Et si l'on pouvait tout recommencer ?

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Aderrbal

Aime et fais ce que tu veux
Azul, Salam et bounjour

On oublie Adam Smith, Morgan Friedmann et leur systeme socio-economique, comment il fait functionne notre monde d aujourd hui.. il suffit de regarder le resultat et les faits et etant donne que la justice d un systeme doit etre appreciee d apres la maniere dont on remunere equitablement; l exploitation de l'homme par l homme, la violence, la guerre, l argent et donc la dette, la religion etc...ont de beaux jours devant eux.

J aimerais plutot qu on immagine avoir decouvert une nouvelle planete, vu qu on ne peut pas revenier en arriere.. disons avec les memes ressources d il y a 200 ans sur terre, et le meme savoir qu on a ccumule jusqu haujourd hui. Un monde de theorie ou tout devrait se passer bien, en theorie!

Il faudrait que les humains eux-memes changent profondement et refusent d se remettre a des abstractions collectives, viser une amelioration constante a long terme plutot quune perfection statique a court terme etc..

Est ce que c'est faisable selon vous? un monde ou chacun assume ses choix mais accepte la diversite et voit l aventure humaine avec optimisme... Une societe planetaire parfaite?
 
Azul, Salam et bounjour

On oublie Adam Smith, Morgan Friedmann et leur systeme socio-economique, comment il fait functionne notre monde d aujourd hui.. il suffit de regarder le resultat et les faits et etant donne que la justice d un systeme doit etre appreciee d apres la maniere dont on remunere equitablement; l exploitation de l'homme par l homme, la violence, la guerre, l argent et donc la dette, la religion etc...ont de beaux jours devant eux.

J aimerais plutot qu on immagine avoir decouvert une nouvelle planete, vu qu on ne peut pas revenier en arriere.. disons avec les memes ressources d il y a 200 ans sur terre, et le meme savoir qu on a ccumule jusqu haujourd hui. Un monde de theorie ou tout devrait se passer bien, en theorie!

Il faudrait que les humains eux-memes changent profondement et refusent d se remettre a des abstractions collectives, viser une amelioration constante a long terme plutot quune perfection statique a court terme etc..

Est ce que c'est faisable selon vous? un monde ou chacun assume ses choix mais accepte la diversite et voit l aventure humaine avec optimisme... Une societe planetaire parfaite?
L'homme est et sera toujours cupide et avide de pouvoir (c'est un peu la même chose mais bref :bizarre:) donc à mes yeux, non ce n'est pas faisable. :cool:
 
Azul, Salam et bounjour

On oublie Adam Smith, Morgan Friedmann et leur systeme socio-economique, comment il fait functionne notre monde d aujourd hui.. il suffit de regarder le resultat et les faits et etant donne que la justice d un systeme doit etre appreciee d apres la maniere dont on remunere equitablement; l exploitation de l'homme par l homme, la violence, la guerre, l argent et donc la dette, la religion etc...ont de beaux jours devant eux.

J aimerais plutot qu on immagine avoir decouvert une nouvelle planete, vu qu on ne peut pas revenier en arriere.. disons avec les memes ressources d il y a 200 ans sur terre, et le meme savoir qu on a ccumule jusqu haujourd hui. Un monde de theorie ou tout devrait se passer bien, en theorie!

Il faudrait que les humains eux-memes changent profondement et refusent d se remettre a des abstractions collectives, viser une amelioration constante a long terme plutot quune perfection statique a court terme etc..

Est ce que c'est faisable selon vous? un monde ou chacun assume ses choix mais accepte la diversite et voit l aventure humaine avec optimisme... Une societe planetaire parfaite?

L'homme est un loup pour l'homme => HOBS
je n'y croyais pas mais avec l'age j'ai compris lool
 
L'homme est et sera toujours cupide et avide de pouvoir (c'est un peu la même chose mais bref :bizarre:) donc à mes yeux, non ce n'est pas faisable. :cool:
L'homme est un loup pour l'homme => HOBS
je n'y croyais pas mais avec l'age j'ai compris lool
Ce sont des qualites relatives a l homme en societe, et non e lhomme solitaire.
Petit mix entre Morgan Freeman et Milton Friedman non ?

http://fr.m.wikipedia.org/wiki/Milton_Friedman
Ricardo et Von heyek.. bref tous les theories sur lequelles le marche et le system monetaire actuel reposent...OUBLIES
PS: j ai commence a fumer trop tot ajourd hui
 
'
Ce sont des qualites relatives a l homme en societe, et non e lhomme solitaire.

Ricardo et Von heyek.. bref tous les theories sur lequelles le marche et le system monetaire actuel reposent...OUBLIES
PS: j ai commence a fumer trop tot ajourd hui

En revanche. Je trouve ton texte pas très clair.
Je ne vois oas vraiment où tu veux en venir quand tu parles d'abstractions collectives... Il faudrait préciser un peu surtout quand on revient aux fondements du libéralisme.
 
Vazy Adams smith tu rend ouf lool il a dit plus de macro economie lool
Non mais s'il part du posulat que l'économie liberale au sens moderne du terme ( si l'on revient aux fondements du mouvement, le libéralisme a un sens bien différent d'ailleurs on devrait plutôt parler du néo-liberalisme et autres mouvements qui en découlent si l'on voulait être rigoureux) est responsable de certains maux et qu'on devait en oublier les conséquences. Il faut tout d'abord définir ces conséquences et le modèle si socio-économique qui en découle.

Le sujet m'intéresse et je veux bien en débattre mais je demande juste des précisions pour être certaine qu'on parle de la même chose.
 
Non mais s'il part du posulat que l'économie liberale au sens moderne du terme ( si l'on revient aux fondements du mouvement, le libéralisme a un sens bien différent d'ailleurs on devrait plutôt parler du néo-liberalisme et autres mouvements qui en découlent si l'on voulait être rigoureux) est responsable de certains maux et qu'on devait en oublier les conséquences. Il faut tout d'abord définir ces conséquences et le modèle si socio-économique qui en découle.

Le sujet m'intéresse et je veux bien en débattre mais je demande juste des précisions pour être certaine qu'on parle de la même chose.

je suis d'accord avec toi car on parle plus des fonctions régaliennes du libéralisme enfin bref j'ai pas envie de parler d'economie lool j'ai pas envie d'etre serieu lol
 
je suis d'accord avec toi car on parle plus des fonctions régaliennes du libéralisme enfin bref j'ai pas envie de parler d'economie lool j'ai pas envie d'etre serieu lol
Oui, le contexte était différent à l'époque de l'élaboration des thèses libéralistes. Il faut aussi prendre cette dimension en compte. ;)

J'attends le retour du posteur alors.
 
Non mais s'il part du posulat que l'économie liberale au sens moderne du terme ( si l'on revient aux fondements du mouvement, le libéralisme a un sens bien différent d'ailleurs on devrait plutôt parler du néo-liberalisme et autres mouvements qui en découlent si l'on voulait être rigoureux) est responsable de certains maux et qu'on devait en oublier les conséquences. Il faut tout d'abord définir ces conséquences et le modèle si socio-économique qui en découle.

Le sujet m'intéresse et je veux bien en débattre mais je demande juste des précisions pour être certaine qu'on parle de la même chose.
Je parle d un monde ou il n y a pas d argent, ou on produit apres le besoin.. mais oublions l economie ma question est liee a l homme lui meme et non au system (determine par l homme)
 
Je parle d un monde ou il n y a pas d argent, ou on produit apres le besoin.. mais oublions l economie ma question est lie a l homme lui meme et non le system adopte
C'est déjà un peu plus clair.

Mais ta question, pose la question de la cupidité intrinsèque ou non de l'homme
Zn fait, je pense que le postulat de base est incorrevt. Ce n'est pas l'argent ou tout autre matérialisation de la richesse qui pervertit l'homme à mon sens.
C'est le rappirt de l'homme à l'autre qui est déjà perverti. L'argent ne fait rien en tant que matériel inanimé si l'on en revient au principe fondateur de l'action.

Et là, on pourrait parler des différentes thèses qui abordent la question de la dichotomie nature/société en philosophie.

Je pense que c'est même le coeur de ton sujet en fait.
 
C'est déjà un peu plus clair.

Mais ta question, pose la question de la cupidité intrinsèque ou non de l'homme
Zn fait, je pense que le postulat de base est incorrevt. Ce n'est pas l'argent ou tout autre matérialisation de la richesse qui pervertit l'homme à mon sens.
C'est le rappirt de l'homme à l'autre qui est déjà perverti. L'argent ne fait rien en tant que matériel inanimé si l'on en revient au principe fondateur de l'action.

Et là, on pourrait parler des différentes thèses qui abordent la question de la dichotomie nature/société en philosophie.

Je pense que c'est même le coeur de ton sujet en fait.

L argent, et la religion ne sont, entre autres, que les instruments de cette et pervetion et cupibite. C est ce que j ai essaye de preciser comme introduction.. mais le francais n est pas ma force, en plus apres avoir fume c est pas evident...


Bref maintent que tout est clair, alors est ce que c est faisable, mon monde? :D
 
L argent, la religion ne sont, entre autres, que les instruments de cette et pervetion et cupibite. C est ce que j ai essaye de preciser comme introduction.. mais le francais n est pas ma force, en plus apres avoir fume c est pas evident...


Bref maintent que tout est clair, alors est ce que c est faisable, mon monde? :D
Pas de soucis, ma remarque n'était pas méchante mais j'aime être certaine que je parle de la même chose dans ce genre de débats ^^.
Et je te repondais que pour dire si c'est faisable ou non, il faudrait déjà définir ce qui appartient à la nature intrinsèque de l'homme et ce qui est contingent aux normes sociales en vigueur.

Question plus que difficile en fait et je pense que l'histoire nous a montré que l'homme du fait de son orgueil est toujours prompt à pervertir le système dans lequel il évolue et peu importe le dit système.

Tu remarqueras que c'est la société, la religion et les institutions qui suivent nous inculquent ces valeurs de solidarité...
 
Ce sont des qualites relatives a l homme en societe, et non e lhomme solitaire.

Ricardo et Von heyek.. bref tous les theories sur lequelles le marche et le system monetaire actuel reposent...OUBLIES
PS: j ai commence a fumer trop tot ajourd hui
Tu veux parler de la manière dont est produite la monnaie ou d’autre chose ?
 
Non mais s'il part du posulat que l'économie liberale au sens moderne du terme ( si l'on revient aux fondements du mouvement, le libéralisme a un sens bien différent d'ailleurs on devrait plutôt parler du néo-liberalisme et autres mouvements qui en découlent si l'on voulait être rigoureux) est responsable de certains maux et qu'on devait en oublier les conséquences. Il faut tout d'abord définir ces conséquences et le modèle si socio-économique qui en découle.
Ça tombe bien. Peut‑être que j’aurai une réponse avec toi : c’est quoi néo‑libéral ? Et quels sont les différences entre ses fondements historiques et son sens moderne ?

Le sujet m'intéresse et je veux bien en débattre mais je demande juste des précisions pour être certaine qu'on parle de la même chose.
Moi aussi, ça m’intéresse, mais je vais attendre de lire ce qui se dit avant de me risquer à réagir.
 
C'est déjà un peu plus clair.

Mais ta question, pose la question de la cupidité intrinsèque ou non de l'homme
Zn fait, je pense que le postulat de base est incorrevt. Ce n'est pas l'argent ou tout autre matérialisation de la richesse qui pervertit l'homme à mon sens.
C'est le rappirt de l'homme à l'autre qui est déjà perverti. L'argent ne fait rien en tant que matériel inanimé si l'on en revient au principe fondateur de l'action.

Et là, on pourrait parler des différentes thèses qui abordent la question de la dichotomie nature/société en philosophie.

Je pense que c'est même le coeur de ton sujet en fait.
Un bol d’air à lire :love:.
 
Pas de soucis, ma remarque n'était pas méchante mais j'aime être certaine que je parle de la même chose dans ce genre de débats ^^.
Et je te repondais que pour dire si c'est faisable ou non, il faudrait déjà définir ce qui appartient à la nature intrinsèque de l'homme et ce qui est contingent aux normes sociales en vigueur.

Question plus que difficile en fait et je pense que l'histoire nous a montré que l'homme du fait de son orgueil est toujours prompt à pervertir le système dans lequel il évolue et peu importe le dit système.

Tu remarqueras que c'est la société, la religion et les institutions qui suivent nous inculquent ces valeurs de solidarité...
Je dirais que c’est plus par opportunisme que par orgueil. Tu le vois comment l’orgueil ici ? Vouloir avoir plus que les autres ? Si c’est ça, alors oui, mais je ne sais pas si c’est de l’orgueil, ça peut être pour se rassurer.
 
Azul, Salam et bounjour

On oublie Adam Smith, Morgan Friedmann et leur systeme socio-economique, comment il fait functionne notre monde d aujourd hui.. il suffit de regarder le resultat et les faits et etant donne que la justice d un systeme doit etre appreciee d apres la maniere dont on remunere equitablement; l exploitation de l'homme par l homme, la violence, la guerre, l argent et donc la dette, la religion etc...ont de beaux jours devant eux.

J aimerais plutot qu on immagine avoir decouvert une nouvelle planete, vu qu on ne peut pas revenier en arriere.. disons avec les memes ressources d il y a 200 ans sur terre, et le meme savoir qu on a ccumule jusqu haujourd hui. Un monde de theorie ou tout devrait se passer bien, en theorie!

Il faudrait que les humains eux-memes changent profondement et refusent d se remettre a des abstractions collectives, viser une amelioration constante a long terme plutot quune perfection statique a court terme etc..

Est ce que c'est faisable selon vous? un monde ou chacun assume ses choix mais accepte la diversite et voit l aventure humaine avec optimisme... Une societe planetaire parfaite?
la vie serait très très ennuyeuse :-) un peu genre le village dans les nuages :-)
 
la vie serait très très ennuyeuse :) un peu genre le village dans les nuages :)
Finalement quelqu un a touche la ou ca fait mal lol

lorsque l ame perd son ressort par la mollesse, l incrédulité et les vices qui suivent l exces de la civilisation, elle ne peut etre retrempee que dans le sang.
 
Ça tombe bien. Peut‑être que j’aurai une réponse avec toi : c’est quoi néo‑libéral ? Et quels sont les différences entre ses fondements historiques et son sens moderne ?


Moi aussi, ça m’intéresse, mais je vais attendre de lire ce qui se dit avant de me risquer à réagir.
Alors attends, je ne suis pas sur ordinateur et j'ai envie de taper correctement...
Je reviens ce soir avec un ordi ;).

Mais oui, le libéralisme au sens premier du terme est différent du sens et de la connotation négative qu'on lui attribje aujourd'hui.

Il faut se rappeler de l'époque et du contexte de naissance de ce mouvement.
 
Je dirais que c’est plus par opportunisme que par orgueil. Tu le vois comment l’orgueil ici ? Vouloir avoir plus que les autres ? Si c’est ça, alors oui, mais je ne sais pas si c’est de l’orgueil, ça peut être pour se rassurer.
C'est bien ça, vouloir plus que le voisin...

Et vouloir dominer l'autre... Et ce peu importe la manière de négocier les biens.. Il suffit pour cela de remonter dans l'histoire.

A mon sens, il veut se rassurer mais aussi rassurer son voisin.

Je pense qu'il serait intéressant de faire le lien entre l'accumulation des biens et le rapport à la mort.

En effet, s'enrichir c'est aussi un moyen de défier la mort dans. Le sens où tu acquières des richesses qui te permettent de conserver un patrimoine à titre posthume.
 
La banque n’implique pas le crédit. Il y a des banques qui ne sont même pas du tout de crédit.
Je ne voulais pas parler de ca mais:
Autrefois: l argent en circulation est representative de biens, de valeur ou de creances
Aujourd hui: c est un credit sur simple demande (une promesse de l etat de rembourser) dont 99% se trouve sur des servers! c est l emission d une dette echangeable, le tout couronne par un taux de credit :)
La Federal reserve, l institut d emission des Etats-Unis par exemple n appartient PAS a l etat, c est un cartel de banques qui detient un pouvoir immense qui s appele: le taux des fonds et les bonds de tresor

...Donc on revient a ma conclusion: l homme est violent, assoife de pouvoir, materialiste...
Est ce que c est sa nature? qu estc e qu il faut changer?
 
Dernière édition:
@Hibou57

En attendant de développer, je viens de retrouver cet article qu'on avait étudié en prépa pendant l'étude des différents courants économiques.

http://www.monde-diplomatique.fr/1998/03/BOURDIEU/3609
@Hibou57

Pour répondre à ta question...

Le .libéralisme au sens premier DJ terme, était étendu à trois dimensions , politique, économique et culturel.
C'était en réponse à la monarchie absolue et la toute puissance de l'État dans l'économie.
Il est donc à mon sens, dans son acception première une bonne chose pour les citoyens.

Toutefois, très vite on a assisté à une dichotomie entre les trois dimensions et certaines ont pris le pas sur d'autres.
Ainsi, le libéralisme est devenu par extension libéralisme économique pour le commun des mortels

Encore une fois, dans son sens premier, on ne voulait pas forcément promouvoir une société hyper concurrentielle.


Ce n'est vraiment qu'avec la résurgence du libéralisme, après une période plus keynésienne, qu'on a assisté à cette radicalisation du libéralisme. On voulait faire disparaître toute intervention de l'État. Je pense notamment aux vagues de dérégulation dans les années 70, puis 80...

Mais selon moi, là où la majorité des gens font une erreur en diabolisant le libéralisme c'est qu'ils ne sont focalisés que sur la frange plus extrémiste de ce courant.

Keynes par exemple se réclamait être un libéral mais d'une manière différente...

PS: désolée pour le roman ;).
 
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