Diplomatie: un ménage à trois…

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Théoriquement, le département des Affaires étrangères n’est plus un ministère dit de « souveraineté ». Un PJDiste et un Istiqlalien sont à la tête de la diplomatie sous le regard de Taieb Fassi Fihri qui veille au grain. Un trio de choc est né, permettant le plein déploiement d’une diplomatie plus que jamais aux avant-postes.

S’il y a un département du gouvernement Benkirane qui bouge et fait le plus parler de lui, et ce, avant même le vote de confiance du Parlement, c’est, sans aucun doute, celui des Affaires étrangères. Le tandem Othmani-Amrani s’active sur plusieurs fronts. Pendant que l’un, le même Amrani, négocie et prépare, sous couvert de remerciements à l’appui espagnol de son passage à la tête de l’Union pour la Méditerranée, l’arrivée d’un Mariano Rajoy connu pour son hostilité à l’égard du royaume, au Maroc, l’autre multiplie les rencontres et autres réceptions de diplomates arabes et maghrébins en vue de baliser le terrain, notamment, au sommet maghrébin de Rabat. Et bien que discret, Taieb Fassi El Fihri, en parfait chef d’orchestre, travaille dans l’ombre pour harmoniser l’ensemble des démarches. Le tout est accompagné par une diplomatie parlementaire qui figure décidément en tête des préoccupations du tout nouveau président de la Chambre des représentants, Karim Ghellab, et dont l’une des premières missions officielles a été de chapeauter la forte délégation marocaine partie célébrer le premier anniversaire de la chute du dictateur Ben Ali en Tunisie.


http://www.lesoir-echos.com/diplomatie -un-me nage-a-trois/presse-maroc/40221/
 
Ce qui est triste c'est le j'avance d'un pas, je recule de trois fil Maghrib al 3aziz oul zbib.

D'un côté, on modifie la constitution (petit signal à l'attention des démocraties occidentales qui ne sont pas non plus dupes mais arrangent les régimes absolus tant que ça les arrange, chose normale) en annonçant que le gouvernement respectera le choix des urnes (ou des burnes, au choix :D) . de l'autre, on constitue un cabinet fantôme pas fantôme où les proches de SAR sont repris à bon compte pour prendre les manettes tout en feignant l'avancée démocratique. Ce même Taïeb discret face à Hillary Clinton qui l'accueillait l'an dernier qui craignait l'automne arabe obscure.

++
 
Autant dire que Othmani est la pour amusé la galerie, il n'est pas le chef de la diplomatie, juste un agent parmi d'autre au service du maitre... sauf qu'il n'est pas issus du sérail.

C'est la mobilité social à la marocaine.
 
c est ce qu on appelle la cooperation
Othmani est nouveau dans un poste sensible du pays alors il est appuyer par l experimenter Amrani et les deux sont superviser par le cabinet royal
 
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