Ils abusent les américains !! Sur cette deuxième affaire, tout le monde sait que des personnes sont cooptés pour des postes , des stages, ...........................
En changeant de job, par exemple, ça arrive régulièrement de faire débaucher ses anciennes équipes !! ça veut pas dire qu'il y a abus de pouvoir pour autant !
C'est vraiment un pays d'hypocrites !!
Le FMI enquête sur un deuxième abus de pouvoir de DSK
LEMONDE.FR
Ce week-end, alors qu'éclatait l'"affaire Piroska Nagy", du nom de l'économiste du FMI qui aurait pu bénéficier des faveurs de Dominique Strauss-Kahn, son patron, les sources proches du dossier évoquaient à demi-mot l'existence d'une deuxième affaire, laquelle concernerait cette fois une stagiaire française et recouvrerait une dimension plus politique que sexuelle.
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Le Wall Street Journal, déjà à l'origine de la première révélation, donne, mardi 21 octobre, des détails sur cette deuxième affaire. Selon le quotidien, le FMI enquêterait actuellement pour savoir si son directeur général a joué un rôle dans la nomination d'une jeune femme de 26 ans, Emilie Byhet, à un poste très convoité de stagiaire au sein du département recherche de l'institution. Le journal se garde bien de mettre sur le même plan les deux affaires, et n'évoque pas de liaison sexuelle entre les deux protagonistes. Le WSJ qualifie la jeune femme de "political protégé" de l'ancien ministre socialiste.
La nature des liens de M. Strauss-Kahn avec Mlle Byhet a fait l'objet, cet été, de discussions entre plusieurs membres du conseil d'administration du FMI, qui se sont penchés sur le cas de la jeune femme après des plaintes d'employés de l'organisation. La nomination d'Emilie Byhet passait d'autant plus mal auprès des salariés qu'au même moment le FMI supprimait 500 postes. Les membres du conseil d'administration ont finalement décidé de ne pas porter l'affaire devant l'ensemble du conseil, mais plutôt de la transmettre au département juridique, qui n'a pas donné suite.
Selon le journal, Emilie Byhet a rejoint en 2005 la campagne de Dominique Strauss-Kahn, qui visait alors l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle. "Elle participait à tous ses meetings", raconte une ancienne camarade de la jeune fille à Sciences Po. Selon le WSJ, elle aurait ensuite bénéficié des faveurs de M. Strauss-Kahn, qui aurait court-circuité les procédures habituelles de recrutement des stagiaires. La direction des ressources humaines aurait notamment fait pression pour voir Mlle Byhet rejoindre les rangs du département recherche, alors même qu'elle n'avait pas le profil habituellement recherché pour un tel poste. Mais rien ne prouve "l'implication directe" de DSK dans l'affaire, note un porte-parole du FMI. Un proche de Dominique Strauss-Kahn a quant à lui assuré au Wall Street Journal que Mlle Byhet et ses parents étaient amis du couple Strauss-Kahn-Sinclair.
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