soucha
Float like a butterfly, sting like a bee
Et puis, les gosses?Ahahaha je savais pas!
Merci de me culturer un peu
Documentaire: la guerre des graines
- Initiateur de la discussion Drianke
- Date de début
soucha
Float like a butterfly, sting like a bee
On se croirait dans un cour de sciences naturelles.Ça fait référence de manière très explicite a une partie de l anatomie masculine, située a l extrémité de son organe reproducteur.
Pas très loin des gosses.
Nalinux
It's not a bug, it's a feature.
Voui, je suis pudique.
didadoune
VIB
alors ou en sommes nous ?
Mansato and co et les graines, y en a t il qui jardine?
Quelques marques qui soutiennent Monsato à boycotter:
Capri Sun
Coca cola
Pringles
Quaker
Schweppes
Ocean Spry
Betty Crocker, Post
Unilever
Uncle Ben's
Totino's,
Oreo
Power Bar
Lay's
Procter et gamble
Pepperidge Farm
Nestlé
V8
Nature Valley
Kellogg's
Heinz
Knorr
Géant vert
Campbell's,.................................
Mansato and co et les graines, y en a t il qui jardine?
Quelques marques qui soutiennent Monsato à boycotter:
Capri Sun
Coca cola
Pringles
Quaker
Schweppes
Ocean Spry
Betty Crocker, Post
Unilever
Uncle Ben's
Totino's,
Oreo
Power Bar
Lay's
Procter et gamble
Pepperidge Farm
Nestlé
V8
Nature Valley
Kellogg's
Heinz
Knorr
Géant vert
Campbell's,.................................
Pièces jointes
« Les graines » ou « certaines graines » ? Ça me parait trop gros pour être vrai, et c’est probablement « certaines graines », des hybrides ou des choses comme ça, qui sont le résultat de bio‑ingénierie, qui sont payées sous forme d’une licence ou d’une redevance (si on peut dire, je ne connais pas le mot exacte).
Fin de partie pour les semences libres ?
La joie fut de courte durée. Alors que la loi du 2 octobre 2018 avait entériné la vente des semences libres, le Conseil Constitutionnel vient de supprimer cette autorisation. Explications.
Cette victoire n’en était en fait pas une ! Après le revirement de situation du Conseil Constitutionnel, la déception s’empare des partisans des semences libres. Rappelez-vous, l’article 78 de la "loi Egalim" (équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous), votée le 2 octobre dernier, autorisait à quiconque de vendre des semences anciennes aux particuliers.
Le Conseil constitutionnel a décidé, quelques jours plus tard, le 25 octobre, de censurer 23 articles de la loi EGALIM. Dans une tribune publiée sur Facebook, Maxime de Rostolan, directeur de l'association Fermes d'Avenir et fondateur de Blue Bees s’insurge : "Les 'sages' ont considéré, sans justification ni motivation, [ces] dispositions comme des cavaliers législatifs, c'est-à-dire "ne présentant pas de lien, même indirect, avec le projet de loi initial."
Un malheureux retour en arrière retraçant la défaite et rappelant que le combat est loin d'être terminé.
Mauvais tour pour les réseaux de producteurs de graines
Comme c’était le cas avant cette loi, les semences autorisées sont celles inscrites dans le catalogue GNIS (Groupement national interprofessionnel des semences et plants). Une procédure pour le moins compliquée. C’est pourquoi, ce sont surtout les les grands groupes semenciers (Monsanto, Dow Chemical, DuPont…) qui y arrivent. Pour les semences ne figurant pas dans le GNIS, l’échange entre particuliers est autorisé, tout comme la vente directe entre jardiniers amateurs. En revanche, les groupes de promotion des semences libres à visée commerciale, tel que Kokopelli, restent interdits... au risque de déboucher sur un procès.
Un scandale pour les militants des semences libres
Les réactions des partisans et associations ont été immédiates. L’association Kokopelli exprime son mécontentement sur son site, et explique que "Cette censure représente un camouflet insensé pour la démocratie représentative et le droit d’amendement des élus de la République. Nous devons ouvrir les yeux au plus vite, l’avenir des semences, de l’agriculture et plus largement de la “démocratie” en jeu !". Alors que l’on pouvait espérer voir émerger d’autres acteurs dans ce secteur, cela ne sera pas pour demain.
https://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/36784/fin-partie-semences-libres
La joie fut de courte durée. Alors que la loi du 2 octobre 2018 avait entériné la vente des semences libres, le Conseil Constitutionnel vient de supprimer cette autorisation. Explications.
Cette victoire n’en était en fait pas une ! Après le revirement de situation du Conseil Constitutionnel, la déception s’empare des partisans des semences libres. Rappelez-vous, l’article 78 de la "loi Egalim" (équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous), votée le 2 octobre dernier, autorisait à quiconque de vendre des semences anciennes aux particuliers.
Le Conseil constitutionnel a décidé, quelques jours plus tard, le 25 octobre, de censurer 23 articles de la loi EGALIM. Dans une tribune publiée sur Facebook, Maxime de Rostolan, directeur de l'association Fermes d'Avenir et fondateur de Blue Bees s’insurge : "Les 'sages' ont considéré, sans justification ni motivation, [ces] dispositions comme des cavaliers législatifs, c'est-à-dire "ne présentant pas de lien, même indirect, avec le projet de loi initial."
Un malheureux retour en arrière retraçant la défaite et rappelant que le combat est loin d'être terminé.
Mauvais tour pour les réseaux de producteurs de graines
Comme c’était le cas avant cette loi, les semences autorisées sont celles inscrites dans le catalogue GNIS (Groupement national interprofessionnel des semences et plants). Une procédure pour le moins compliquée. C’est pourquoi, ce sont surtout les les grands groupes semenciers (Monsanto, Dow Chemical, DuPont…) qui y arrivent. Pour les semences ne figurant pas dans le GNIS, l’échange entre particuliers est autorisé, tout comme la vente directe entre jardiniers amateurs. En revanche, les groupes de promotion des semences libres à visée commerciale, tel que Kokopelli, restent interdits... au risque de déboucher sur un procès.
Un scandale pour les militants des semences libres
Les réactions des partisans et associations ont été immédiates. L’association Kokopelli exprime son mécontentement sur son site, et explique que "Cette censure représente un camouflet insensé pour la démocratie représentative et le droit d’amendement des élus de la République. Nous devons ouvrir les yeux au plus vite, l’avenir des semences, de l’agriculture et plus largement de la “démocratie” en jeu !". Alors que l’on pouvait espérer voir émerger d’autres acteurs dans ce secteur, cela ne sera pas pour demain.
https://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/36784/fin-partie-semences-libres
didadoune
VIB
"Monsanto a demandé à une officine belge de s'occuper de ma réputation", accuse Nicolas Hulot
Nicolas Hulot s'attaque à "la pire firme au monde". L'ancien ministre de la Transition écologique affirme, dimanche 3 février, dans Le Journal du dimanche, que "Monsanto a demandé à une officine belge de s'occuper de ma réputation". Il dit avoir eu vent de cette demande "quelques mois" après son arrivée au gouvernement, par l'intermédiaire d'une de ses connaissances, "haut placée dans une entreprise travaillant dans le domaine de l'environnement".
Apportant son soutien à un agriculteur en plein conflit judiciaire avec la firme, Nicolas Hulot dit ressentir "une profonde colère face à l'indulgence dont bénéficie Monsanto" et face à "une accoutumance à sa puissance de feu" de la part de "la plupart des décideurs mondiaux".
Contactée par Le Journal du dimanche, l'entreprise agro-industrielle, depuis rachetée par le groupe Bayer, dément "formellement ces allégations très graves et diffamatoires".
https://www.francetvinfo.fr/monde/e...-reputation-accuse-nicolas-hulot_3173393.html
Nicolas Hulot s'attaque à "la pire firme au monde". L'ancien ministre de la Transition écologique affirme, dimanche 3 février, dans Le Journal du dimanche, que "Monsanto a demandé à une officine belge de s'occuper de ma réputation". Il dit avoir eu vent de cette demande "quelques mois" après son arrivée au gouvernement, par l'intermédiaire d'une de ses connaissances, "haut placée dans une entreprise travaillant dans le domaine de l'environnement".
Apportant son soutien à un agriculteur en plein conflit judiciaire avec la firme, Nicolas Hulot dit ressentir "une profonde colère face à l'indulgence dont bénéficie Monsanto" et face à "une accoutumance à sa puissance de feu" de la part de "la plupart des décideurs mondiaux".
Contactée par Le Journal du dimanche, l'entreprise agro-industrielle, depuis rachetée par le groupe Bayer, dément "formellement ces allégations très graves et diffamatoires".
https://www.francetvinfo.fr/monde/e...-reputation-accuse-nicolas-hulot_3173393.html
La gauche prise à son propre jeu. Dans un autre sujet, je parlais de la censure de la gauche. C’est exactement leur méthode, la menace de salir la réputation de quelqu’un pour faire taire ; ils ont censuré du monde comme ça, principalement dans les critiques anti‑féministes émanant même d’ex‑féministes de gauche. Même phénomène avec les scientifiques qui mettent en question le dogme de la cause humaine du léger réchauffement climatique. Qu’ils fassent le ménage chez eux maintenant qu’ils savent à quoi ça ressemble.
Puis, Monsanto que personne n’a le droit de critiquer ? Ils sont pourtant librement critiqués partout, pas un seul média ne les a épargné, il y a régulièrement des articles et documentaires à charge contre Monsanto. Par contre, essayez de critiquer le principal dogme de la gauche, ça ne sera pas la même histoire, c’est censure assez rapide (à moins d’être tout petit au point d’être invisible) et aucun média pour le rapporter : la réduction au silence au sens stricte, pas comme cette affaire.
C’est encore sans parler des campagnes de diffamation de l’extrême‑gauche. Il en a reçu dans la figure, le pauvre Bayrou.
« Faites comme je dis, pas comme je fais »
Dernière édition:
Tu veut des graines bio reproductibles (graines d'héritages) ? Tape sur Google :
- Kokopelli
- Biaugerme
- Germinance
- Graine del païs
- Potager de santé
- La semence Bio
France 2 confirme l'information de Marine Le Pen selon laquelle Bayer-Monsanto (fabricant du glyphosate) finance l'ALDE, le parti d'Emmanuel Macron au parlement européen. Stéphane Sejourne (Directeur de Campagne LREM aux européenne) dit découvrir ces financements.
- France 2, 11 mars 2019, 20h25
- France 2, 11 mars 2019, 20h25
en fait ces graines hybrides qui sont stériles portent la mention F1....sur le paquet
Il ne faut jamais acheter de graines avec cette mention F1
Pourtant, les semences des espèces cultivées chez vous (récoltées sur les plus beaux spécimens) donneront des légumes mieux adaptés à votre sol et à votre climat. Et face aux pratiques des semenciers (semences stériles notamment), il est temps que les jardiniers fassent de petits gestes de résistance, pour protéger, reproduire et échanger les anciennes variétés potagères.
La résistance s'organise .....
La résistance s'organise .....