Education nationale.

Salam Aleykoum


Malheureusement en France l'école est la première structure idéologique destinée à former le citoyen dès le plus jeune age. Ainsi sa fonction première est occultée (les résultats catastrophiques des tests d'évaluation internationaux en témoignent) et remplacée par une fonction implicite bien plus pragmatique. En somme, préparer l'enfant à devenir un parfait citoyen (mouton) validant par la suite le système tel qu'il est définit par les plus hauts gradés.

L'élève se voit éduqué à la religion laique afin d'être digne de la citoyenneté conférée. Tandis que l'école s'inscrit comme porteuse d'un projet éducatif de conversion à une religion nouvelle de la vertu civique.

Faites comme moi, ne mettez pas vos enfants à l'école (enfin j'en ai pas encore).

Jimmy
tu es toi même issu de l'école et semble avoir un regard critique, penses tu que l'école aussi démagogique soit elle suffit à former les individus que nous sommes et sans avoir été dans le système comment peux tu en connaître les avantages et insuffisances ? un individu averti connait le système et développe son propre libre arbitre et accès au savoir s'il peut bénéficier d'un entourage qui va le laisser s'exprimer et réfléchir au delà de l'école
 
Mais c'est plus récents, nombreux, et divers que les espagnols.
Et c'est à l'etat de les intégrer aussi... Pourquoi les émeutes de 2005; 2007; etc. ?

C'est ou sera à apprendre à l'école, c'est l'histoire de France. Et puis j'aime pas cette dictature identitaire, on marche avec le peuple pas le système.

Sarko durant sa présidence faisait un footing avec un t-shirt "NY", nomme sa fille Guilia par "respect pour les origines de Carla" et un manuel Valls qui a sont coeur éternellement liée à Israël.

Comment peut on reprocher par la suite aux noirs et aux arabes des choses que l'on pratique soit même ?
 
Sarko durant sa présidence faisait un footing avec un t-shirt "NY", nomme sa fille Guilia par "respect pour les origines de Carla" et un manuel Valls qui a sont coeur éternellement liée à Israël.

Comment peut on reprocher par la suite aux noirs et aux arabes des choses que l'on pratique soit même ?

Parce que tu peux parfaitement aimer un autre pays que celui dans lequel tu vis sans pour autant le placer au dessus de là où tu vis. Aimer ses origines, oui, bien sur. Dire le contraire, ce serait critiquer la multiculturalité, et je serais très *** de le faire vu d'où je viens quand même.

Mais vivre en un lieu signifie respecter, aussi, ce que l'ensemble des personnes y vivant considère comme "correct" ou non. Et se corriger lorsqu'on fait une erreur à ce sujet.

Quitter son pays c'est être prêt à de nombreux sacrifices. C'est consentir à sacrifier une partie de ses racines pour adopter une autre façon de vivre. Si tu pars de chez toi, c'est que tu ne t'y sens pas bien pour une raison ou une autre. Ou que tu penses que tu auras mieux ailleurs. Si tu deviens mécontent à la suite de ton départ :

- Soit tu n'étais finalement pas prêt à te couper d'une partie de tes racines. Et tu ne peux donc pas être heureux (tout comme, en simplifiant énormément la chose, ton pays d'adoption ne peut pas être "heureux" de t'adopter)
- Soit c'est que ce que tu attendais de ce pays n'est finalement pas ce que tu as reçu.

@Amine4

C'est quoi le pays ? Pour répondre très simplement, c'est sa constitution. Ce n'est pas son peuple à proprement parler. C'est la constitution qu'a décidé d'adopter son peuple. Et, en France et en Belgique en tout cas, la constitution prévoit les changements opérés par le peuple pour le peuple selon des règles définies. Elle prévoit même des changements en son sein même.

Cela ne signifie, en aucun cas, "je peux vivre comme bon me semble ici".

Si certaines personnes sont en désaccord à un niveau constitutionnel, elles ont le droit de créer des groupes permettant d'envoyer leur avis "en nombre" aux différentes instances de leur pays. Mais, et ce par le principe de la démocratie même, ils n'ont pas à être revendicatif si ce qu'ils désirent n'est pas obtenu.

Et enfin, oui, c'est certain que c'est aux personnes à s'adapter au lieu où elle se trouve. Je ne rentrerais pas à poil dans la plupart des lieux de culte. C'est totalement irrespectueux. C'est confronter ma liberté personnelle à une liberté plus grande : celle de tous les autres. Et c'est donc normal que ce soit moi qui "perde". Ce qui ne signifie en aucun cas que mon particularisme ne doit pas être défendu, mais à titre privé.

Et c'est le cas dans la plupart des démocraties. On préserve le droit au privé : religion, parole, propriété, ... mais pas au détriment du "bien de tous". Si ta religion "exige" de toi que tu gueules dans la rue à 3h du matin un certains nombres de paroles rituelles, ta liberté se confronte à celles des autres. C'est eux qui "gagnent" et non toi. Sauf si c'est tout le peuple qui se met à gueuler à 3h du matin et qui, du coup, décide de légiférer en ce sens.
 
Parce que tu peux parfaitement aimer un autre pays que celui dans lequel tu vis sans pour autant le placer au dessus de là où tu vis. Aimer ses origines, oui, bien sur. Dire le contraire, ce serait critiquer la multiculturalité, et je serais très *** de le faire vu d'où je viens quand même.

Mais vivre en un lieu signifie respecter, aussi, ce que l'ensemble des personnes y vivant considère comme "correct" ou non. Et se corriger lorsqu'on fait une erreur à ce sujet.

Quitter son pays c'est être prêt à de nombreux sacrifices. C'est consentir à sacrifier une partie de ses racines pour adopter une autre façon de vivre. Si tu pars de chez toi, c'est que tu ne t'y sens pas bien pour une raison ou une autre. Ou que tu penses que tu auras mieux ailleurs. Si tu deviens mécontent à la suite de ton départ :

- Soit tu n'étais finalement pas prêt à te couper d'une partie de tes racines. Et tu ne peux donc pas être heureux (tout comme, en simplifiant énormément la chose, ton pays d'adoption ne peut pas être "heureux" de t'adopter)
- Soit c'est que ce que tu attendais de ce pays n'est finalement pas ce que tu as reçu.

"Parce que tu peux parfaitement aimer un autre pays que celui dans lequel tu vis sans pour autant le placer au dessus de là où tu vis."

Donc dire que sont coeur est éternellement liée à Israël c'est pas placer Israël au dessus de la France, mais dire la même chose pour l'Algérie ou le Maroc c'est une aberration quant on vie en France...

Appeler son fils ou sa fille par un prénom Arabe ou Africain c'est insultant pour le patriotisme Français, mais pas quand sa concerne un prénom Espagnole, Italien, Grec ou Allemand...

tu t'enfonces.
 
@breakbeat :

Oula, n’interprète pas ce que j'ai dis autrement que comme je l'ai dis.

Je n'ai dit nul part que le coeur d'une personne se doit d'être là où il vit. J'ai dit que la tête d'une personne doit l'être. J'ai toujours mon coeur au Rwanda, pourquoi j'irais reprocher à quelqu'un de le faire avec un autre pays.

Ce sont mes racines, mon enfance, ma culture d'origine. Mais "ici" n'est pas "là-bas". Et inversement. Je ne vis pas "ici" comme je vivais "là-bas". Ce qui ne signifie pas une coupure nette et précise, c'est s'adapter afin que sa liberté n'entrave pas celle des autres. Vivre en société en somme.

Et nul part je n'ai indiqué qu'avoir un prénom d'une autre "sonorité" que le pays où l'on vit est anti-patriotique. Déjà, parce que je ne crois pas à la notion de patriotisme. Et surtout, parce que cela fait partie des libertés individuelles protégées par la constitution (française et belge d'ailleurs). Sauf si cela pose un problème à l'enfant. L'appeler "crétin" dans un pays où cela a une signification négative, ce n'est évidemment pas un cadeau à lui faire, même si dans ta langue d'origine cela signifie "joli cerisier en fleur".

Mais l'appeler Mohamed ? Hakim ? Amoudou ? Asafa ? Pourquoi cela serait "anti patriotique" ? Et surtout, où l'ai-je préciser ?

PS : Mon nom n'est pas "jean-charles". Celui de ma femme, non plus. Celui de mes enfants, non plus. N'empêche, je me sens, aussi, belge. Même chose pour ma femme et mes enfants.
 
@breakbeat :

Oula, n’interprète pas ce que j'ai dis autrement que comme je l'ai dis.

Je n'ai dit nul part que le coeur d'une personne se doit d'être là où il vit. J'ai dit que la tête d'une personne doit l'être. J'ai toujours mon coeur au Rwanda, pourquoi j'irais reprocher à quelqu'un de le faire avec un autre pays.

Ce sont mes racines, mon enfance, ma culture d'origine. Mais "ici" n'est pas "là-bas". Et inversement. Je ne vis pas "ici" comme je vivais "là-bas". Ce qui ne signifie pas une coupure nette et précise, c'est s'adapter afin que sa liberté n'entrave pas celle des autres. Vivre en société en somme.

Et nul part je n'ai indiqué qu'avoir un prénom d'une autre "sonorité" que le pays où l'on vit est anti-patriotique. Déjà, parce que je ne crois pas à la notion de patriotisme. Et surtout, parce que cela fait partie des libertés individuelles protégées par la constitution (française et belge d'ailleurs). Sauf si cela pose un problème à l'enfant. L'appeler "crétin" dans un pays où cela a une signification négative, ce n'est évidemment pas un cadeau à lui faire, même si dans ta langue d'origine cela signifie "joli cerisier en fleur".

Mais l'appeler Mohamed ? Hakim ? Amoudou ? Asafa ? Pourquoi cela serait "anti patriotique" ? Et surtout, où l'ai-je préciser ?

A mon avis t'as bien mal comprit mon post pour en arriver a une telle conclusion...

"Sarko durant sa présidence faisait un footing avec un t-shirt "NY", nomme sa fille Guilia par "respect pour les origines de Carla" et un manuel Valls qui a sont coeur éternellement liée à Israël.

Comment peut on reprocher par la suite aux noirs et aux arabes des choses que l'on pratique soit même ?"

 
@breakbeat :

Euh, non, je l'avais très bien compris. J'approuvais, en partie, ton post. Je me contentais de le nuancer, selon moi, sur des points plus larges. On parle d'autre chose qu'un prénom, un vêtement avec le nom d'une ville ou le drapeau d'un pays et une déclaration d'amour envers un pays étranger quand on parle de "ne pas s'intégrer" à son pays hôte.

Et de nuancer / préciser quand, je pense du moins, on peut parler de "non intégration". Typiquement, les situations où "ce que tu faisais là-bas et ne heurtais personne là-bas" devient "ce que te faisais là-bas heurte une majorité de personnes ici".

D'ailleurs, je ne pense pas qu'il y ait de déclarations de ces deux politiques que tu cites reprochant ces faits précis à une quelconque communauté. Mais je peux me tromper sur ce point, c'est sur.
 
@breakbeat :

Euh, non, je l'avais très bien compris. J'approuvais, en partie, ton post. Je me contentais de le nuancer, selon moi, sur des points plus larges. On parle d'autre chose qu'un prénom, un vêtement avec le nom d'une ville ou le drapeau d'un pays et une déclaration d'amour envers un pays étranger quand on parle de "ne pas s'intégrer" à son pays hôte.

Et de nuancer / préciser quand, je pense du moins, on peut parler de "non intégration". Typiquement, les situations où "ce que tu faisais là-bas et ne heurtais personne là-bas" devient "ce que te faisais là-bas heurte une majorité de personnes ici".

D'ailleurs, je ne pense pas qu'il y ait de déclarations de ces deux politiques que tu cites reprochant ces faits précis à une quelconque communauté. Mais je peux me tromper sur ce point, c'est sur.

Mon post faisait référence à ceux qui considère comme non intégré les arabes et les noir en basant leur argumentation sur le fait qu'un arabe non assimilé n'est pas intégré, cette confusion entre assimilation et intégration doit être débunkez, car elle constitue une propagande mensongère.
 
@breakbeat :

Et tu penses qu'ils sont nombreux à ne pas saisir la différence ?

Pour ma part, ce que j'ai tendance à entendre de mes concitoyens n'est pas "il porte la barbe, la robe, le boubou, un drole de prénom, etc...".

Ce que j'ai tendance à entendre c'est "il vit depuis 5 ans ici et ne parle pas UN mot d'une des langues officielles". Un exemple parmi d'autre mais qui revient souvent. Et les détails mentionnés plus haut sont plus là pour servir à rajouter encore plus mais ne sont pas des points de départ en soi.

Bien sur, je peux comprendre qu'on ai besoin d'un temps d'intégration. Tu vas pas reprocher au mec arriver hier de ne pas maitriser parfaitement le français, le néerlandais ou l'allemand. Mais au bout d'un temps plus que raisonnable, je pense que c'est un reproche qu'on peut faire. Et ce, sans être taxé de "raciste" d'une quelconque manière.

Ceci dit, je comprend ceux qui trouvent étrange que quelqu'un qui est issu d'une 3ème ou 4ème génération d'immigrés, qui n'a vu "le pays" qu'en carte postale ou le temps d'un congé de 10-15j tous les ans se sente plus marocain que belge (change les nationalités comme tu le veux, cela revient au même). Son enfance, ses racines se trouvent dans son pays hôte. Sa culture, peut-être, peut-être pas. Si lui-même, ses parents et la société font bien leur boulot, sa culture doit être double de façon +/- équitable.

Ceux qui cherchent l'assimilation sont ceux qui r^vent d'un monde où tous sont pareils. je ne pense pas qu'ils soient si nombreux que cela.
 
@breakbeat :

Et tu penses qu'ils sont nombreux à ne pas saisir la différence ?

Pour ma part, ce que j'ai tendance à entendre de mes concitoyens n'est pas "il porte la barbe, la robe, le boubou, un drole de prénom, etc...".

Ce que j'ai tendance à entendre c'est "il vit depuis 5 ans ici et ne parle pas UN mot d'une des langues officielles". Un exemple parmi d'autre mais qui revient souvent. Et les détails mentionnés plus haut sont plus là pour servir à rajouter encore plus mais ne sont pas des points de départ en soi.

Bien sur, je peux comprendre qu'on ai besoin d'un temps d'intégration. Tu vas pas reprocher au mec arriver hier de ne pas maitriser parfaitement le français, le néerlandais ou l'allemand. Mais au bout d'un temps plus que raisonnable, je pense que c'est un reproche qu'on peut faire. Et ce, sans être taxé de "raciste" d'une quelconque manière.

Ceci dit, je comprend ceux qui trouvent étrange que quelqu'un qui est issu d'une 3ème ou 4ème génération d'immigrés, qui n'a vu "le pays" qu'en carte postale ou le temps d'un congé de 10-15j tous les ans se sente plus marocain que belge (change les nationalités comme tu le veux, cela revient au même). Son enfance, ses racines se trouvent dans son pays hôte. Sa culture, peut-être, peut-être pas. Si lui-même, ses parents et la société font bien leur boulot, sa culture doit être double de façon +/- équitable.

Ceux qui cherchent l'assimilation sont ceux qui r^vent d'un monde où tous sont pareils. je ne pense pas qu'ils soient si nombreux que cela.


Les Français qui vivent au Maroc ou ailleurs ne parlent pas un traître mot d'Arabe hormis un labess chwiya or on exige pas d'eux la maîtrise de la langue puisque la langue utilisée est celle du colon; dans d'autres pays où les gens vivent de manière communautaire ils ne parlent pas anglais mais chinois, turc, espagnol etc et pourtant ont un statut social une vie paient des impôts. Les exigences ne sont pas les mêmes selon les règles établies et la culture du pays.
 
@Docours,

Ce que je disait, c'est que critiquer le pays où l'on vie, c'est meme un devoir.

C'est comme les noirs qui etait obligé d'aller à l'arrière du bus aux USA.. Quand les lois sont injuste, en parler ne doit pas être mal vus.
On construit un pays avec tous le monde, sinon sa créé des injustice puis des émeutes, etc.

Je vois pas en quoi le fait de mettre un hijab ou construire une mosquées dérange, à part pour exprimé une forme de racisme. La plus part des islamophobes ou raciste que j'ai vus ne connaisse pas de musulman ou de Francais issu de l'immigration.

Exemple, sortir en djellabas pour aller à la mosquées sur orléans la source sa passe très bien (aucun souci), à Fleury les Aubrais un peut moins, à Semoy (petit village) c'est mal vus. Et pourtant la pop. Est bcp plus forte et mixte à la source que dans les 2 autres villes cité.

Et c'est sûrement car la télévision télécommande largement le subconscient des gens qui ne savent pas et suivent par pure nationalismes.

Qui sont les gens qui passe à la télé ? Des Antisémites ? Ho. Je me calme.
 
Dernière édition:
@breakbeat :

Et tu penses qu'ils sont nombreux à ne pas saisir la différence ?

Pour ma part, ce que j'ai tendance à entendre de mes concitoyens n'est pas "il porte la barbe, la robe, le boubou, un drole de prénom, etc...".

Ce que j'ai tendance à entendre c'est "il vit depuis 5 ans ici et ne parle pas UN mot d'une des langues officielles". Un exemple parmi d'autre mais qui revient souvent. Et les détails mentionnés plus haut sont plus là pour servir à rajouter encore plus mais ne sont pas des points de départ en soi.

Bien sur, je peux comprendre qu'on ai besoin d'un temps d'intégration. Tu vas pas reprocher au mec arriver hier de ne pas maitriser parfaitement le français, le néerlandais ou l'allemand. Mais au bout d'un temps plus que raisonnable, je pense que c'est un reproche qu'on peut faire. Et ce, sans être taxé de "raciste" d'une quelconque manière.

Ceci dit, je comprend ceux qui trouvent étrange que quelqu'un qui est issu d'une 3ème ou 4ème génération d'immigrés, qui n'a vu "le pays" qu'en carte postale ou le temps d'un congé de 10-15j tous les ans se sente plus marocain que belge (change les nationalités comme tu le veux, cela revient au même). Son enfance, ses racines se trouvent dans son pays hôte. Sa culture, peut-être, peut-être pas. Si lui-même, ses parents et la société font bien leur boulot, sa culture doit être double de façon +/- équitable.

Ceux qui cherchent l'assimilation sont ceux qui r^vent d'un monde où tous sont pareils. je ne pense pas qu'ils soient si nombreux que cela.

Je ne peux pas dire si cette propagande mensongère (confondre assimilationnisme avec intégration) est une idée minoritaire ou majoritaire mais elle doit être combattue au même titre que de combattre celle qui prétend que l'islam ordonne de tuer un non musulman sous le prétexte qu'il n'est pas musulman, c'est pour évité qu'un petit mensonge vicieux ne devienne une idée reçus bien ancrée engendrant une psychose.

Sinon comme a ton habitude tu cite une expérience personnel que rien ne permet de vérifier (les immigrés parle peu les langues du pays d’accueil je dis pas que une personne qui parle pas la langue officiel du pays tout en y vivant n'existe pas, mais que je demandes des preuves (si tu as) que la majorité des immigrés parle leur langue natal sans jamais apprendre la langue du pays d'acceuil.

As tu des études faite sur le sujet pour quantifié le nombres d'immigrés parlant pas la langue du pays d'acceuil et la moyenne de temps pour qu'il l'assimile complètement ?
 
Les Français qui vivent au Maroc ou ailleurs ne parlent pas un traître mot d'Arabe hormis un labess chwiya or on exige pas d'eux la maîtrise de la langue puisque la langue utilisée est celle du colon; dans d'autres pays où les gens vivent de manière communautaire ils ne parlent pas anglais mais chinois, turc, espagnol etc et pourtant ont un statut social une vie paient des impôts. Les exigences ne sont pas les mêmes selon les règles établies et la culture du pays.

Et c'est une erreur de leur part de ne pas apprendre la langue locale. Et il est tout à fait normal de les mettre en avant sur ce fait. Et c'est un problème relativement courant dans les pays de grande taille ayant une mentalité assez séculariste. Les USA sont pareil à ce niveau là, pire encore en fait. Où qu'ils aillent, ils trouvent normal qu'on parle anglais et se répandent en lamentation quand ce n'est pas le cas.

Alors, ok, quand tu passes des vacances dans un pays, quelques mots suffisent et t'essayes de te débrouiller pour le reste. Mais quand tu vas y vivre ? C'est ton choix. Et cela devient ta responsabilité de t'adapter, le mieux possible, à ce pays. En commençant par la langue. Et en continuant par comprendre ce qui est, ou non, accepté par tes nouveaux concitoyens.

Que tu sois un marocain débarquant en Norvège ou un français débarquant au Maroc. Si tu te sens différent des gens habitant un pays au point de ne pas vouloir tendre la main vers eux, tu n'as rien à y faire pour une longue durée. Peu importe le pays, peu importe d'où tu viens.
 
@Docours,

Ce que je disait, c'est que critiquer le pays où l'on vie, c'est meme un devoir.

C'est comme les noirs qui etait obligé d'aller à l'arrière du bus aux USA.. Quand les lois sont injuste, en parler ne doit pas être mal vus.
On construit un pays avec tous le monde, sinon sa créé des injustice puis des émeutes, etc.

Je vois pas en quoi le fait de mettre un hijab ou construire une mosquées dérange, à part pour exprimé une forme de racisme. La plus part des islamophobes ou raciste que j'ai vus ne connaisse pas de musulman ou de Francais issu de l'immigration.

Exemple, sortir en djellabas pour aller à la mosquées sur orléans la source sa passe très bien (aucun souci), à Fleury les Aubrais un peut moins, à Semoy (petit village) c'est mal vus. Et pourtant la pop. Est bcp plus forte et mixte à la source que dans les 2 autres villes cité.

Et c'est sûrement car la télévision télécommande largement le subconscient des gens qui ne savent pas et suivent par pure nationalismes.

Qui sont les gens qui passe à la télé ? Des Antisémites ? Ho. Je me calme.

Critiquer le pays, oui. S'organiser afin de le changer, oui, bien sur. Mais surtout, comprendre que c'est l'avis majoritaire qui l'emporte. Si tu arrives à convaincre tes concitoyens du bien fondé de tes idées, génial, on change. Sinon, faudra faire avec.

Ceci dit, je parle ici d'être dans une limite raisonnable. Le nazisme (tiens, un point Godwin) a convaincu beaucoup de personnes en son temps, ça n'en fait absolument pas une idéologie acceptable évidemment.

De même que la discrimination contre les noirs aux USA, aujourd'hui comme hier, n'est pas acceptable. Et oui, on a construit le pays en montrant que l'on était pas d'accord.
Mais le fait que les noirs d'aujourd'hui ont plus de droits que ceux des générations précédentes aux USA n'est pas du fait de ces manifs uniquement. Et les violences de certaines ont même desservies la cause (pas pour rien que King ou Malcom X s'en sont désolidarisé, parfois sur le tard pour le second). C'est du au fait que ces noirs, regroupés sous différentes bannières avec une cause unique en tête, ont réussi à faire changer l'opinion de la majorité des USA.

Ensuite, qui a dit qu'un hijab dérange ? Un voile intégral où on ne peut pas identifier la personne, c'est autre chose. Mais un hijab ? Le seul endroit où cela dérange c'est au niveau des organes de l'état qui se doit d'être neutre (laic en France). Ce qui est écrit tel quel dans le contrat que tu signes en tant que futur fonctionnaire et en tant que parent mettant ton enfant dans une école.

Qui cela dérange une mosquée ? Dans une petit village ? En même temps, la façon de voir la vie dans une petite ville ou un village et dans une grande ville n'est pas du tout la même. C'est un fait qu'ils tiennent plus aux "vieilles traditions" dans ces coins. Parce qu'ils n'ont eu que rarement l'occasion de "toucher" à d'autres choses. Souvent de leur propre volonté.
 
Je ne peux pas dire si cette propagande mensongère (confondre assimilationnisme avec intégration) est une idée minoritaire ou majoritaire mais elle doit être combattue au même titre que de combattre celle qui prétend que l'islam ordonne de tuer un non musulman sous le prétexte qu'il n'est pas musulman, c'est pour évité qu'un petit mensonge vicieux ne devienne une idée reçus bien ancrée engendrant une psychose.

Sinon comme a ton habitude tu cite une expérience personnel que rien ne permet de vérifier (les immigrés parle peu les langues du pays d’accueil je dis pas que une personne qui parle pas la langue officiel du pays tout en y vivant n'existe pas, mais que je demandes des preuves (si tu as) que la majorité des immigrés parle leur langue natal sans jamais apprendre la langue du pays d'acceuil.

As tu des études faite sur le sujet pour quantifié le nombres d'immigrés parlant pas la langue du pays d'acceuil et la moyenne de temps pour qu'il l'assimile complètement ?

Euh, oui, elle doit être combattue. Je ne dis pas l'inverse. Je dis juste que je n'ai aucune idée de sa proportion réelle. Mais, et tu m'excuseras, j'ai déjà pas mal de choses à faire de mon coté. Pas mal d'engagements en terme de changements sociaux, de bénévolat, etc... Donc tu as droit à tout mon soutien moral mais je crains de ne pouvoir donner plus. Mais, si ce n'est pas encore fait, engage-toi là-dessus. Rien à redire.

Et, oui, je sors un exemple personnel. Je ne pense pas qu'il y ait de statistiques sur le sujet (ou alors, fournis-les moi). Je parle donc de ce que je connais. Tout comme toi je pense d'ailleurs. Enfin, sauf si tu as des stats, dans ce cas-là, toutes mes excuses, je commenterais non plus sur base personnelle mais sur base de ce que tu me fourniras.

Et je n'ai pas dit "les immigrés ne parlent que peu la langue de leur pays". Je précise que les reproches que j'entends et qui sont fait à certains immigrés (pas tous, on parle de cas précis, pas de généralité) sont, entre autre, ceux-ci. Et que la plupart des personnes de ma connaissance font bien la différence entre l'intégration et l'assimilation. Dans l'école secondaire où je travaillais, la moitié du corps enseignant était issus, de plus ou moins loin, de l'immigration. Ca n'a jamais posé problème à personne. Ca posait problème à certains que des parents vivant en belgique depuis 5 ans soient incapables de s'exprimer, même un tout petit peu, en français/néerlandais/allemands. Ca oui.

Donc, ces personnes savaient très bien qu'une grande partie des immigrés faisaient l'effort. On avait des classes de "primo-arrivants" dont le but était, essentiellement, d'apprendre le français (dans le cas de mon école) et quelques points culturels de façon très très large.

Encore une fois, ce n'est pas une généralité que j'exprimais. Relis moi calmement. Tu as tendance à vouloir me faire dire des choses que je n'exprime pas.
 
Et c'est une erreur de leur part de ne pas apprendre la langue locale. Et il est tout à fait normal de les mettre en avant sur ce fait. Et c'est un problème relativement courant dans les pays de grande taille ayant une mentalité assez séculariste. Les USA sont pareil à ce niveau là, pire encore en fait. Où qu'ils aillent, ils trouvent normal qu'on parle anglais et se répandent en lamentation quand ce n'est pas le cas.

Alors, ok, quand tu passes des vacances dans un pays, quelques mots suffisent et t'essayes de te débrouiller pour le reste. Mais quand tu vas y vivre ? C'est ton choix. Et cela devient ta responsabilité de t'adapter, le mieux possible, à ce pays. En commençant par la langue. Et en continuant par comprendre ce qui est, ou non, accepté par tes nouveaux concitoyens.

Que tu sois un marocain débarquant en Norvège ou un français débarquant au Maroc. Si tu te sens différent des gens habitant un pays au point de ne pas vouloir tendre la main vers eux, tu n'as rien à y faire pour une longue durée. Peu importe le pays, peu importe d'où tu viens.

Tu parles d'erreur mais c'est ton point de vue, il y a des cas où ce n'est pas exigé et où cela se passe très bien. Est ce que les gens à qui tu demandes de maîtriser la langue t'empêche de vivre ou te comprendre dans des situations où cela t'étais indispensable ?
 
Dernière édition:
@samouya :

Lorsque tu expliques à un parent pourquoi son fils / sa fille a été en retenue 4 fois ce mois-ci, qu'il risque l'expulsion parce qu'il/elle est agressif, impertinent, perturbant, violent parfois, il est très difficile de faire passer le message à un parent qui ne comprend pas le français.

C'est pire encore quand un grand frère / une grande soeur n'était pas là pour pouvoir traduire (sans garantie que ce soit traduit correctement). Et on avait pas toujours un collègue parlant arabe sous la main, même si on essayait de faire au mieux pour que ce soit le cas.

Donc, oui, cela était indispensable. Pas pour moi. Pour eux, pour leur enfant, pour son avenir. Mon poste est assuré, demain j'aurais toujours un boulot, j'aurais toujours un avenir, quoique devienne ce/cette môme. Mais je ne travaille pas pour moi.

Comme je l'ai dit, je comprends parfaitement que des primo-arrivants qui ont débarqué y a deux mois n'arrivent pas à maitriser la langue de leur nouveau pays. C'est normal et ce n'est, en rien, une tare. C'est une erreur quand ces mêmes primo-arrivants ne la maitrisent pas au bout d'un bon nombre d'année passée ici. Surtout s'ils désirent que leurs enfants y construisent quelque chose de solide.

C'est une minorité mais une minorité qui m'empêchait de faire mon boulot correctement avec elle. C'est scier la branche sur laquelle on est assis.
 
L’éducation nationale demande aux collégiens s’ils sont homme, femme ou « autre »

Les élèves de 3ème sommés de se déclarer homme, femme ou « autre » par l’éducation nationale
Communiqué de presse Juristes pour l’enfance 1er avril 2022

Le Ministère de l’éducation nationale adresse aux élèves de 3ème des collèges français un test d’anglais intitulé « Ev@lang collège ».

Ce test est obligatoire pour les 800 000 élèves de 3ème et compte pour le brevet. Il doit être réalisé par les élèves avant le 22 avril 2022.

Après leur connexion, les élèves doivent renseigner leur sexe, et pour cela choisir une des trois réponses proposées :

Homme
Femme
Autre

Juristes pour l’enfance demande au ministère de l’éducation nationale la rectification immédiate du test et le retrait de cette troisième réponse « autre ».

Il est en effet inadmissible qu’un test d’anglais soit l’occasion et le prétexte pour véhiculer auprès de jeunes collégiens une idéologie remettant en cause la binarité des sexes et l’existence de deux sexes, homme ou femme, idéologie sans le moindre fondement scientifique et à l’encontre de l’évidence comme de l’expérience la plus commune.

L’obligation de se prononcer dans un contexte incluant la possibilité de choisir un sexe qui ne serait ni homme ni femme mais « autre » est une violence de nature à susciter chez les jeunes sommés de se positionner dans cette perspective doutes, inquiétudes et perte de repères, d’autant plus qu’ils sont sollicités dans le cadre scolaire et que l’idéologie ainsi promue est en quelque sorte validée par l’institution elle-même.

Le fait que, dans des cas exceptionnels, il soit difficile voire impossible de déterminer le sexe d’une personne est une situation d’exception qui, selon la loi, relève de la compétence des centres des maladies rares et ne remet en rien au cause la pertinence de la binarité des sexes.

Juristes pour l’enfance demande ce jour au Ministre de l’éducation nationale de corriger sans délai ce test afin de conformer la question relative au sexe de l’élève tant à ce donné anthropologique de base que les êtres humains sont homme ou femme qu’à la loi française qui ne connait en conséquence que les sexes homme ou femme.

Le test « Ev@lang collège » s’inscrit dans le cadre du plan d’action, dit « Plan langues vivantes », mis en œuvre par le ministère de l’éducation nationale du 28 février au 22 avril 2022. Il est obligatoire et compte pour le brevet.

source : https://www.juristespourlenfance.co...ux-collegiens-sils-sont-homme-femme-ou-autre/
 
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