Les gros mensonges de zemmour le berbere algérien avec sa secte et ses complices .
Ils ne travaillent pas pour la France
Ils ont attendu des décennies pour commencer à détruire de vieilles barres construites dans les années 60
L'immigration incontrôléé a été voulue dès les années 70 alors qu'il y a avait déjà des problèmes .
mitterrant et ceux qui étaient autour de lui sont les responsables . ( La gauche CAVIARD )
Discours de Georges Marchai 1980 .
Main d'oeuvre bon marché .
Des barres construites à la va vite . Abbé Pierre 1954
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e droite et d'extrême droite remettent en cause la politique de la ville, accusant l'Etat de déverser des milliards d'euros pour les quartiers prioritaires. Pourtant, des rapports soulignent que ces derniers restent défavorisés.
Depuis les violences urbaines qui ont éclaté après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier lors d'un contrôle routier, le 27 juin à Nanterre (Hauts-de-Seine), le débat sur l'argent public accordé aux banlieues a refait surface. Pour Amine Elbahi, "l'Etat a arrosé les quartiers d'argent public". Selon ce juriste membre du parti Les Républicains, "90 milliards d'euros [ont été] investis depuis les années 1990" à destination des banlieues. Selon lui, il faudrait donc arrêter de "justifier les émeutes par l'excuse de la pauvreté".
"Ces gens-là sont gorgés d'allocations sociales et de privilèges de toutes sortes", juge ainsi le polémiste d'extrême droite Eric Zemmour, dont l'affirmation est pourtant infondée. "Ça fait 40 ans qu'ils sont sous perfusion de l'Etat", abonde le porte-parole du Rassemblement national, Julien Odoul, sur Twitter. Dans cette profusion de chiffres et de déclarations, difficile de s'y retrouver. Franceinfo revient en quatre questions sur les aides dont bénéficient les banlieues.
Chaque année, le Parlement vote une enveloppe allouée à la politique de la ville, qui est utilisée pour mener des politiques d'action publique (programmes de réussite éducative, contrats adultes-relais, contrats de ville...) dans ces "quartiers prioritaires". L'objectif est de réduire les écarts de développement entre les quartiers urbains défavorisés et les autres, situés dans les mêmes agglomérations, ainsi que de favoriser la mixité sociale.
Ils ne travaillent pas pour la France
Ils ont attendu des décennies pour commencer à détruire de vieilles barres construites dans les années 60
L'immigration incontrôléé a été voulue dès les années 70 alors qu'il y a avait déjà des problèmes .
mitterrant et ceux qui étaient autour de lui sont les responsables . ( La gauche CAVIARD )
Discours de Georges Marchai 1980 .
Main d'oeuvre bon marché .
Des barres construites à la va vite . Abbé Pierre 1954
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e droite et d'extrême droite remettent en cause la politique de la ville, accusant l'Etat de déverser des milliards d'euros pour les quartiers prioritaires. Pourtant, des rapports soulignent que ces derniers restent défavorisés.
Depuis les violences urbaines qui ont éclaté après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier lors d'un contrôle routier, le 27 juin à Nanterre (Hauts-de-Seine), le débat sur l'argent public accordé aux banlieues a refait surface. Pour Amine Elbahi, "l'Etat a arrosé les quartiers d'argent public". Selon ce juriste membre du parti Les Républicains, "90 milliards d'euros [ont été] investis depuis les années 1990" à destination des banlieues. Selon lui, il faudrait donc arrêter de "justifier les émeutes par l'excuse de la pauvreté".
"Ces gens-là sont gorgés d'allocations sociales et de privilèges de toutes sortes", juge ainsi le polémiste d'extrême droite Eric Zemmour, dont l'affirmation est pourtant infondée. "Ça fait 40 ans qu'ils sont sous perfusion de l'Etat", abonde le porte-parole du Rassemblement national, Julien Odoul, sur Twitter. Dans cette profusion de chiffres et de déclarations, difficile de s'y retrouver. Franceinfo revient en quatre questions sur les aides dont bénéficient les banlieues.
1 Quelles sont les aides dédiées aux banlieues ?
Pour comprendre les termes du débat, il faut se pencher sur la nature de ces aides. Au sens littéral, le terme de banlieue désigne toutes les zones urbaines qui entourent un centre-ville. Mais dans le langage courant, il est souvent utilisé pour parler des quartiers populaires. Depuis 2015, ces quartiers sont administrativement recensés sous l'appellation de quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV). Selon l'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), on en compte 1 514 dans l'Hexagone et en outre-mer. 5,4 millions de personnes y vivent, soit environ 8% de la population, selon l'Insee.Chaque année, le Parlement vote une enveloppe allouée à la politique de la ville, qui est utilisée pour mener des politiques d'action publique (programmes de réussite éducative, contrats adultes-relais, contrats de ville...) dans ces "quartiers prioritaires". L'objectif est de réduire les écarts de développement entre les quartiers urbains défavorisés et les autres, situés dans les mêmes agglomérations, ainsi que de favoriser la mixité sociale.
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