Théoriquement, le département des Affaires étrangères nest plus un ministère dit de « souveraineté ». Un PJDiste et un Istiqlalien sont à la tête de la diplomatie sous le regard de Taieb Fassi Fihri qui veille au grain. Un trio de choc est né, permettant le plein déploiement dune diplomatie plus que jamais aux avant-postes.
Sil y a un département du gouvernement Benkirane qui bouge et fait le plus parler de lui, et ce, avant même le vote de confiance du Parlement, cest, sans aucun doute, celui des Affaires étrangères. Le tandem Othmani-Amrani sactive sur plusieurs fronts. Pendant que lun, le même Amrani, négocie et prépare, sous couvert de remerciements à lappui espagnol de son passage à la tête de lUnion pour la Méditerranée, larrivée dun Mariano Rajoy connu pour son hostilité à légard du royaume, au Maroc, lautre multiplie les rencontres et autres réceptions de diplomates arabes et maghrébins en vue de baliser le terrain, notamment, au sommet maghrébin de Rabat. Et bien que discret, Taieb Fassi El Fihri, en parfait chef dorchestre, travaille dans lombre pour harmoniser lensemble des démarches. Le tout est accompagné par une diplomatie parlementaire qui figure décidément en tête des préoccupations du tout nouveau président de la Chambre des représentants, Karim Ghellab, et dont lune des premières missions officielles a été de chapeauter la forte délégation marocaine partie célébrer le premier anniversaire de la chute du dictateur Ben Ali en Tunisie.
http://www.lesoir-echos.com/diplomatie -un-me nage-a-trois/presse-maroc/40221/
Sil y a un département du gouvernement Benkirane qui bouge et fait le plus parler de lui, et ce, avant même le vote de confiance du Parlement, cest, sans aucun doute, celui des Affaires étrangères. Le tandem Othmani-Amrani sactive sur plusieurs fronts. Pendant que lun, le même Amrani, négocie et prépare, sous couvert de remerciements à lappui espagnol de son passage à la tête de lUnion pour la Méditerranée, larrivée dun Mariano Rajoy connu pour son hostilité à légard du royaume, au Maroc, lautre multiplie les rencontres et autres réceptions de diplomates arabes et maghrébins en vue de baliser le terrain, notamment, au sommet maghrébin de Rabat. Et bien que discret, Taieb Fassi El Fihri, en parfait chef dorchestre, travaille dans lombre pour harmoniser lensemble des démarches. Le tout est accompagné par une diplomatie parlementaire qui figure décidément en tête des préoccupations du tout nouveau président de la Chambre des représentants, Karim Ghellab, et dont lune des premières missions officielles a été de chapeauter la forte délégation marocaine partie célébrer le premier anniversaire de la chute du dictateur Ben Ali en Tunisie.
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