Même si la date du référendum sur l'indépendance de l'Écosse n'est pas encore fixée, le premier ministre, Alex Salmond, a lancé la campagne pour le oui vendredi.
La consultation de cette région semi-autonome de 5,3 millions d'habitants devrait avoir lieu en 2014.
« Je veux que l'Écosse soit indépendante, pas parce que je pense que nous sommes meilleurs que les autres pays, mais parce que je sais que nous sommes aussi valables que les autres pays », a déclaré le premier ministre lors d'une réunion publique à Édimbourg.
Selon les sondages, seulement un tiers des Écossais souhaitent quitter le Royaume-Uni.
Le Scottish National Party (SNP) du leader écossais mène cette campagne notamment aux côtés des Verts.
Malgré son hostilité à l'indépendance de l'Écosse, le gouvernement britannique a fini par accepter l'organisation d'un référendum en Écosse. Cependant Londres et Édimbourg s'opposent sur les modalités du scrutin.
D'abord le gouvernement britannique veut la tenue rapide du référendum, alors que le gouvernement écossais veut le tenir en 2014.
Ensuite, le gouvernement britannique souhaite une question unique (à laquelle la réponse est oui ou non), tandis que M. Salmond envisage une question subsidiaire proposant une autonomie accrue, conscient que l'indépendance ne fait pas l'unanimité chez lui.
M. Salmond craint de voir enterrée définitivement la quête d'indépendance de l'Écosse, rattachée depuis 1707 à la couronne d'Angleterre.
Même si la date du référendum sur l'indépendance de l'Écosse n'est pas encore fixée, le premier ministre, Alex Salmond, a lancé la campagne pour le oui vendredi.
La consultation de cette région semi-autonome de 5,3 millions d'habitants devrait avoir lieu en 2014.
« Je veux que l'Écosse soit indépendante, pas parce que je pense que nous sommes meilleurs que les autres pays, mais parce que je sais que nous sommes aussi valables que les autres pays », a déclaré le premier ministre lors d'une réunion publique à Édimbourg.
Selon les sondages, seulement un tiers des Écossais souhaitent quitter le Royaume-Uni.
Le Scottish National Party (SNP) du leader écossais mène cette campagne notamment aux côtés des Verts.
Malgré son hostilité à l'indépendance de l'Écosse, le gouvernement britannique a fini par accepter l'organisation d'un référendum en Écosse. Cependant Londres et Édimbourg s'opposent sur les modalités du scrutin.
D'abord le gouvernement britannique veut la tenue rapide du référendum, alors que le gouvernement écossais veut le tenir en 2014.
Ensuite, le gouvernement britannique souhaite une question unique (à laquelle la réponse est oui ou non), tandis que M. Salmond envisage une question subsidiaire proposant une autonomie accrue, conscient que l'indépendance ne fait pas l'unanimité chez lui.
M. Salmond craint de voir enterrée définitivement la quête d'indépendance de l'Écosse, rattachée depuis 1707 à la couronne d'Angleterre.
Semi-autonome
Le Parlement écossais a des compétences en matière d'éducation, de santé, d'environnement et de justice. Mais les questions relatives à la diplomatie, à l'énergie et à la défense restent du ressort de Londres.
Une Écosse indépendante devrait refaire acte de candidature à l'Unin européenne et partager avec Londres ses revenus pétroliers en haute mer.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2012/05/25/004-ecosse-campagne-independance.shtml
La consultation de cette région semi-autonome de 5,3 millions d'habitants devrait avoir lieu en 2014.
« Je veux que l'Écosse soit indépendante, pas parce que je pense que nous sommes meilleurs que les autres pays, mais parce que je sais que nous sommes aussi valables que les autres pays », a déclaré le premier ministre lors d'une réunion publique à Édimbourg.
Selon les sondages, seulement un tiers des Écossais souhaitent quitter le Royaume-Uni.
Le Scottish National Party (SNP) du leader écossais mène cette campagne notamment aux côtés des Verts.
Malgré son hostilité à l'indépendance de l'Écosse, le gouvernement britannique a fini par accepter l'organisation d'un référendum en Écosse. Cependant Londres et Édimbourg s'opposent sur les modalités du scrutin.
D'abord le gouvernement britannique veut la tenue rapide du référendum, alors que le gouvernement écossais veut le tenir en 2014.
Ensuite, le gouvernement britannique souhaite une question unique (à laquelle la réponse est oui ou non), tandis que M. Salmond envisage une question subsidiaire proposant une autonomie accrue, conscient que l'indépendance ne fait pas l'unanimité chez lui.
M. Salmond craint de voir enterrée définitivement la quête d'indépendance de l'Écosse, rattachée depuis 1707 à la couronne d'Angleterre.
Même si la date du référendum sur l'indépendance de l'Écosse n'est pas encore fixée, le premier ministre, Alex Salmond, a lancé la campagne pour le oui vendredi.
La consultation de cette région semi-autonome de 5,3 millions d'habitants devrait avoir lieu en 2014.
« Je veux que l'Écosse soit indépendante, pas parce que je pense que nous sommes meilleurs que les autres pays, mais parce que je sais que nous sommes aussi valables que les autres pays », a déclaré le premier ministre lors d'une réunion publique à Édimbourg.
Selon les sondages, seulement un tiers des Écossais souhaitent quitter le Royaume-Uni.
Le Scottish National Party (SNP) du leader écossais mène cette campagne notamment aux côtés des Verts.
Malgré son hostilité à l'indépendance de l'Écosse, le gouvernement britannique a fini par accepter l'organisation d'un référendum en Écosse. Cependant Londres et Édimbourg s'opposent sur les modalités du scrutin.
D'abord le gouvernement britannique veut la tenue rapide du référendum, alors que le gouvernement écossais veut le tenir en 2014.
Ensuite, le gouvernement britannique souhaite une question unique (à laquelle la réponse est oui ou non), tandis que M. Salmond envisage une question subsidiaire proposant une autonomie accrue, conscient que l'indépendance ne fait pas l'unanimité chez lui.
M. Salmond craint de voir enterrée définitivement la quête d'indépendance de l'Écosse, rattachée depuis 1707 à la couronne d'Angleterre.
Semi-autonome
Le Parlement écossais a des compétences en matière d'éducation, de santé, d'environnement et de justice. Mais les questions relatives à la diplomatie, à l'énergie et à la défense restent du ressort de Londres.
Une Écosse indépendante devrait refaire acte de candidature à l'Unin européenne et partager avec Londres ses revenus pétroliers en haute mer.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2012/05/25/004-ecosse-campagne-independance.shtml