fait figure daubaine et attise les convoitises. Le choix du Maroc pour limplantation de la première centrale photovoltaïque du projet Desertec nest pas anodin. La stabilité politique et sociale du Maroc a été un élément déterminant, a affirmé le PDG du groupe munichois.
Le fait que le pays soit relié à lEurope par deux câbles sous-marins aussi. Mais cest certainement la détermination des marocains qui a fini par décider les patrons de DII. Les programmes en cours dans le pays pour le développement des énergies propres en sont une parfaite illustration.
Outre la réalisation de plusieurs parcs éoliens et le lancement des travaux d une centrale solaire à Ouarzazate qui préfigure le méga-plan solaire marocain , le Maroc a signé le Pacte énergétique euro-méditerranéen. Porté par lUnion pour la Méditerranée (UpM), ce pacte projette de réaliser le Plan solaire Méditerranéen.
A lhorizon 2020, ce Plan vise à installer une capacité électrique 20 GW au sud et à lest de la méditerranée. Lobjectif est de répondre aux besoins croissants des pays du sud en énergie électrique, estimés à 6% annuellement, tout en exportant les surplus générés vers lEurope.
Lannonce en a été dautant plus forte quelle a été faite par le PDG de la Desertec Industrial Initiative (DII), Paul Van Son, en personne. Face au renchérissement croissant des énergies fossiles et aux défis climatiques, lEurope prévoit dores et déjà de couvrir une partie de ses besoins en énergie électrique à partir des sources renouvelables.
Le solaire est lénergie qui sy prête le mieux, dautant quil peut être acheminé rapidement, à partir du sud de la méditerranée, et du Sahara, où le soleil brille de mille feux .
Cest dans ce sens que le projet Desertec prépare la liaison du vieux Continent à tout un réseau de centrales solaires en Afrique du nord et au Moyen Orient. Coût global estimé de ce projet pharaonique: quelque 400 milliards deuros.
Un montant fabuleux qui, dans le contexte de crise financière internationale, fait figure daubaine et attise les convoitises. Le choix du Maroc pour limplantation de la première centrale photovoltaïque du projet Desertec nest pas anodin. La stabilité politique et sociale du Maroc a été un élément déterminant, a affirmé le PDG du groupe munichois.
Le fait que le pays soit relié à lEurope par deux câbles sous-marins aussi. Mais cest certainement la détermination des marocains qui a fini par décider les patrons de DII. Les programmes en cours dans le pays pour le développement des énergies propres en sont une parfaite illustration.
Outre la réalisation de plusieurs parcs éoliens et le lancement des travaux d une centrale solaire à Ouarzazate qui préfigure le méga-plan solaire marocain , le Maroc a signé le Pacte énergétique euro-méditerranéen. Porté par lUnion pour la Méditerranée (UpM), ce pacte projette de réaliser le Plan solaire Méditerranéen.
A lhorizon 2020, ce Plan vise à installer une capacité électrique 20 GW au sud et à lest de la méditerranée. Lobjectif est de répondre aux besoins croissants des pays du sud en énergie électrique, estimés à 6% annuellement, tout en exportant les surplus générés vers lEurope.