Le rôle des jeunes dans la préservation du patrimoine gnaoui authentique, était au centre des débats lors d’un colloque organisé samedi à Essaouira dans le cadre de la 2è édition du Festival »Génération Gnaoua des Jeunes ».
Jeter la lumière sur l’art gnaoui authentique et ancestral, tel que légué par les grands Maâlems et donc, et voir comment ce patrimoine peut être transmis fidèlement aux jeunes, tout en les incitant à en assurer la relève et à le protéger, figuraient parmi les objectifs de cette rencontre.
Alliant à la fois aspect culturel, intellectuel et artistique de Gnaoua, le débat a été marqué par la présence d’une pléiade d’artistes, d’intellectuels, de chercheurs, et d’acteurs associatifs du Maroc et d’ailleurs.
Ainsi, pour Pascal Amel, écrivain et directeur d’un studio d’enregistrement musical à Essaouira, qui a longtemps travaillé sur la musique gnaoua, il est nécessaire de marquer la nuance entre le terme »musique gnaouie » qu’on utilise le plus souvent pour rapprocher le public de manière générale et le situer par rapport aux autres genres musicaux, tel le blues, le jazz…, et »l’art gnaoui » ou »Tagnaouite » qui incarne plusieurs dimensions.
»Parler de préservation et de transmission de l’art gnaoua aux générations montantes suppose d’abord de prendre en considération tous ces aspects spirituel, artistique, culturel, rituel et musical de cet art ancestral et authentique », a-t-il insisté, mettant en avant la responsabilité que les jeunes se doivent d’assumer pour faire connaître davantage cet art, le préserver, le pérenniser et surtout d’oeuvrer pour que ce legs ancestral ne soit pas dénaturé ou réduit à de simples démonstrations musicales et de danses.
La 2è édition du festival « Génération Gnaoua des Jeunes », s’est tenue du 18 au 20 juillet à Essaouira, à l’initiative de l’Association « Origines Gnaoua Essaouira », et le concours de l’Association Essaouira-Mogador, ainsi que d’une palette de collaborateurs en de la préservation du patrimoine culturel et de la dynamisation du tourisme culturel dans la cité de Mogador.
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Jeter la lumière sur l’art gnaoui authentique et ancestral, tel que légué par les grands Maâlems et donc, et voir comment ce patrimoine peut être transmis fidèlement aux jeunes, tout en les incitant à en assurer la relève et à le protéger, figuraient parmi les objectifs de cette rencontre.
Alliant à la fois aspect culturel, intellectuel et artistique de Gnaoua, le débat a été marqué par la présence d’une pléiade d’artistes, d’intellectuels, de chercheurs, et d’acteurs associatifs du Maroc et d’ailleurs.
Ainsi, pour Pascal Amel, écrivain et directeur d’un studio d’enregistrement musical à Essaouira, qui a longtemps travaillé sur la musique gnaoua, il est nécessaire de marquer la nuance entre le terme »musique gnaouie » qu’on utilise le plus souvent pour rapprocher le public de manière générale et le situer par rapport aux autres genres musicaux, tel le blues, le jazz…, et »l’art gnaoui » ou »Tagnaouite » qui incarne plusieurs dimensions.
»Parler de préservation et de transmission de l’art gnaoua aux générations montantes suppose d’abord de prendre en considération tous ces aspects spirituel, artistique, culturel, rituel et musical de cet art ancestral et authentique », a-t-il insisté, mettant en avant la responsabilité que les jeunes se doivent d’assumer pour faire connaître davantage cet art, le préserver, le pérenniser et surtout d’oeuvrer pour que ce legs ancestral ne soit pas dénaturé ou réduit à de simples démonstrations musicales et de danses.
La 2è édition du festival « Génération Gnaoua des Jeunes », s’est tenue du 18 au 20 juillet à Essaouira, à l’initiative de l’Association « Origines Gnaoua Essaouira », et le concours de l’Association Essaouira-Mogador, ainsi que d’une palette de collaborateurs en de la préservation du patrimoine culturel et de la dynamisation du tourisme culturel dans la cité de Mogador.
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