Enfin un lycée français international à oujda

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion hadkourt
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pour @compteblad :D

Un retour apprécié, après plus d'un siècle d'absence
Une implantation qui facilitera la mobilité des entreprises et des cadres expatriés


Ayant abrité la première école de l’enseignement du français moderne au Maroc en 1907, Oujda a dû attendre 112 ans pour avoir son premier lycée français privé. Le mérite revient au groupe scolaire Sandrinéo qui a répondu à toutes les exigences pédagogiques pour décrocher l’homologation. Il lui a fallu une année de préparation, de formation des enseignants, d’encadreurs pédagogiques, d’inspections et de concertation pour obtenir le fameux sésame du ministère de l’enseignement français et la reconnaissance de la qualité de l’enseignement et du personnel.

Avec ce nouveau lycée, l’Oriental a enfin une école française privée au même titre que Rabat et Casablanca. Sandrinéo est un groupe scolaire à double mission. Il contribue à la généralisation de l’enseignement de qualité avec respect des principes de bonne gestion et prépare aux examens français.

Au-delà d’une référence scolaire, l’implantation d’un tel établissement dans l’Oriental facilitera la mobilité des entreprises qui choisissent la région pour lancer leurs projets de croissance économique. «Cette école française, qui ouvrira ses portes en septembre prochain est un véritable atout pour le développement économique de la ville. Elle permettra aux entreprises d’offrir à leur personnel transféré ou aux expatriés installés à Oujda, une scolarité répondant aux cursus des programmes français, au même titre que les établissements français du Maroc dont on est partenaire», confie à L’Economiste Sandrine Tranché, chef de l’établissement.


C’est également un relais d’échanges interculturels développé en collaboration avec l’Institut français, l'Ambassade de France et la ville de Lille, jumelée avec Oujda.

De la maternelle à la terminale, les élèves de ce groupement scolaire, d’une capacité d’accueil de 1.100 élèves (25 par classe), sont accompagnés de la petite enfance jusqu’au parcours pré et post bac afin de les préparer dans les meilleures conditions aux études universitaires.

 
pour @compteblad :D

Un retour apprécié, après plus d'un siècle d'absence
Une implantation qui facilitera la mobilité des entreprises et des cadres expatriés


Ayant abrité la première école de l’enseignement du français moderne au Maroc en 1907, Oujda a dû attendre 112 ans pour avoir son premier lycée français privé. Le mérite revient au groupe scolaire Sandrinéo qui a répondu à toutes les exigences pédagogiques pour décrocher l’homologation. Il lui a fallu une année de préparation, de formation des enseignants, d’encadreurs pédagogiques, d’inspections et de concertation pour obtenir le fameux sésame du ministère de l’enseignement français et la reconnaissance de la qualité de l’enseignement et du personnel.

Avec ce nouveau lycée, l’Oriental a enfin une école française privée au même titre que Rabat et Casablanca. Sandrinéo est un groupe scolaire à double mission. Il contribue à la généralisation de l’enseignement de qualité avec respect des principes de bonne gestion et prépare aux examens français.

Au-delà d’une référence scolaire, l’implantation d’un tel établissement dans l’Oriental facilitera la mobilité des entreprises qui choisissent la région pour lancer leurs projets de croissance économique. «Cette école française, qui ouvrira ses portes en septembre prochain est un véritable atout pour le développement économique de la ville. Elle permettra aux entreprises d’offrir à leur personnel transféré ou aux expatriés installés à Oujda, une scolarité répondant aux cursus des programmes français, au même titre que les établissements français du Maroc dont on est partenaire», confie à L’Economiste Sandrine Tranché, chef de l’établissement.


C’est également un relais d’échanges interculturels développé en collaboration avec l’Institut français, l'Ambassade de France et la ville de Lille, jumelée avec Oujda.

De la maternelle à la terminale, les élèves de ce groupement scolaire, d’une capacité d’accueil de 1.100 élèves (25 par classe), sont accompagnés de la petite enfance jusqu’au parcours pré et post bac afin de les préparer dans les meilleures conditions aux études universitaires.



Je pensais que ça existait déjà....vu que les français l avaient colonisé !😠


Ecole maternelle a oujda en 1956
 
Pourquoi enfin ? zeema quoi on va avoir moins de chomage.

@Sharm rwa7 lehna tidsuite

l'oriental - Oujda&Co sont les plus frappe par le chomage.. faut voir ce qui se passe a jerrada, frontiere ferme SANS AUCUNE ALTERNATIVE.

bref.. les gens veulent travailler les gens veulent du pain
 
zwine hadchi ....
zwine bezzaf !!!


A oujda le système universitaire est l un des meilleurs au Maroc... dans la zone universitaire il y a des étudiants de tout le Maroc...

Le gros souci est le manque de débouchés...donc c est pour cela que bcp de oujdis étudient a l université d oujda mais vont travailler a casa, rabat ou tanger ou alors ils s s'expatrient

En gros oujda produit bcp de travailleurs qualifiés mais faute de débouchés dans la région ils doivent souvent partir.


Un bête exemple j ai discuté l annee passée avec un ingénieur a tanger med, il m a dit il y a bcp d employés oujdis... je crois que c est valable pour casa ou rabat

 
Pourquoi enfin ? zeema quoi on va avoir moins de chomage.

@Sharm rwa7 lehna tidsuite

l'oriental - Oujda&Co sont les plus frappe par le chomage.. faut voir ce qui se passe a jerrada, frontiere ferme SANS AUCUNE ALTERNATIVE.

bref.. les gens veulent travailler les gens veulent du pain

Ach khassek a l3eryan, l khatem a Moulay.

En principe, je ne suis pas contre l'ouverture d'écoles privées française, américaine, japonaise ou tout ce que tu veux.

Ici, on est dans la continuité de la colonisation française qui est à son comble. Au lieu de développer l'école marocaine. On importe les programmes, les écoles, et on forme des profs avec le modèle de pensée français, et les complexes qui vont avec (dire bonjour au lieu de Salam Alikoum). Le plus agaçant, c'est de reconnaitre que c'est un facteur de développement économique. Normalement, c'est aux entrepreneurs étrangers de s'adapter à leurs pays de résidence en se baignant dans la culture locale et non l'inverse. Tant qu'on y est, autant faire de l'oriental un département français et n'en parlons plus !

Les français ne s'arrêtent pas à une transmission de savoir, mais imposent inconsciemment leur manière de penser comme l'a signalé Mehdi Manjra Allah yra7mo.

 
Qu on le veuille ou non, la présence française a oujda date de plus d'un siècle et evidemment cela a des incidences à tous les niveaux

Vive la diversité

 
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