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[QUOTE="mam80, post: 14306436, member: 228134"] suite et fin Florilège. La Dépakine aurait entraîné 450 malformations congénitales à la naissance entre 2006 et 2014, un chiffre publié par Le Figaro le 18 juin dernier. Autre exemple: «On peut considérer qu'en 2004 l'accumulation des signaux justifiait des mesures d'information à l'attention des prescripteurs et des patients.» Les arguties de l'Igas Le curseur choisi par l'Igas est donc plutôt tardif. Or, quand on lit le rapport dans son intégralité, les inspecteurs notent bien, même s'ils ne le détaillent pas vraiment, le retard à l'allumage des autorités sanitaires françaises. Ainsi page 33: «De la mise sur le marché en 1967 au début des années 2000, les décisions administratives ont consisté en des modifications limitées du résumé des caractéristiques du produit», à savoir la notice réservée aux médecins, le RCP. La mission Igas pointe du doigt la pharmacovigilance. «Le traitement du valproate par les autorités sanitaires interroge (âŠ) l'organisation du système de pharmacovigilance en France», écrivent ainsi les inspecteurs. Or, cette entité chargée d'enregistrer et d'évaluer les effets secondaires des médicaments n'a pas vraiment failli dans l'affaire de la Dépakine, contrairement au Mediator. Là encore, il faut lire plus avant le rapport pour trouver: «À compter de 1988, un certain nombre de cas marquants de pharmacovigilance sont examinés.» Il s'agit de 14 cas de malformations congénitales dont au moins 7 de spina bifida. Et l'Igas d'écrire: «Ces signaux ne sont pas pris en compte dans l'information des prescripteurs et des patients.» Qu'ont donc fait les autorités sanitaires et le laboratoire? L'Igas a trouvé de quoi dédouaner l'Agence de son retard d'information dans le RCP: «Ce contenu paraît fidèle aux préconisations édictées par l'Agence en 1996.» Phénomène ubuesque, ces préconisations ne considèrent pas ces effets indésirables graves sur les fœtus comme une contre-indication! Pas sûr que la justice se satisfasse de ce genre d'arguties. Une enquête préliminaire est ouverte depuis octobre par le parquet de Paris. Les victimes attendent avec impatience la nomination de juges d'instruction. En 2014, plus de 93.000 femmes en âge de procréer prenaient de la Dépakine en France. LA RÉDACTION VOUS CONSEILLE: Dépakine: le scandale continue Dépakine: l'enquête pénale avance [URL]http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/02/23/24659-depakine-letat-veut-fonds-dindemnisation-pour-victimes[/URL] mam [/QUOTE]
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