Cancer du sein : vous avez le droit de savoir
Combien de fois ai-je vu des femmes, avec les cheveux coupés à ras ou un foulard sur la tête ?
On peut sentir leur tristesse dans leur regard. Leur démarche est fatiguée. Leurs traits sont tirés.
Elles qui étaient si joyeuses il y a encore quelques semaines, passent par une des étapes les plus dures de leur vie. Et la transformation est souvent impressionnante.
Ce message est une lueur d'espoir pour toutes ces femmes.
Car les études sont formelles :
Du jour au lendemain, les voilà embarquées dans la machine à laver des examens médicaux : échographie, IRM, biopsie, …
Puis on leur annonce leur traitement, parfois comme une sentence : chirurgie souvent suivie d’une chimiothérapie, d’une radiothérapie ou d’une hormonothérapie… voire les quatre !
Le problème, c’est que ces traitements ne s’en prennent pas qu’au cancer… mais aussi à leur corps.
Des traitements qui épuisent les malades
On le sait, les traitements actuels pour le cancer du sein sont d’une violence inouïe pour les femmes :
Souvent dépassées par les événements, de nombreuses patientes se laissent totalement téléguider par la « machine médicale ». Elles attendent, passives, que les traitements fassent leur travail.
Je risque peut-être de vous choquer mais je pense que cette attitude est regrettable voire dangereuse.
D’après le Dr Yann Rougier, médecin spécialiste aux hôpitaux de Paris et neurobiologiste, les traitements conventionnels du cancer ne compteraient que pour un tiers de la guérison.
Le deuxième tiers reposerait sur l’hygiène de vie de la patiente : alimentation, respiration, détoxication. Le dernier tiers dépendrait de son état émotionnel : stress, angoisses, choc émotionnel non digéré
Combien de fois ai-je vu des femmes, avec les cheveux coupés à ras ou un foulard sur la tête ?
On peut sentir leur tristesse dans leur regard. Leur démarche est fatiguée. Leurs traits sont tirés.
Elles qui étaient si joyeuses il y a encore quelques semaines, passent par une des étapes les plus dures de leur vie. Et la transformation est souvent impressionnante.
Ce message est une lueur d'espoir pour toutes ces femmes.
Car les études sont formelles :
- une bonne alimentation peut vous éviter d'avoir un cancer
- grâce aux huiles essentielles, vous pouvez combattre les effets secondaires des chimio, radio et hormonothérapie
Du jour au lendemain, les voilà embarquées dans la machine à laver des examens médicaux : échographie, IRM, biopsie, …
Puis on leur annonce leur traitement, parfois comme une sentence : chirurgie souvent suivie d’une chimiothérapie, d’une radiothérapie ou d’une hormonothérapie… voire les quatre !
Le problème, c’est que ces traitements ne s’en prennent pas qu’au cancer… mais aussi à leur corps.
Des traitements qui épuisent les malades
On le sait, les traitements actuels pour le cancer du sein sont d’une violence inouïe pour les femmes :
- Leur niveau de globules blancs s’effondre et elles deviennent vulnérables à la moindre infection, même à un simple rhume.
- Elles perdent leurs cheveux par poignées, mais aussi leurs cils, leurs sourcils. En quelques jours à peine, c’est une part de leur féminité qui s’échappe.
- Leur peau est brûlée par les rayons.
- Leur système digestif est détraqué : elles peuvent souffrir de nausées, de vomissements, de diarrhée.
Souvent dépassées par les événements, de nombreuses patientes se laissent totalement téléguider par la « machine médicale ». Elles attendent, passives, que les traitements fassent leur travail.
Je risque peut-être de vous choquer mais je pense que cette attitude est regrettable voire dangereuse.
D’après le Dr Yann Rougier, médecin spécialiste aux hôpitaux de Paris et neurobiologiste, les traitements conventionnels du cancer ne compteraient que pour un tiers de la guérison.
Le deuxième tiers reposerait sur l’hygiène de vie de la patiente : alimentation, respiration, détoxication. Le dernier tiers dépendrait de son état émotionnel : stress, angoisses, choc émotionnel non digéré