Selon un ami qui vit là bas, la population est en majorité berberophone. Parait que même les enfants s'échangent entre eux dans la langue locale.
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Je ne fais que dire ce qui m'a été dit. Après ça reste à vérifier, oui. J'espère juste que c'est vrai.La première personne semble bien parler thamazight, on dirait vraiment du Rif.
Maintenant je ne pense pas que les habitants parlent thamazight, il s'agit seulement de quelques phrases.
Je ne fais que dire ce qui m'a été dit. Après ça reste à vérifier, oui. J'espère juste que c'est vrai.
Le deuxième Mr sur la video, j'ai l'impression qu'il la maîtrise bien aussi.
Beni Boussaid est le dernier foyer de tamazight à Tlemcen. Espérons juste qu'ils sauront sauver leur dialecte de l'extinction.
Ce n'est pas du beni snassen ?
Il doit y avoir encore quelques personnes qui parlent thamazight, mais j'ai consulté plusieurs pages youtube et les habitants s'expriment toujours en arabe à Beni Bouss3eid.
Vrai. Mais il a l'air jeune, ce qu'est en soi un indice de la viabilité de la langue dans une certaine mesure. Enfin "jeune", je veux dire c'est pas un vieux sénile lolJ'aime pas trop son accent...
Les habitants de Beni Snouss parlent (parlaient) comme les Znassis , mais ça reste compréhensible pour les rifs.
Si tu as d'autres vidéos je suis là.
Il y a le chef lieu, et il y a les villages autours, qui le surplombent, ça ne m'étonnerait que dans l'un d'eux, la langue se préserve plus ou moins bien ou beaucoup mieux qu'ailleurs. Quoi que au delà de ce que j'ai pu entendre, comme toi, je crois que cette langue est entrain de vivre ses derniers jours dans la région.
Sincèrement je n'y crois pas à un réveil chez les habitants de Beni Snouss, ils ont d'autres préoccupations...
Pour pouvoir réapprendre thamazight je ne vois que 2 solutions:
1) Enseigner thamazight dans les écoles par des rifains uniquement et non par des chleuhs, kabyles etc...
2) Ouvrir les frontières; ce qui permettra aux habitants de Beni Snouss de voyager dans le Rif et vise versa.
j'ai trouvé cette vidéo qui est une conversation entre le tamazight de beni boussaid et le kabyle ,
c'est le gars avec le gars avec la casquette bleue qui parle le chelhi
C'est vrai que le rifain se porte plutot bien par rapport à ce qu'il a subit, mais la volonté ne suffit, il faudrai l'enseigner comme langue maternelle au moins quelques heures par semaine à côté de l'arabe classique et le français, sinon on disparaîtra petit à petitMerci pour ce magnifique partage et le temps que tu as du prendre pour là dénicher.
Le monsieur avec sa casquette me fait penser à un ami qui s'appelle Hassan qui vient de Azghanghan à Nador. Il se prend déjà la tête avec le kabyle à partir de 02:35 -> 03:05
Pour revenir à la vidéo, il a l'air de bien parler thamazight, je trouve même qu'il parle mieux thamazight que l'arabe, c'est vraiment bizarre tout ça... Il doit encore avoir quelques personnes qui parlent thamazight là-bas. C'est un petit peu comme les Ghomaras au Nord Ouest du Maroc, on dit qu'ils sont 5 000 à encore parler thamazight mais j'en ai croisé un de toute ma vie qui parlait bien thamazight et il était très vieux !
Si les Beni Snouss veulent préserver la langue amazigh, ils peuvent écouter des musiques rifaines pour commencer parce que franchement y a pas de différence, ils remplacent juste le "dj" par le "l" mais le vocabulaire est le même. Ils peuvent se calquer sur le vocabulaire des Kebdanas.
Je pense que la langue du Rif va encore existé 100 ans après ; j'ai même l'impression qu'il y a plus de rifs maintenant qu'avant. Dans les années 60 la majorité des rifs ont migré à Tanger, Azila, Meknes, Tetouan, La3raech et ils se sont bien darijisés là-bas. Cela pouvait être une vraie menace pour le maintien de la langue.
Ce qui est étrange c'est que les MRE ont appris plusieurs langues en Europe (français-anglais ou néerlandais-anglais) et pourtant dans l'ensemble les rifs parlent thamazight et le parlent suffisamment bien.
Par contre, les rifs du bled qui sont nés dans les villes darijophones ne parlent pas un mot l'amazigh. Je pense que les marocains et les algériens sont tout simplement fainéant ! Ils sont préoccupés par l'argents...
Les MRE ont grandis en Europe, avec des gens qui ont plus de valeurs, ici en Belgique vous trouvez beaucoup de rifs qui savent parler rif, darija, français, anglais et un peu néerlandais.
Est-ce un problème de savoir parler 5 langues pour eux?
Les Beni Snouss peuvent s'en prendre qu'à eux même, ils savent qu'il y a plus de 2 000 000 de rifs qui parlent encore thamazight dans le monde.
En 1923 il y avait moins de 3 000 000 d'habitants au Maroc, la population de la République du Rif était de 900 000 habitants, la majorité était des arabophones (Azila, Tetouan, Chefchaouen, Ouazzan), il n'y avait pas de villes rifophones à l'époque. Nador, Arouit, Melila n'ont pas été inclus dans la République du Rif.
Malgré toutes les épreuves endurées répressions, famines, guerres, migrations, arabisations.
Aujourd'hui il y a plus de 2 000 000 de rifs dans le monde. Nador est plus riche que Casablanca, se sont les rifs de la province de Nador qui ont investi à Tanger dans les années 80.
Je pense que les rifs n'ont jamais été aussi bien aujourd'hui qu'auparavant ! C'est pour ça que très peu de rifs ont suivi le mouvement du Hirak.
Les Benis Snouss doivent prendre exemple sur nous et apprendre le rif !
Les rifs eux doivent maintenant prendre exemple sur les kabyles c'est à dire avoir de grandes villes comme Bejaïa, Tizi Ouzou
C'est vrai que le rifain se porte plutot bien par rapport à ce qu'il a subit, mais la volonté ne suffit, il faudrai l'enseigner comme langue maternelle au moins quelques heures par semaine à côté de l'arabe classique et le français, sinon on disparaîtra petit à petit
Il parle comme chez nous.j'ai trouvé cette vidéo qui est une conversation entre le tamazight de beni boussaid et le kabyle ,
c'est le gars avec le gars avec la casquette bleue qui parle le chelhi
C pratiquement pareil à du znassni
Selon un ami qui vit là bas, la population est en majorité berberophone. Parait que même les enfants s'échangent entre eux dans la langue locale.
Esperons pour son enseignement, quant à la darija, c'est vrai qu'elle se maintient bien, mais à long terme, certains espere pouvoir établir une langue maternelle unique dans tout le monde arabe (une sorte de arabe classique simplifié), mais je sais pas si c'est une bonne chose, déjà pour les langues amazigh je suis contre la creation d'un amazigh standard unique qui n'a peu avoir avec le tarifit.Effectivement il est l'heure d'apprendre le Rif à l'école de Tanger à Oujda mais je pense que le Rif ne disparaitra pas!
Darija résiste et pourtant cette langue n'est pas enseigné par contre l'arabe est enseigné et très peu employé...
On parle l'arabe uniquement dans le Journal télévisé et encore avec l'accent marocain on comprend pas tout ! J'ai vraiment du mal à comprendre un marocain qui parle l'arabe mais j'ai aucune difficulté à regarder le journal sur Al Jazeera ou Al Mayadden.
Pour revenir aux Rifs, Irrifiyan ont subi l'arabisation du Maroc mais également de la République du Rif n'oublions pas que AbdelKrim a été formé à Qarawiyan, c'était un nationaliste arabe !! Il a comploté avec Kheiro qui était le bras droit de Raisuni à Tanger pour le faire tomber.
C'est AbdelKrim El Khattabi qui a crée le nationalisme arabe au Maghreb ce n'est pas Mohamed V ou Hassan II.
Heureusement que AbdelKrim El Khattabi n'a pas réussi son projet et qu'on a aujourd'hui un Roi au Maroc qui a énormément investi au Nord du Maroc. D'ici 80 ans, Selwan, Beni Nsar, Arouti seront des grandes villes comme Nador le but est de casser l'économie et de récupérer Mélila.
Pour revenir aux Benis Snouss, ils peuvent imprimer plein de PDF qui ont été faites durant l'époque coloniale où les colons espagnoles et français parlent de la culture rifaine. Si nous ré-ouvrons les frontières nous reparlerons thamazight à Arzew et Beni Snouss et ça sera grâce aux Irrifiyan nous devons être ambitieux !!
Regardez la Turquie aujourd'hui elle est rentré à Jarablous en Syrie pour soit disant défendre les turkmènes et pourtant aujourd'hui on enseigne le turc à Azaz, Mer3a, Akhtarin, Rai, Bza3a, Qabassin toutes ses villes sont arabisés depuis la fin de l'empire Ottoman et pourtant les enfants apprennent le turc aujourd'hui.
Nous dénicher ? mais on est pas une boule de poils habitants l’Amazonie tout de même :-(Moi je tire ma révérence à mes frères kabyles qui font des recherches dans les différents dialectes de leur pays.
Ainsi comme cela ils contribuent à la survivance de tamazight des Bni Bous3id.
Ça me donne l'impression qu'ils veulent être tranquilles les Bni Bous3id ainsi que les Bni Snous et qu'ils faillent aller les dénicher à en croire toutes les vidéos qu'à posté le frère @FeujDz2021
peut être que dénicher est un mot trop fort, mais ce qu il veut dire, c'est que tomber sur les personnes qui maitrisent encore tachelhit ne se fait pas du premier coup et que votre tamazight en plus d'être rare et envoie de dispartion sauf erreur.Nous dénicher ? mais on est pas une boule de poils habitants l’Amazonie tout de même :-(
Effectivement il était en voie de disparition. J'ai tiré la sonnette d'alarme en 1999 et j'étais quasi certains qu'au bout de 20 ans il ne resterait pas une trace de notre dialecte ancestrale. J'avais été d'ailleurs à l'époque le premier à demander la réédition des œuvres de Destaing pour tenter de maintenir le dialecte en vie. Mais entre temps la politique a changé et la seule chose que Bouteflika a réussi durant son règne c'est bien l'enseignement de Tamazight. Et le jour ou j'ai appris que Tamazight était enseigné au Khémis le village principale des Béni snous j'en ai pleuré! Malgré que les profs sont kabyles ou chaouis aucune importance le temps que cela se mette en place on trouvera bien des pros de Béni achir du Kef ou de Béni bousaid pour les former à Tamazight locale. Le plus important c'est que le socle institutionnel est en place même s'il a 40 ans de retard. Voilà merci au président merci à mme Benghebrit merci aux militants kabyles de nous avoir permit de préserver notre culture et notre langue de part leur combat politique. Oui 20 ans plus tard j'ai espoir que la culture et la langue des Ait snous pourra continuer à se transmettre el hamdoullih.peut être que dénicher est un mot trop fort, mais ce qu il veut dire, c'est que tomber sur les personnes qui maitrisent encore tachelhit ne se fait pas du premier coup et que votre tamazight en plus d'être rare et envoie de dispartion sauf erreur.
Tout a fait agmapeut être que dénicher est un mot trop fort, mais ce qu il veut dire, c'est que tomber sur les personnes qui maitrisent encore tachelhit ne se fait pas du premier coup et que votre tamazight en plus d'être rare et envoie de dispartion sauf erreur.
Je vous ai cherche, et cherché et cherche encore mais resultats!Nous dénicher ? mais on est pas une boule de poils habitants l’Amazonie tout de même :-(
Effectivement pour moi qui ai les quelques rudiments de base de notre dialecte j'ai beaucoup de facilité à comprendre Bni znacen et ouled 3mar que les rifs dont je ne comprends pas grand chose surtout ceux de hoceimaJrada, ayt iznassen, ayt snous c'est une continuité linguistique
à TafesseraWalakin mani tzedghed?
Je suis rifis de pas loin d'al hoceima; je vous comprends bien, beaucoup plus que le tachelhitEffectivement pour moi qui ai les quelques rudiments de base de notre dialecte j'ai beaucoup de facilité à comprendre Bni znacen et ouled 3mar que les rifs dont je ne comprends pas grand chose surtout ceux de hoceima
c'est surtout oralement le débit est trop rapide et la prononciation un peu spéciale.Je suis rifis de pas loin d'al hoceima; je vous comprends bien, beaucoup plus que le tachelhit
et qu en est il du parlé de nador ???Effectivement pour moi qui ai les quelques rudiments de base de notre dialecte j'ai beaucoup de facilité à comprendre Bni znacen et ouled 3mar que les rifs dont je ne comprends pas grand chose surtout ceux de hoceima
Effectivement pour moi qui ai les quelques rudiments de base de notre dialecte j'ai beaucoup de facilité à comprendre Bni znacen et ouled 3mar que les rifs dont je ne comprends pas grand chose surtout ceux de hoceima
La délégation comprenant des étudiants de Batna, Béjaïa, Tizi Ouzou et Bouira, préparant des mémoires de fin d’études sur la linguistique et autres volets du parler tamazigh, s’est rendue le premier jour à Mansourah, Lalla-Settti et Béni Ouarsous.
Visiblement les kabyles ont une vue sur les rifains de l'Ouest de l'Algérie !!
J'espère que les frontières vont être ouverte un jour cela permettra de conserver tharifit là-bas.
En fait ta maladie est plus grave que ce que je pouvais imaginer, t'es frappé par un syndrome de paranoia sévère il faut vraiment que tu consultes un psy d'urgence! Si ça peut t'aider je te certifie que je n'ai aucun lien de proximité ni de communauté avec les membres de ce forum que tu viens e citer. Et s'il te plait ne parle pas des Ait snous à ma place tu ne connais rien de notre histoire et n'essaye pas de nous assimiler de force aux rifains. Tu as une approche politique d'un problème culturel, ici on est entre berbères qui essayent de préserver une langue en voie de disparition. Toi ta démarche est de rattacher tout au rifains. Après Zaio jusqu"à Ketama décris et analyse tout ce que tu veux, ailleurs laisse les gens concernés parler de leur culture et de leur régiond. Merci. Et Allah ychafik.
Effectivement pour moi qui ai les quelques rudiments de base de notre dialecte j'ai beaucoup de facilité à comprendre Bni znacen et ouled 3mar que les rifs dont je ne comprends pas grand chose surtout ceux de hoceima
et qu en est il du parlé de nador ???
Je suis rifis de pas loin d'al hoceima; je vous comprends bien, beaucoup plus que le tachelhit