Dans la soirée du 23 mai, le ministère russe des affaires étrangères a publié un communiqué indiquant que «du 20 mai à 8 heures du matin le 23 mai, le nombre d’attaques aériennes a atteint des multiples de ce qu’il était auparavant avec 788 frappes par des drones à voilure fixe et des missiles de fabrication occidentale ciblant le territoire russe en dehors de la zone de l’opération militaire spéciale. Nos forces de défense aérienne ont détruit 776 drones et missiles, mais malheureusement, 12 drones ont réussi à franchir nos défenses et à atteindre leurs cibles».
Selon le ministère, la raison de ce nombre exceptionnel de drones et de missiles tirés était «de faire échouer les pourparlers directs entre la Russie et l’Ukraine, facilités par l’administration américaine, qui sont destinés à régler définitivement le conflit. Ils semblent également destinés à faire échouer la mise en œuvre des premiers accords conclus à Istanbul le 16 mai, y compris un échange massif de prisonniers». Le ministère n’a pas révélé l’attaque du 20 mai contre l’hélicoptère de Poutine.
La déclaration du ministère se termine par un préavis de représailles militaires : «Il ne fait aucun doute que la Russie apportera une réponse adaptée aux barrages d’attaques terroristes perpétrés par le régime de Kiev. Contrairement à la partie ukrainienne, nos cibles seront strictement limitées aux installations militaires et aux usines de l’industrie de la défense. Je le répète, notre engagement fondamental en faveur d’une recherche constructive d’un règlement pacifique par le dialogue reste inchangé».
Le même jour, le 23 mai, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, répondant aux questions de la presse à Moscou, a exonéré le président Donald Trump de toute responsabilité. «Nous pensons que ces attaques sont le résultat direct du soutien apporté aux nazis ukrainiens, principalement par un certain nombre de pays européens, au premier rang desquels le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les dirigeants de l’UE. Nous sommes convaincus qu’ils portent une part de responsabilité dans ces crimes. Nous ferons pression pour mettre fin à cette politique. Nous assistons à une tentative manifeste de faire dérailler les pourparlers de paix et de perturber le processus qui a débuté à Istanbul à la suite d’un accord entre le président Vladimir Poutine et le président Donald Trump, qui prévoyait un échange de 1000 prisonniers pour 1000 autres et la poursuite des travaux sur des documents définissant les conditions et exigences spécifiques nécessaires à la conclusion d’un accord. Nous continuerons à travailler là-dessus malgré les provocations… Un autre motif possible derrière leurs actions est qu’ils espèrent toujours utiliser certaines personnes de l’establishment américain pour ramener le président Trump et son administration dans un camp anti-Russie et partager la responsabilité ou même déplacer le blâme. Mais je crois qu’ils n’y parviendront pas cette fois-ci».
Selon le ministère, la raison de ce nombre exceptionnel de drones et de missiles tirés était «de faire échouer les pourparlers directs entre la Russie et l’Ukraine, facilités par l’administration américaine, qui sont destinés à régler définitivement le conflit. Ils semblent également destinés à faire échouer la mise en œuvre des premiers accords conclus à Istanbul le 16 mai, y compris un échange massif de prisonniers». Le ministère n’a pas révélé l’attaque du 20 mai contre l’hélicoptère de Poutine.
La déclaration du ministère se termine par un préavis de représailles militaires : «Il ne fait aucun doute que la Russie apportera une réponse adaptée aux barrages d’attaques terroristes perpétrés par le régime de Kiev. Contrairement à la partie ukrainienne, nos cibles seront strictement limitées aux installations militaires et aux usines de l’industrie de la défense. Je le répète, notre engagement fondamental en faveur d’une recherche constructive d’un règlement pacifique par le dialogue reste inchangé».
Le même jour, le 23 mai, le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, répondant aux questions de la presse à Moscou, a exonéré le président Donald Trump de toute responsabilité. «Nous pensons que ces attaques sont le résultat direct du soutien apporté aux nazis ukrainiens, principalement par un certain nombre de pays européens, au premier rang desquels le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les dirigeants de l’UE. Nous sommes convaincus qu’ils portent une part de responsabilité dans ces crimes. Nous ferons pression pour mettre fin à cette politique. Nous assistons à une tentative manifeste de faire dérailler les pourparlers de paix et de perturber le processus qui a débuté à Istanbul à la suite d’un accord entre le président Vladimir Poutine et le président Donald Trump, qui prévoyait un échange de 1000 prisonniers pour 1000 autres et la poursuite des travaux sur des documents définissant les conditions et exigences spécifiques nécessaires à la conclusion d’un accord. Nous continuerons à travailler là-dessus malgré les provocations… Un autre motif possible derrière leurs actions est qu’ils espèrent toujours utiliser certaines personnes de l’establishment américain pour ramener le président Trump et son administration dans un camp anti-Russie et partager la responsabilité ou même déplacer le blâme. Mais je crois qu’ils n’y parviendront pas cette fois-ci».