Ps: Ils avaient un logement voire une activité avant que le gouv us fr gb séouds turc qatar ne les
détruisent pour l'entité illégale qui elle même le fait en détruisant les logements des Palestiniens.
Et qui paye tout ça ? Il y a combien de sans abris en France ?
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Le scénario de la « crise des migrants » de l’été 2015 est-il en train de se reproduire ? Depuis fin juillet, les structures d’accueil sont saturées, les exilés trouvent portes closes et dorment parfois dans la lande de Calais (Pas-de-Calais), dans les rues de Paris ou de Vintimille (Alpes-Maritimes), ville italienne près de la frontière française.
Contraint de réagir, le gouvernement est en train de redimensionner l’accueil dans l’urgence. Lancée en novembre 2015, la politique de création de centres d’accueil et d’orientation (CAO), offrant aux nouveaux arrivants une solution dans l’attente d’un hébergement durable, s’accélère. « Nous allons, avant la fin septembre, plus que doubler les capacités de ces centres de répit, en passant de 2 000 à 5 000 places. Toutes les grandes villes ont accepté cet accueil, l’un des objectifs étant de désengorger les territoires très sollicités », annonce au Monde Emmanuelle Cosse, ministre du logement et de l’habitat durable, chargée de ce dossier avec le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve. « Les campements ne satisfont personne, ni les migrants, ni les riverains, ni les élus. Nous devons accueillir dignement ces réfugiés, c’est une priorité et un engagement international », réaffirme-t-elle.
A terme, cinquante nouvelles structures s’ajouteront aux 147 existantes – elles sont réparties sur tout le territoire, couvrant ainsi 78 départements. Pierre Henry, directeur général de France terre d’asile (FTA), estime les besoins à 500 places par ville dans une trentaine d’entre elles. « S’[ils] sont supérieurs, nous nous adapterons et nous irons plus loin », assure Mme Cosse.
Le 29 juin, les préfets avaient reçu instruction de recenser les lieux possibles, avec la consigne que ces structures soient d’au moins cinquante places et d’un coût limité à 25 euros par jour et par personne. Ils ont soumis leurs propositions aux élus et 126 millions d’euros ont été débloqués. « Au-delà des crédits, se pose la question des locaux et des (...)
lemonde.fr
détruisent pour l'entité illégale qui elle même le fait en détruisant les logements des Palestiniens.
Et qui paye tout ça ? Il y a combien de sans abris en France ?
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Le scénario de la « crise des migrants » de l’été 2015 est-il en train de se reproduire ? Depuis fin juillet, les structures d’accueil sont saturées, les exilés trouvent portes closes et dorment parfois dans la lande de Calais (Pas-de-Calais), dans les rues de Paris ou de Vintimille (Alpes-Maritimes), ville italienne près de la frontière française.
Contraint de réagir, le gouvernement est en train de redimensionner l’accueil dans l’urgence. Lancée en novembre 2015, la politique de création de centres d’accueil et d’orientation (CAO), offrant aux nouveaux arrivants une solution dans l’attente d’un hébergement durable, s’accélère. « Nous allons, avant la fin septembre, plus que doubler les capacités de ces centres de répit, en passant de 2 000 à 5 000 places. Toutes les grandes villes ont accepté cet accueil, l’un des objectifs étant de désengorger les territoires très sollicités », annonce au Monde Emmanuelle Cosse, ministre du logement et de l’habitat durable, chargée de ce dossier avec le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve. « Les campements ne satisfont personne, ni les migrants, ni les riverains, ni les élus. Nous devons accueillir dignement ces réfugiés, c’est une priorité et un engagement international », réaffirme-t-elle.
A terme, cinquante nouvelles structures s’ajouteront aux 147 existantes – elles sont réparties sur tout le territoire, couvrant ainsi 78 départements. Pierre Henry, directeur général de France terre d’asile (FTA), estime les besoins à 500 places par ville dans une trentaine d’entre elles. « S’[ils] sont supérieurs, nous nous adapterons et nous irons plus loin », assure Mme Cosse.
Le 29 juin, les préfets avaient reçu instruction de recenser les lieux possibles, avec la consigne que ces structures soient d’au moins cinquante places et d’un coût limité à 25 euros par jour et par personne. Ils ont soumis leurs propositions aux élus et 126 millions d’euros ont été débloqués. « Au-delà des crédits, se pose la question des locaux et des (...)
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