Enquête ouverte sur DSK, soupçonné d'abus de pouvoir

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
C'est encore plus flagrant quand on y vit:rolleyes:,

Cela dit,l'image de la France dans le monde reste plus positivement sympathique que d'autres pays comme les USA qui apparaissent comme les premiers responsables de la plupart des désordres dans le monde.
ça pe l etre tout autant quand on a un oeil extérieur et que nous sommes que de passage et nous avons cette image de la France Eldorado :rolleyes: tu parles !!!
 

FPP75

VIB
Ils abusent les américains !! Sur cette deuxième affaire, tout le monde sait que des personnes sont cooptés pour des postes , des stages, ...........................
En changeant de job, par exemple, ça arrive régulièrement de faire débaucher ses anciennes équipes !! ça veut pas dire qu'il y a abus de pouvoir pour autant !

C'est vraiment un pays d'hypocrites !!


Le FMI enquête sur un deuxième abus de pouvoir de DSK
LEMONDE.FR



Ce week-end, alors qu'éclatait l'"affaire Piroska Nagy", du nom de l'économiste du FMI qui aurait pu bénéficier des faveurs de Dominique Strauss-Kahn, son patron, les sources proches du dossier évoquaient à demi-mot l'existence d'une deuxième affaire, laquelle concernerait cette fois une stagiaire française et recouvrerait une dimension plus politique que sexuelle.


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Les faits DSK présente ses excuses au personnel du FMI et à sa femme

Les faits Le FMI enquête sur les conséquences d'une liaison de Dominique Strauss-Kahn

Les faits Les proches de Strauss-Kahn montent au front pour le défendre

Le Wall Street Journal, déjà à l'origine de la première révélation, donne, mardi 21 octobre, des détails sur cette deuxième affaire. Selon le quotidien, le FMI enquêterait actuellement pour savoir si son directeur général a joué un rôle dans la nomination d'une jeune femme de 26 ans, Emilie Byhet, à un poste très convoité de stagiaire au sein du département recherche de l'institution. Le journal se garde bien de mettre sur le même plan les deux affaires, et n'évoque pas de liaison sexuelle entre les deux protagonistes. Le WSJ qualifie la jeune femme de "political protégé" de l'ancien ministre socialiste.


La nature des liens de M. Strauss-Kahn avec Mlle Byhet a fait l'objet, cet été, de discussions entre plusieurs membres du conseil d'administration du FMI, qui se sont penchés sur le cas de la jeune femme après des plaintes d'employés de l'organisation. La nomination d'Emilie Byhet passait d'autant plus mal auprès des salariés qu'au même moment le FMI supprimait 500 postes. Les membres du conseil d'administration ont finalement décidé de ne pas porter l'affaire devant l'ensemble du conseil, mais plutôt de la transmettre au département juridique, qui n'a pas donné suite.

Selon le journal, Emilie Byhet a rejoint en 2005 la campagne de Dominique Strauss-Kahn, qui visait alors l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle. "Elle participait à tous ses meetings", raconte une ancienne camarade de la jeune fille à Sciences Po. Selon le WSJ, elle aurait ensuite bénéficié des faveurs de M. Strauss-Kahn, qui aurait court-circuité les procédures habituelles de recrutement des stagiaires. La direction des ressources humaines aurait notamment fait pression pour voir Mlle Byhet rejoindre les rangs du département recherche, alors même qu'elle n'avait pas le profil habituellement recherché pour un tel poste. Mais rien ne prouve "l'implication directe" de DSK dans l'affaire, note un porte-parole du FMI. Un proche de Dominique Strauss-Kahn a quant à lui assuré au Wall Street Journal que Mlle Byhet et ses parents étaient amis du couple Strauss-Kahn-Sinclair.

Le Monde.fr
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Ils abusent les américains !! Sur cette deuxième affaire, tout le monde sait que des personnes sont cooptés pour des postes , des stages, ...........................
En changeant de job, par exemple, ça arrive régulièrement de faire débaucher ses anciennes équipes !! ça veut pas dire qu'il y a abus de pouvoir pour autant !

C'est vraiment un pays d'hypocrites !!


Le FMI enquête sur un deuxième abus de pouvoir de DSK
LEMONDE.FR



Ce week-end, alors qu'éclatait l'"affaire Piroska Nagy", du nom de l'économiste du FMI qui aurait pu bénéficier des faveurs de Dominique Strauss-Kahn, son patron, les sources proches du dossier évoquaient à demi-mot l'existence d'une deuxième affaire, laquelle concernerait cette fois une stagiaire française et recouvrerait une dimension plus politique que sexuelle.


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Le Wall Street Journal, déjà à l'origine de la première révélation, donne, mardi 21 octobre, des détails sur cette deuxième affaire. Selon le quotidien, le FMI enquêterait actuellement pour savoir si son directeur général a joué un rôle dans la nomination d'une jeune femme de 26 ans, Emilie Byhet, à un poste très convoité de stagiaire au sein du département recherche de l'institution. Le journal se garde bien de mettre sur le même plan les deux affaires, et n'évoque pas de liaison sexuelle entre les deux protagonistes. Le WSJ qualifie la jeune femme de "political protégé" de l'ancien ministre socialiste.


La nature des liens de M. Strauss-Kahn avec Mlle Byhet a fait l'objet, cet été, de discussions entre plusieurs membres du conseil d'administration du FMI, qui se sont penchés sur le cas de la jeune femme après des plaintes d'employés de l'organisation. La nomination d'Emilie Byhet passait d'autant plus mal auprès des salariés qu'au même moment le FMI supprimait 500 postes. Les membres du conseil d'administration ont finalement décidé de ne pas porter l'affaire devant l'ensemble du conseil, mais plutôt de la transmettre au département juridique, qui n'a pas donné suite.

Selon le journal, Emilie Byhet a rejoint en 2005 la campagne de Dominique Strauss-Kahn, qui visait alors l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle. "Elle participait à tous ses meetings", raconte une ancienne camarade de la jeune fille à Sciences Po. Selon le WSJ, elle aurait ensuite bénéficié des faveurs de M. Strauss-Kahn, qui aurait court-circuité les procédures habituelles de recrutement des stagiaires. La direction des ressources humaines aurait notamment fait pression pour voir Mlle Byhet rejoindre les rangs du département recherche, alors même qu'elle n'avait pas le profil habituellement recherché pour un tel poste. Mais rien ne prouve "l'implication directe" de DSK dans l'affaire, note un porte-parole du FMI. Un proche de Dominique Strauss-Kahn a quant à lui assuré au Wall Street Journal que Mlle Byhet et ses parents étaient amis du couple Strauss-Kahn-Sinclair.

Le Monde.fr
il s'agit du FMI tout de même dans une situation bien précise et critique

ajoutons à cela que les américains ne se sont jamais cachés leur kif face à ce genre d'affaires c le mode peolisation qui fait cela :langue: un mode que sarko aime bien visiblement
 

FPP75

VIB
il s'agit du FMI tout de même dans une situation bien précise et critique

ajoutons à cela que les américains ne se sont jamais cachés leur kif face à ce genre d'affaires c le mode peolisation qui fait cela :langue: un mode que sarko aime bien visiblement

Je parle pas de l'affaire "sexuelle". Je parle de l'affaire de la stagiaire :

Rassurez moi : Quelqu'un qui prend une responsabilité a t-il le droit de faire appel à des anciens collaborateurs, des personnes qu'il connaît, en qui il a confiance, .......?
 

LuneSoleil

Ombres et fumée...
Sarko a voulu calquer le modèle américain et il ne se l'est jamais caché y compris lors de sa campagne présidentielle, eh ben visiblement il en a loupé aucun angle de ce modèle là y compris celui de l'adultère : D

(joke)

Tu crois qu'il l'a correctement calqué ?? :eek:

J'ai des doutes à vrai dire... disons qu'il n'a calqué que ce qui lui plaisait :D ?
 
on parle du président du FMI tu ren compte

normal qu elle soit heureuse

Mais quand même:D
A moins que ce soit un couple libre:rolleyes:

Le salaire de DSK au FMI

Petite idée des revenus de Dominique Strauss Kahn au FMI


- Rémunération: il sera le fonctionnaire le mieux payé de Washington, avec un salaire annuel de 495.000 dollars. Net d'impôt, diplomate oblige. C'est deux fois et demi le salaire de Bernanke, le patron de la Réserve fédérale.

- Retraite: garantie au bout de trois ans de service, elle se monte à 80.000 dollars par an.

- Avantages en nature: il n'aura certes pas de logement de fonction, mais il bénéficiera d'une voiture de fonction - une Lincoln - avec chauffeur.
http://www.lexpress.fr/actualite/economie/dsk-au-fmi-un-job-en-or_466895.html
 

GioEgyptio

2009 insh'allah
les ricains s'offusquent de ce scandale tout comme ils se sont offusqué des avantures de Clinton pendant sa présidence, même que celui-çi fut obliger de se défendre en JUSTICE...

par contre, quand un président ment à la planète pour faire une guerre ILLÉGALE et CRIMINELLE...alors pas de procès ou de tentatives de pousuites judicières!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
DSK grillé pour 2012?
il y a 1 heure 20 mins

puma - LePost Imprimer
Aux dernières présidentielles, le parti socialiste a "loupé" le coche. Lorsqu'il a été demandé aux militants de choisir, la réflexion aurait dû conduire à un autre choix que celui de la candidate sur laquelle reposaisent tous les espoirs de la Gauche. Lire la suite l'article


http://fr.news.yahoo.com/63/20081021/tpl-dsk-grill-pour2012-5cc6428.html

ayé après les messages de soutien le temps est à la bataille politique :D
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Une nouvelle affaire pour DSK

Une deuxième affaire embarrassante en moins d'une semaine pour Dominique Strauss-Kahn. Après avoir s'être excusé de sa liaison avec une de ses subordonnées, le patron du FMI est maintenant accusé «d'abus de pouvoir».

Selon «Le Wall Street Journal», qui avait déjà révélé la «love affair» de l'économiste, il aurait joué un rôle dans la nomination d'une jeune femme de 26 ans, Emilie Byhet, à un poste très convoité de stagiaire au département recherche de l'institut monétaire.


Une amie de la famille

Arrivée peu après la suppression de 500 postes au sein du FMI, la jeune femme, soutien de DSK pour l'investiture socialiste à l'élection présidentielle en 2005, aurait été recrutée sans passer par la procédure officielle. Fille d'un couple d'amis de DSK et Anne Sinclair, elle n'aurait pas non plus, selon le journal américain, le profil requis pour ce genre de poste.

Le Fonds monétaire international a démenti ce mardi tout favoritisme dans l'attribution du stage.



A.L. avec agence


:D
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Avalanche de réactions autour de l'affaire DSK

Il suffit d’une aventure adultère et d’une enquête ouverte sur Dominique Strauss-Kahn, le patron du FMI, pour que s’enclenche une avalanche de témoignages et réactions à son propos. Témoignages réels ou inventés, on ne le sait pas encore. Mais sur le Net et dans les médias, ça s’agite sec autour de ce que la presse américaine appelle déjà le «scandale sexuel» de DSK.

Aux Etats-Unis, ce qui est rendu public est lié à des soupçons d’abus de pouvoir et de conflits d’intérêt. En témoignent l’histoire de Piroska Nargy, une ex-collaboratrice du FMI dont on a déjà parlé ici, mais aussi celle d’Emilie Byhet, 26 ans. Selon «Le Wall Street Journal», DSK aurait joué un rôle dans la nomination de cette dernière au poste convoité de stagiaire au département recherche de l'institut monétaire.

Ces révélations ont généré, en France, une autre vague de témoignages. Mais des témoignages qui sont, eux, des histoires d’ordre privé et ne montrent pas d’interaction avec la vie professionnelle de Dominique Strauss-Kahn. Ainsi, mercredi, une rumeur est partie du site Agoravox: sans détour, Tristane Banon, journaliste et romancière, accuse l’économiste d'avoir été plus que pressant. Pourtant, selon nos informations, elle n’a pas porté plainte. Elle en a parlé, en février 2007, dans l'émission «93 Faubourg Saint-Honoré», animée par Thierry Ardisson. Une vidéo qui a resurgi sur le Net, mais qui ne buzze pas - seulement 13.000 vus sur Dailymotion ce jeudi.

«Fort potentiel de buzz»

Pour Rémi Douine, qui analyse les audiences des vidéos sur le Web, ce - relatif - flop s’exlique: «Cette vidéo avait un fort potentiel de buzz, puisque DSK fait l’actualité, mais aucun média traditionnel ne prend le risque de la relayer. Il faut dire que le matériel n’est pas suffisant: la fille n’est pas clairement identifiable et il s’agit d’une histoire privée.» D’autant que, comme le rappelle le site Arrêts sur image, il manque un autre élément dans cette vidéo: «Le nom du personnage masculin mis en cause, selon elle (Tristane Banon, ndlr), dans cet incident était masqué par des bips à la demande de la chaîne.»

Alors que, ce même mercredi, Dominique Strauss-Kahn annonce avoir mandaté son avocat afin de «poursuivre judiciairement avec détermination» ceux qui relaieraient «des rumeurs malveillantes» le concernant, certains n’y vont pourtant pas de main morte pour commenter l’affaire. Notamment Thierry Ardisson sur RMC qui se cantonne aussi à des propos privés.

Pourquoi se lâche-t-il maintenant alors que cela fait plus d’un an que Jean Quatremer, le correspondant de Libé à Bruxelles, a écrit que DSK a un penchant certain pour les femmes? C'est que le nom de l'économiste fait les gros titres. La preuve, sur Google Trends, il y a un pic de requêtes sur le nom de Dominique Strauss-Kahn plus élevé ces jours-ci que lors de sa nomination au poste de directeur du FMI, en 2007.

20minutes.fr
 
Dominique Strauss-Kahn a été blanchi de l'accusation d'abus de pouvoir, déclenchée à la suite des révélations sur sa vie privée. Le conseil d'administration du Fonds monétaire international pointe seulement une "grave erreur de jugement".

Le conseil d'administration du Fonds monétaire international a blanchi, samedi, Dominique Strauss-Kahn des accusations de harcèlement, favoritisme et abus de pouvoir à la suite de la liaison entre le directeur général du FMI et l'une de ses subordonnées.

Pas d'abus de pouvoir

Le conseil d'administration avait mandaté l'été dernier un cabinet d'avocats privé pour enquêter sur ce sujet. L'enquête n'a pas démontré que Strauss-Kahn avait contraint sa collaboratrice à une relation non-consentie et n'a pas déterminé que le directeur général avait usé de son influence pour lui faire bénéficier d'un traitement de faveur. L'investigation n'a pas non plus montré que DSK avait fait pression pour que la jeune femme quitte le FMI.

Compétent

Le doyen du conseil d'administration du FMI, Shakour Shaalan, un Egyptien représentant plusieurs États arabes à l'institution, a précisé que la décision a été rendue à l'unanimité des 24 membres et que l'organe dirigeant était parvenu à la conclusion que cette affaire "n'affecte en rien l'efficacité" de M. Strauss-Kahn. "Nous continuerons à travailler avec lui", a-t-il ajouté, soulignant que "le directeur général est très compétent dans l'exercice de ses fonctions".

Erreur de jugement

Pour autant, Shakour Shaalan a souligné que "la conduite personnelle du directeur général représente une donnée importante pour l'institution et que, de ce fait, cette conduite doit être irréprochable en toutes circonstances". Le conseil d'administration note que "l'incident était regrettable et qu'il traduit une grave erreur de jugement de la part du directeur général".

Excuses

Strauss-Kahn a affirmé pour sa part "regretter profondément cet incident" et a admis en "endosser toute la responsabilité". Lundi dernier, dans un courriel, Dominique Strauss-Kahn avait déjà présenté publiquement ses excuses au personnel du FMI pour avoir commis "une erreur de jugement". Un porte-parole du FMI a précisé que les excuses du directeur général ayant été acceptées par le conseil d'administration, l'affaire était désormais close.

Source : Reuters
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Strauss-Kahn blanchi: tout le monde se réjouit

Proches, opposants et ennemis français de DSK se félicitaient tous, ce dimanche, que le patron du FMI soit blanchi. Le conseil d’administration de l’institution a en effet estimé qu’il n’y avait pas eu abus du pouvoir de la part de Dominique Strauss-Kahn.

Premier à réagir dimanche matin, le patron du PS, François Hollande, a estimé à l’AFP que cette décision «vient clore l’incident» et que surtout «elle donne au directeur général du FMI (DSK) les moyens d’agir pour la réforme du système monétaire international», en pleine tourmente financière.

Une bonne nouvelle pour DSK

Même son de cloche de la part de Jean-Christophe Cambadélis. Pour le député proche de Dominique Strauss-Kahn, «c’est une bonne nouvelle pour ses amis de gauche, une bonne nouvelle pour la France qui a fait bloc dans ce qu'il faut bien appeler une cabale, et une bonne nouvelle pour le FMI qui doit faire face et jouer un rôle majeur dans la plus grande crise depuis 1929», a-t-il déclaré à l’AFP.

«Je me réjouis de la décision qui a été prise par le conseil des administrateurs du fonds monétaire, pour Dominique qui est un ami, pour le directeur général du Fonds monétaire, qui est le même, et pour le FMI lui même, au milieu de ces tempêtes financières», a déclaré de son côté Lionel Jospin au Grand rendez vous Europe 1/Le Parisien-Aujourd'hui en France.

Et une excellente nouvelle pour le FMI

Même sentiment encore chez Laurent Fabius. «Dominique Strauss-Kahn a été complètement blanchi et je pense que c'est une excellente nouvelle, pour lui bien sûr mais aussi pour tous ceux qui l'apprécient, et d'une façon générale pour son action au FMI», a-til expliqué sur Radio J.

A droite aussi, on se réjouit, moins pour l’homme que pour l’institution dont Nicolas Sarkozy a besoin pour organiser son grand sommet sur la crise financière. «Le fait que cela soit derrière nous est une bonne chose, à la fois pour le FMI et globalement pour la politique et les institutions des pays et du monde», a ainsi affirmé sur France Info, Frédéric Lefebvre, le très zélé porte-parole de l’UMP.


C. L.



si seulement d'autres sujets pouvaient faire que droite et gauche enterrent leurs différends et s unissent com dans cette affaire :D
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Le FMI blanchit Dominique Strauss-Kahn, mais...

Dominique Strauss-Kahn n'a pas commis d'abus de pouvoir dans l'affaire de sa liaison extra-conjugale avec une employée du Fond monétaire international. C'est la conclusion de l'enquête menée par un cabinet d'avocats privé pour le compte du FMI. Le Français reste donc à son poste de directeur général. Le Conseil d'administration de l'institution se contente de pointer du doigt une "grave erreur de jugement" de DSK.

Le doyen du conseil Shakour Shaalan, un Egyptien représentant plusieurs arabes à l'institution,:Dassure que l'organe dirigeant, réuni "dans une ambiance très, très positive" est parvenu à la conclusion que cette affaire "n'affecte en rien l'efficacité" de DSK. "S'il y a une part de confiance qui a été perdue, il la retrouvera très bientôt" même si, reconnaît-il, "certains membres du personnel, surtout des femmes, ne sont pas du tout contents" de l'incident. Dominique Strauss-Kahn a déjà présenté lundi ses excuses au personnel et "je ne crois pas qu'on puisse lui demander d'en faire plus", tranche le doyen du Conseil d'administration. L'affaire est donc close.

Ni harcèlement, ni favoritisme

L'institution, qui est l'un des acteurs de premier plan ces dernières semaines avec l'explosion de la crise financière, avait révélé le 18 octobre l'ouverture d'une enquête sur son directeur, à la suite d'une relation extra-conjugale entre DSK, 59 ans, et une ancienne haute responsable d'origine hongroise du département Afrique du FMI, mariée. L'enquête établit notamment que Dominique Strauss-Kahn et Piroska Nagy, dont le nom n'est cité nulle part mais dont l'identité a été dévoilée la semaine dernière par le Wall Street Journal, ont tous deux "consenti et se sont activement engagés" dans leur liaison.

La jeune femme, dont le mari avait découvert la liaison, a quitté le FMI l'été dernier pour prendre un poste à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD). Les conditions de son départ ont été étudiées à la loupe par les enquêteurs. L'investigation a permis d'établir que cette femme n'avait bénéficié d'aucun traitement de faveur, alors qu'elle participait au programme de départs volontaires mis en place par le Fonds, qui a touché quelque 600 personnes. De quoi conclure, comme l'a fait le conseil d'administration du FMI, qu'"il n'y a pas eu de harcèlement, ni de favoritisme ni aucun autre abus de pouvoir (commis) par le directeur général". Une issue qui soulage les amis de DSK au PS quant à la possibilité de son destin présidentiel.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
DSK, le supplice chinois
Par Michel Richard

À peine blanchi des accusations d'abus de pouvoir et de népotisme qui pesaient sur lui , que croyez-vous que fît Dominique Strauss-Kahn ? Fêter cette décision salvatrice entre amis ou, mieux, avec sa femme qui "l'aime comme au premier jour"? Se féliciter avec ses camarades socialistes d'avoir sauvé ses chances à la prochaine présidentielle française ? Non, avant toute chose, le patron du Fonds monétaire international se crut tenu de s'excuser, une nouvelle fois. Décidément, il le répétait, sa conduite avait été inopportune, une terrible "erreur de jugement" puisque c'est ainsi qu'il appelait son incartade qui n'avait pourtant rien d'intellectuel et les textos brûlants malencontreusement envoyés à celle qui lui a fait tourner la tête. Le personnel du FMI devait en être convaincu : il n'avait rien à craindre dans les couloirs, plus jamais, plus jamais ça n'adviendrait de la part de DSK.

Lequel DSK s'adonna d'ailleurs à un rituel tout droit inspiré de la révolution culturelle sur la place Tienanmen, celui de la confession publique, écriteau autour du cou et carcan en moins. Tel un pécheur repenti, DSK anonna donc ceci : "Le comportement personnel du directeur général est important, il donne le ton au sein de l'institution et je m'engage à l'avenir à adhérer aux normes élevées de comportement qui sont attendues de celui qui occupe cette fonction." DSK prononçant des voeux de moine-soldat ? On en a mal pour lui. Et l'envie de lui dire de se carapater vite fait.


:D
 
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