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La population mondiale pourrait avoir à devenir quasi-végétarienne dans les 40 prochaines années pour éviter des pénuries alimentaires catastrophiques. Daprès le Stockholm International Water Institute, nous aurions à passer de 20% de protéines venant de produits animaux à 5% afin de réussir à nourrir les 2 milliards de personnes en plus qui seront sur terre dici 2050:
«Il ny aura pas suffisamment deau disponible sur nos champs actuels pour produire de la nourriture pour la population de 9 milliards que nous devrions constituer en 2050 si nous nous basons sur les tendances et les changements de diète communs dans les pays occidentaux.»
Pour nous en sortir, nous devrions non seulement baisser la proportion daliments animaliers à 5% de nos calories consommées, mais aussi mettre en place un bon système déchange alimentaire pour faire face à des «déficits deau régionaux considérables», préviennent les chercheurs dans cette étude dénichée par The Guardian.
Daprès eux, devenir végétariens serait une façon daugmenter la quantité deau disponible pour faire pousser plus de nourriture, puisquun tiers de la terre cultivable de la planète est utilisée pour faire pousser des plantes qui servent à nourrir les animaux.
Pour réussir à nourrir toute la planète, on pourrait également éliminer le gâchis alimentaire ou augmenter les échanges entre les pays qui ont un surplus et ceux qui ont un déficit de nourriture.
Le Stockholm International Water Institute publie son rapport au début de la conférence mondiale sur leau qui a lieu chaque année à Stockholm, en Suède, où chercheurs, politiques et ONG se retrouvent pour discuter des problèmes de ressources en eau.
Le sujet nest pas pour autant aussi tranché que ça: il nest en effet pas sûr que les végétariens des pays riches consomment moins des ressources planétaires que les omnivores. La Worldwide Fund for Nature a ainsi publié un rapport en 2010 sur limpact de la production alimentaire qui soulignait que les substituts à la viande ou les aliments faits de soja importé (comme le tofu) pourraient en fait utiliser plus de terres cultivables que leurs équivalents en viande ou produits laitiers.
![végétarien.jpg végétarien.jpg](https://www.bladi.info/data/attachments/30/30482-aaaff0538779f90d3ee068b648f112bc.jpg)
Libération
La population mondiale pourrait avoir à devenir quasi-végétarienne dans les 40 prochaines années pour éviter des pénuries alimentaires catastrophiques. Daprès le Stockholm International Water Institute, nous aurions à passer de 20% de protéines venant de produits animaux à 5% afin de réussir à nourrir les 2 milliards de personnes en plus qui seront sur terre dici 2050:
«Il ny aura pas suffisamment deau disponible sur nos champs actuels pour produire de la nourriture pour la population de 9 milliards que nous devrions constituer en 2050 si nous nous basons sur les tendances et les changements de diète communs dans les pays occidentaux.»
Pour nous en sortir, nous devrions non seulement baisser la proportion daliments animaliers à 5% de nos calories consommées, mais aussi mettre en place un bon système déchange alimentaire pour faire face à des «déficits deau régionaux considérables», préviennent les chercheurs dans cette étude dénichée par The Guardian.
Daprès eux, devenir végétariens serait une façon daugmenter la quantité deau disponible pour faire pousser plus de nourriture, puisquun tiers de la terre cultivable de la planète est utilisée pour faire pousser des plantes qui servent à nourrir les animaux.
Pour réussir à nourrir toute la planète, on pourrait également éliminer le gâchis alimentaire ou augmenter les échanges entre les pays qui ont un surplus et ceux qui ont un déficit de nourriture.
Le Stockholm International Water Institute publie son rapport au début de la conférence mondiale sur leau qui a lieu chaque année à Stockholm, en Suède, où chercheurs, politiques et ONG se retrouvent pour discuter des problèmes de ressources en eau.
Le sujet nest pas pour autant aussi tranché que ça: il nest en effet pas sûr que les végétariens des pays riches consomment moins des ressources planétaires que les omnivores. La Worldwide Fund for Nature a ainsi publié un rapport en 2010 sur limpact de la production alimentaire qui soulignait que les substituts à la viande ou les aliments faits de soja importé (comme le tofu) pourraient en fait utiliser plus de terres cultivables que leurs équivalents en viande ou produits laitiers.
![végétarien.jpg végétarien.jpg](https://www.bladi.info/data/attachments/30/30482-aaaff0538779f90d3ee068b648f112bc.jpg)
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