Deux étudiantes créent une plateforme de covoiturage entre femmes

Globul

Bladinaute averti
Étudiantes à Neoma Business School, école de commerce de Rouen, Camille Cottard, 19 et Valentine Maguet ont eu l’idée de créer une application de covoiturage pour femmes : Drive Lady. Encore en développement, cette application permettra de proposer des voyages plus sécurisants pour les femmes, et donc de lutter contre les agressions, qu’elles soient physiques ou verbales.

Naissance du projet​

En première année d’études à Neoma, lors d’un exercice, les deux étudiantes avaient trois jours pour créer une startup fictive, qui n’existe pas sur le marché. L’idée de Drive Lady leur vient alors.

« Il n’y a pas d’application entièrement dédiée aux femmes. Même si quelques-unes proposent de cocher la case ‘women only’ pour trouver une conductrice femme, on peut tout de même se retrouver avec un homme dans le véhicule », précise Camille, l’une des deux créatrices.

Le projet plaît à l’école, qui commence alors à les accompagner dans la réalisation d’une application. « Pour le moment, nous avons juste un groupe Facebook, avec déjà plus d’une centaine d’abonnées, dont certaines qui nous font des propositions et suivent le projet. »

Pour les femmes, par les femmes​

Pour Camille et Valentine, ce projet est une évidence. « Quand on voit que Uber a recensé 3 800 agressions en un an (rapport de sécurité de la plateforme Uber sur la période 2019-2020, publié en 2022), que 83 % des femmes déclarent avoir déjà subi des propos déplacés voir plus lors d’une course (étude Harris Interactive pour Uber publiée en mai 2019, propos allant de la drague lourde et insistante à l’agression physique ou sexuelle ). Il y a énormément de chiffres qui prouvent que les femmes ne sont pas en sécurité lors de trajets. L’une de nous a d’ailleurs déjà vécu une agression dans un Uber » explique Camille.

Comment ça fonctionne ?​

Afin d’avoir accès à l’application Drive Lady, il faudra bien sûr rentrer son identité. Comme Blablacar, les conductrices publieront un trajet, et les passagères pourront le choisir. « La plateforme proposera des itinéraires longs, comme des itinéraires courts dans toute la France », termine Camille.

 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
Perso, je prendrais pas , meme entre femmes .c'est des inconnues. Tout est insecurisant de nos jours .
Meme la formule du blablacar ne me seduit pas .
 

Globul

Bladinaute averti
Perso, je prendrais pas , meme entre femmes .c'est des inconnues. Tout est insecurisant de nos jours .
Meme la formule du blablacar ne me seduit pas .
Juste pour des histoires de femmes qui ne s'entendent pas elles...c'est pas des agressions verbales, physique ou sexuelle comme avec les hommes
 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
Juste pour des histoires de femmes qui ne s'entendent pas elles...c'est pas des agressions verbales et physique ou sexuelle comme avec les hommes
J'aime pas le principe de partir avec des inconnus ou des inconnues . On est sur de rien de nos jours .
 

Globul

Bladinaute averti
J'aime pas le principe de partir avec des inconnus ou des inconnues . On est sur de rien de nos jours .
99% des covoiturage se déroule bien..ta plus de chance d'avoir d'autres gros soucis. Seulement ces blablcar est fait pour des gens qui discutent beaucoup et qui n'ont pas envie de faire des trajets seuls.
 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
99% des covoiturage se déroule bien..ta plus de chance d'avoir d'autres gros soucis. Seulement ces blablcar est fait pour des gens qui discutent beaucoup et qui n'ont pas envie de faire des trajets seuls.
J'aime pas le convoiturage avec des inconnu (e) s . Je suis pas a l'aise
Mais avec des amies pourquoi pas .
 
Étudiantes à Neoma Business School, école de commerce de Rouen, Camille Cottard, 19 et Valentine Maguet ont eu l’idée de créer une application de covoiturage pour femmes : Drive Lady. Encore en développement, cette application permettra de proposer des voyages plus sécurisants pour les femmes, et donc de lutter contre les agressions, qu’elles soient physiques ou verbales.

Naissance du projet​

En première année d’études à Neoma, lors d’un exercice, les deux étudiantes avaient trois jours pour créer une startup fictive, qui n’existe pas sur le marché. L’idée de Drive Lady leur vient alors.

« Il n’y a pas d’application entièrement dédiée aux femmes. Même si quelques-unes proposent de cocher la case ‘women only’ pour trouver une conductrice femme, on peut tout de même se retrouver avec un homme dans le véhicule », précise Camille, l’une des deux créatrices.

Le projet plaît à l’école, qui commence alors à les accompagner dans la réalisation d’une application. « Pour le moment, nous avons juste un groupe Facebook, avec déjà plus d’une centaine d’abonnées, dont certaines qui nous font des propositions et suivent le projet. »

Pour les femmes, par les femmes​

Pour Camille et Valentine, ce projet est une évidence. « Quand on voit que Uber a recensé 3 800 agressions en un an (rapport de sécurité de la plateforme Uber sur la période 2019-2020, publié en 2022), que 83 % des femmes déclarent avoir déjà subi des propos déplacés voir plus lors d’une course (étude Harris Interactive pour Uber publiée en mai 2019, propos allant de la drague lourde et insistante à l’agression physique ou sexuelle ). Il y a énormément de chiffres qui prouvent que les femmes ne sont pas en sécurité lors de trajets. L’une de nous a d’ailleurs déjà vécu une agression dans un Uber » explique Camille.

Comment ça fonctionne ?​

Afin d’avoir accès à l’application Drive Lady, il faudra bien sûr rentrer son identité. Comme Blablacar, les conductrices publieront un trajet, et les passagères pourront le choisir. « La plateforme proposera des itinéraires longs, comme des itinéraires courts dans toute la France », termine Camille.

Naturellement pour se protéger et bien vivre les femmes finissent systématiquement par adopter la non mixité radicale.

1629292884-qsdsd.png
 
Haut