http://www.lakome.com/سي...585;-العدل.html
Dans une lettre envoyée au ministre de la justice et des libertés M. Ramid, les personnes interpellées dans le cadre de l'affaire Argana parlent de scènes de "torture monstrueuse".
Les détenus indiquent qu'ils ont été soumis systématiquement à " la Falaqa, la Tayyara, les douches froides, le déshabillement, les menaces de viol sur les prisonniers, les menaces de viol des mères et des épouses des détenus devant leurs yeux, le ligotement continuel des mains et des pieds, l'interdiction de dormir, sans parler des insultes continuelles".
Les détenus ont également affirmé que dans des fins de pression psychologiques, les enquêteurs ont "uriné sur le saint Coran, et insulté le nom divin" !
Ils ont également indiqué au ministre "avoir été forcés de signer les PV des enquêteurs, sans avoir le droit de les lire". Ils rappellent entre autres au ministre le détail de leur interpellation: "Nous avons été arrêtés en pleine nuit par des agents en civil ne disposant d'aucun mandat d'arrêt, et emmenés dans des voitures banalisées".
Des affirmations gravissimes qui n'ont suscité pour l'instant aucune réaction du ministre, surtout que des témoignages similaires ont été apportés par d'autres détenus dans des affaires de terrorisme.
Est-ce cela la "fête démocratique" dont parle le ministre Choubani dans une interview accordée à un quotidien britannique ?
Qui contrôle le respect des droits humains dans ce pays ? Qui ordonne la torture et protège les tortionnaires ? Pourquoi les gens qui prétendaient défendre le peuple se taisent actuellement lorsqu'ils sont arrivés au gouvernement ?
Quel est le rôle de ministre de la justice et des libertés, à part de justifier les exactions du Makhzen contre les populations comme il l'a fait lors des événements de Taza ?
Dans une lettre envoyée au ministre de la justice et des libertés M. Ramid, les personnes interpellées dans le cadre de l'affaire Argana parlent de scènes de "torture monstrueuse".
Les détenus indiquent qu'ils ont été soumis systématiquement à " la Falaqa, la Tayyara, les douches froides, le déshabillement, les menaces de viol sur les prisonniers, les menaces de viol des mères et des épouses des détenus devant leurs yeux, le ligotement continuel des mains et des pieds, l'interdiction de dormir, sans parler des insultes continuelles".
Les détenus ont également affirmé que dans des fins de pression psychologiques, les enquêteurs ont "uriné sur le saint Coran, et insulté le nom divin" !
Ils ont également indiqué au ministre "avoir été forcés de signer les PV des enquêteurs, sans avoir le droit de les lire". Ils rappellent entre autres au ministre le détail de leur interpellation: "Nous avons été arrêtés en pleine nuit par des agents en civil ne disposant d'aucun mandat d'arrêt, et emmenés dans des voitures banalisées".
Des affirmations gravissimes qui n'ont suscité pour l'instant aucune réaction du ministre, surtout que des témoignages similaires ont été apportés par d'autres détenus dans des affaires de terrorisme.
Est-ce cela la "fête démocratique" dont parle le ministre Choubani dans une interview accordée à un quotidien britannique ?
Qui contrôle le respect des droits humains dans ce pays ? Qui ordonne la torture et protège les tortionnaires ? Pourquoi les gens qui prétendaient défendre le peuple se taisent actuellement lorsqu'ils sont arrivés au gouvernement ?
Quel est le rôle de ministre de la justice et des libertés, à part de justifier les exactions du Makhzen contre les populations comme il l'a fait lors des événements de Taza ?