Vous avez le droit de savoir

Cancer du sein : vous avez le droit de savoir

Combien de fois ai-je vu des femmes, avec les cheveux coupés à ras ou un foulard sur la tête ?
On peut sentir leur tristesse dans leur regard. Leur démarche est fatiguée. Leurs traits sont tirés.
Elles qui étaient si joyeuses il y a encore quelques semaines, passent par une des étapes les plus dures de leur vie. Et la transformation est souvent impressionnante.
Ce message est une lueur d'espoir pour toutes ces femmes.
Car les études sont formelles :

  • une bonne alimentation peut vous éviter d'avoir un cancer

  • grâce aux huiles essentielles, vous pouvez combattre les effets secondaires des chimio, radio et hormonothérapie
Malheureusement, pour plus de 50 000 femmes chaque année en France, la mauvaise nouvelle tombe comme un couperet : c’est un cancer du sein.

Du jour au lendemain, les voilà embarquées dans la machine à laver des examens médicaux : échographie, IRM, biopsie, …

Puis on leur annonce leur traitement, parfois comme une sentence : chirurgie souvent suivie d’une chimiothérapie, d’une radiothérapie ou d’une hormonothérapie… voire les quatre !

Le problème, c’est que ces traitements ne s’en prennent pas qu’au cancer… mais aussi à leur corps.

Des traitements qui épuisent les malades
On le sait, les traitements actuels pour le cancer du sein sont d’une violence inouïe pour les femmes :

  • Leur niveau de globules blancs s’effondre et elles deviennent vulnérables à la moindre infection, même à un simple rhume.

  • Elles perdent leurs cheveux par poignées, mais aussi leurs cils, leurs sourcils. En quelques jours à peine, c’est une part de leur féminité qui s’échappe.

  • Leur peau est brûlée par les rayons.

  • Leur système digestif est détraqué : elles peuvent souffrir de nausées, de vomissements, de diarrhée.
Pendant que les spécialistes mettent toute leur énergie sur la zone cancéreuse, pratiquement rien n’est fait pour s’occuper d’elles, de leur corps, de leur moral, au moment où elles en ont le plus besoin.

Souvent dépassées par les événements, de nombreuses patientes se laissent totalement téléguider par la « machine médicale ». Elles attendent, passives, que les traitements fassent leur travail.

Je risque peut-être de vous choquer mais je pense que cette attitude est regrettable voire dangereuse.

D’après le Dr Yann Rougier, médecin spécialiste aux hôpitaux de Paris et neurobiologiste, les traitements conventionnels du cancer ne compteraient que pour un tiers de la guérison.

Le deuxième tiers reposerait sur l’hygiène de vie de la patiente : alimentation, respiration, détoxication. Le dernier tiers dépendrait de son état émotionnel : stress, angoisses, choc émotionnel non digéré
 
Huiles essentielles : des alliées puissantes
Il faut le dire clairement : de simples huiles essentielles ne guériront pas une femme atteinte d’un cancer du sein.

Mais leur potentiel de soutien est immense, beaucoup plus grand que ce qu’on peut imaginer.

Elles vous aident à protéger votre corps des effets secondaires des traitements agressifs pour l’organisme. Dans le guide « Cancer du sein : ce qu’on ne vous dit pas », vous apprendrez par exemple que :

  • En cas de radiothérapie, l’huile essentielle de niaouli aide à protéger votre peau de graves brûlures.
  • Pour calmer nausées et vomissements causés par la chimiothérapie, on fait appel à l’huile essentielle de citron ;

  • Après l’intervention chirurgicale, l’huile essentielle de lavande officinale contribue à accélérer le processus de cicatrisation ;

  • En cas d’hématome ou de lymphœdème postopératoire (le syndrome du « gros bras » très fréquent lors d’une chirurgie du sein), l’huile essentielle d’hélichryse italienne est redoutablement efficace ;

  • Pour lutter contre la fatigue physique, vous pouvez inhaler de l’huile essentielle de romarin officinal à alterner avec l’huile essentielle de pin sylvestre si vous souffrez de fatigue psychique ;

  • L’huile essentielle de menthe poivrée, elle, n’a plus à faire ses preuves pour réduire la douleur : elle a notamment prouvé son efficacité sur les migraines [2], et le côlon irritable [3].
L’efficacité des huiles essentielles est telle que certains hôpitaux ont commencé à les intégrer dans leurs approches.
 
Certains hôpitaux ont même commencé à les utiliser
En France, certains hôpitaux d’avant-garde comme l’hôpital Saint-Louis à Paris ou le centre Oscar Lambret à Lille intègrent désormais les huiles essentielles dans leur suivi des patients atteints du cancer.

Aux Hôpitaux Civils de Colmar, le service d’oncologie utilise l’aromathérapie pour soulager les nausées, les troubles du sommeil et l’anxiété des malades.

Le personnel de ce service explique que les patients concernés ont vu une réelle amélioration de leur état : soulagement des douleurs, mieux-être, endormissement… et réconfort dans un parcours de prise en charge souvent très lourd.

En plus, les huiles essentielles apportent un bien-être immédiat grâce à leur odeur apaisante et elles ne sont pas perçues comme un autre comprimé à avaler.
 
  • Eliminer les toxines du traitement grâce à des plantes qui protègent votre foie comme le desmodium, le romarin ou le schisandra ; mais attention à les prendre à un moment bien précis ;

  • Lutter contre les nausées avec le gingembre et la menthe poivrée ;

  • Protéger votre flore intestinale avec le pollen frais décongelé de ciste ;

  • Pour les aphtes, vous verrez qu’un petit bonbon noir peut s’avérer très efficace !

  • Pour les saignements du nez et des gencives, préparez une décoction de feuilles de ronce, de fraise et d’alchémille. Mais il vous faudra bien respecter les doses et les conseils d’application de notre expert.
 
Etes-vous une femme à risque ?
Une femme sur huit développe dans sa vie un cancer du sein.

Serez-vous la prochaine ?

Redouter le prochain examen de contrôle… Attendre avec angoisse le verdict du médecin… Voilà exactement ce qu’a voulu à tout prix éviter l’actrice américaine Angelina Jolie :

« Mes médecins estimaient que j’avais un risque de 87 % de cancer du sein, et de 50 % de cancer de l’ovaire » [10].

En 2013, après un test génétique, elle découvre qu’elle est porteuse d’une mutation du gène BRCA1 : quand ce gène est défectueux, le risque de cancer du sein est beaucoup plus élevé.

L’actrice américaine prend alors une lourde décision : elle subit une double mastectomie à l’âge de 38 ans. C’est-à-dire qu’elle se fait volontairement enlever les deux seins alors qu’elle n’a aucun cancer du sein déclaré !



En 2013, l’actrice américaine Angelina Jolie décide de se faire enlever les deux seins en « prévention ».
Je ne sais pas si Angelina Jolie a pris la bonne décision.
 
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