Expositions / événements

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Si vous avez une exposition, un événement, conférence sur l'Islam n'hésitez pas à partager.

Je commence:



Trésors de l’islam en Afrique De Tombouctou à Zanzibar

14 avril 2017 - 30 juillet 2017


De Dakar à Zanzibar, de Tombouctou à Harar, l’Institut du monde arabe met à l’honneur des sociétés fortes de treize siècles d’échanges culturels et spirituels avec le Maghreb et le Moyen- Orient. Archéologie, architecture, patrimoine immatériel, art contemporain... : une première qui réunit sur 1 100 m2 près de 300 œuvres multidisciplinaires pour témoigner de la richesse artistique et culturelle de la pratique de l’islam en Afrique subsaharienne.

Le premier temps du parcours entraîne le visiteur à travers les âges. Car l’islam se diffuse en Afrique subsaharienne dès le VIIIe siècle. Le Sahara devient un espace important d’échanges et de circulation. Grâce à des réseaux commerciaux et de communication, se dessinent trois espaces distincts à l’histoire et aux formes artistiques communes : la Corne de l’Afrique et la vallée du Nil, l’aire swahilie, et l’Afrique de l’Ouest.....


https://www.imarabe.org/fr/expositions/tresors-de-l-islam-en-afrique
 
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L’Islam, c’est aussi notre Histoire !

Dans un contexte de relations tendues envers l’Islam en Europe, L’Islam, c’est aussi notre histoire ! est avant tout citoyenne. Retenue comme un des projets majeurs culturels européens, cette exposition, itinérante, s’attache à faciliter la compréhension de l’Autre et des fondements de sa civilisation. Dans une actualité où la peur est l’ennemi du vivre ensemble, celle-ci met en avant la connaissance et la compréhension qui seules permettent la rencontre.


L’exposition s’intéresse aux liens très forts entre les deux civilisations : l'Islam et l'Europe tels qu’ils se sont tissés depuis près de 12 siècles sur notre continent. Si le contenu est complexe, l'objectif est simple mais ambitieux : montrer aux Européens que l'Islam, c'est aussi leur histoire !

L’exposition se structure autour d’un message principal : la présence musulmane en Europe est aussi ancienne que l’Islam lui-même. Tout en rappelant que les civilisations européenne et musulmane sont bien issues d’un tronc spirituel et intellectuel commun (l’héritage abrahamique), l’exposition montre que leurs relations, pour conflictuelles qu’elles aient été, se sont influencées l’une l’autre et enrichies mutuellement. Il s’agit bien d’une histoire partagée, mêlant à chaque époque un versant lumineux (la rencontre, la création artistique, les influences réciproques) et un versant sombre (les conflits, la frontière, l’intégration difficile).

Le parcours s’articule en quatre temps et trois héritages, soit les traces visibles aujourd’hui de ce que cette rencontre a produit : l’héritage arabe, légué par l’Europe médiévale ; l’héritage ottoman ; l’héritage colonial, l’Europe et les musulmans aujourd’hui.

Résolument actuelle et tout public, la scénographie invite à une expérience intellectuelle et émotionnelle complète combinant objets de musée et du quotidien, œuvres d’art anciennes et contemporaines, multimédia, décors, musique et installations scénographiques.

Infos :

Lieu : Espace Vanderborght, Rue de l'Ecuyer 50 à 1000 Bruxelles
Dates : 15 septembre 2017 - 28 janvier 2018
Langues : FR, NL, EN

http://tempora-expo.be/lislam-cest-aussi-notre-histoire/
 
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Dimanche 5 novembre 2017 à 14h00 à Saint-Denis : "La Palestine après Balfour 1917-2017 100 ans de colonialisme / 100 ans de résistance"

Nous appelons toutes les personnes éprises de justice à se joindre à nous le dimanche 5 novembre 2017 à 14h00 à Saint-Denis pour dénoncer le centenaire d’une Déclaration coloniale injuste à l’origine d’un siècle sanglant qui a arraché la Palestine du monde arabe dans le cadre du découpage du Proche-Orient.
Premiers signataires : ATTAC, ATMF, BDS, Ensemble !, FTCR, FUIQP, MJCF Bobigny/ Drancy, MJCF 94, NPA, PIR, UJFP.

Le 2 novembre 1917 alors que la première guerre mondiale entre dans sa dernière année et que l’empire ottoman est en pleine déliquescence, la déclaration Balfour est adoptée par le gouvernement britannique. Celle-ci adressée à Lord Rothschild par le ministre britannique Balfour, antisémite notoire, s’avère totalement illégale au regard du droit international.

Cette déclaration de soutien au mouvement sioniste alors ultra minoritaire parmi les communautés juives voit le Royaume Uni promettre une terre qui ne lui appartient pas à un personnage Lord Rothschild qui ne représente que lui-même. En confortant ainsi le mouvement sioniste, la Couronne britannique vise un objectif en particulier : le contrôle du Proche-orient et du canal de Suez. Un an plus tôt, Londres et Paris avaient en effet négocié le dépeçage de la région via les accords Sykes-Picot qui définissaient les lignes de partage pour chaque puissance coloniale. Cette déclaration constitue l’un des volets de la main mise occidentale sur la région.
En préconisant l’établissement d’ « un foyer national juif » en Palestine au mépris du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, cette promesse non seulement bafoue grossièrement le droit du peuple palestinien à l’autodétermination et sonne aussi comme la fin du rêve d’un monde arabe uni et indépendant. Le peuple palestinien tout au long de son histoire contemporaine et déjà sous le mandat britannique a toujours considéré le 2 novembre comme un jour de deuil national.

Aujourd’hui, un siècle plus tard, le Royaume-Uni, les États-Unis, Israël et sans doute aussi la France s’apprêtent cyniquement à célébrer le centenaire d’une déclaration qui représente pour l’Occident la marque de son œuvre coloniale dans la région arabe et pour le peuple palestinien la première étape de sa dépossession. C’est dans ce cadre que nous tenons à porter depuis Paris une voix forte. Une voix qui dénonce ces lugubres festivités et qui remet la lumière sur un siècle de colonisation et de destruction de l’Orient arabe dont les conséquences ne finissent pas de se faire sentir. Une voix qui tiendra à re-faire récit, à redéfinir les termes du débat en rétablissant pleinement la dimension coloniale du conflit......

http://www.ujfp.org/spip.php?article5867
 
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4e Rencontre annuelle des musulmans de Nouvelle Aquitaine

Infos pratiques
le Samedi 4 Novembre 2017, 13:00 - 20:00
1, avenue de la République
87170 Isle
Site web : https://www.facebook.com/ami87170
Tel : 06 35 17 94 03


Thématique : VIVRE SA FOI EN FRANCE

Le monde d’aujourd’hui est caractérisé par l’incertitude et le provisoire. Nous enchaînons les crises : crise financière, crise morale, crise humaine, crise d’identité et autres. Les normes et les valeurs ont été ébranlées, pour laisser place à l’individualisme. Par conséquent, on observe une perte des repères de l’homme moderne, l’affaiblissement du lien social et le déclin de la vie publique. Le croyant est mis à l’épreuve en permanence, il se cherche entre le permis et le défendu, le possible et l’impossible, le normal et le pathologique. Il jongle entre la culpabilité, la responsabilité et le sentiment d’agir pour le changement.
Comment un Homme de foi doit-il donc voir le monde lorsqu’il se trouve dans un climat de «fatigue d’être soi », un climat de désespoir, de peur, de tristesse et d’inhibition ? Comment s’épanouir spirituellement lorsque le principe de doute a contaminé tous les champs du savoir ? Quels sont les leitmotive du croyant pour vivre en adéquation avec son temps ?
Ces questions sont cruciales et nécessaires pour entamer toute réflexion sur la théologie, la manière de pratiquer sa foi. Il faut chercher à vivre une foi éclairée et non pas mécanique. De ce fait, comment vivre sa foi dans une société multi-ethnique et multiculturelle ? Quelles sont les priorités ? Comment vivre sa foi dans sa famille et avec les autres ? Foi et comportement sont-ils liés ? Peut-on allier foi et citoyenneté ?
Pour répondre à toutes ces questions et bien d’autres, nous organisons la 4e Rencontre annuelle des musulmans de Nouvelle Aquitaine (RAMNA).
Ensemble, faisons de cette journée du samedi 4 novembre à Isle en Haute-Vienne un moment de partage et de connaissances de soi et des autres pour cultiver son intelligence émotionnelle, et apprendre à vivre pleinement sa foi.

http://www.saphirnews.com/agenda/4e...musulmans-de-Nouvelle-Aquitaine_ae526649.html
 
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« Il était trois fois... »


Parfois perçues comme des ferments de division au sein de la société, les religions peuvent aussi être envisagées, à l'inverse, comme des facteurs d'union et de concorde. Étymologiquement, une « religion » n'est-elle pas ce qui relie ? Pour autant, cette promesse peut-elle s'exercer au sein d'une communauté plurielle, composée d'hommes et de femmes qui ne partagent pas tous la même croyance ? Cette interrogation traverse l'audacieuse exposition qui vient d'ouvrir au Musée national de l'histoire de l'immigration (1).

« La question des identités religieuses est l'une des plus sensibles du XXIe siècle : à chacun son Dieu, ses écritures, ses saints, croit-on. Pourtant, depuis leurs origines, les trois monothéismes partagent des croyances, des valeurs, des rites, des figures tutélaires et des sanctuaires », explique l'anthropologue Dionigi Albera, à l'origine de cette exposition avec Manoël Pénicaud, un autre chercheur du CNRS.

Sans céder à une vision irénique ni gommer les dissensions entre les cultes, les deux hommes insistent sur les points de convergence existant entre les trois grandes traditions que constituent le judaïsme, le christianisme et l'islam. Une démarche qui vise à « dépasser les stéréotypes dans lesquels on enferme le réel, à rétablir certains faits et à présenter un récit fondé scientifiquement », commente l'historien Benjamin Stora, président du Conseil d'orientation de l'établissement.

La possibilité d'un dialogue
Malgré les disputes théologiques, les circulations des populations d'une rive à l'autre de la Méditerranée ont favorisé l'essor de lieux saints communs. C'est à l'évocation de ces sites qui forment le socle d'un patrimoine partagé que s'attache l'itinéraire de l'exposition. Le voyage débute en Israël et dans les territoires palestiniens que les croyants, soucieux de surmonter les déchirures qui traversent ces entités géographiques, ont surnommé « Terre sainte ».
Le point de départ de cette exposition étonnante est une salle circulaire où des « châsses » posées sur des autels renferment des objets de culte évoquant les principales religions de la planète. L'une d'entre elles est vide. « Pour évoquer les athées », sourit Dionigi Albera. Suit un périple en forme de chemin initiatique. De Jérusalem à Haïfa, en passant par Bethléem, Dionigi Albera et Manoël Pénicaud nous font découvrir les lieux investis par les trois spiritualités sous un prisme nouveau. On y apprend que le tombeau des patriarches d'Hébron jouxte un chêne millénaire où les trois traditions placent un événement fondateur commun : celui de la visitation d'Abraham par trois personnages, présentés comme des anges.
« Cet épisode fondamental de la Torah, de la Bible et du Coran insiste sur la générosité et l'hospitalité d'Abraham puisque celui-ci accueille dans sa tente ces trois étrangers dont il ne sait rien », évoque Manoël Pénicaud. Le voyage se poursuit dans la grotte d'Élie, au pied du mont Carmel à Haïfa. « Dans cette ville multiculturelle où coexistent des populations juives, musulmanes et druzes, des pèlerins de toutes les confessions viennent prier au même endroit sans que cela pose de problème », s'enthousiasme Dionigi Albera.

Une promesse réconfortante de paix
Constituée d'objets illustrant les pratiques religieuses des cultes évoqués, photographies et reportages, l'exposition nous offre l'occasion de pointer les similitudes qui démontrent que les guerres de religion ne sont pas une fatalité. Ce faisant, elle laisse entendre qu'une coexistence pacifique est possible. « Notre exposition est une modeste contribution à la nécessité d'un débat public apaisé et aux interrogations que le retour du religieux a soulevées dans le grand public », émet Hélène Orain, directrice générale du musée d'accueil.

« Il était trois fois... », Musée national de l'histoire de l'immigration. Palais de la porte dorée. 293, avenue Daumesnil, Paris 12e. Du mardi au dimanche. Jusqu'au 21 janvier 2018. Tarif: 6 euros. Gratuit pour les moins de 26 ans.


Lepoint
 
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Dimanche 5 novembre 2017 à 14h00 à Saint-Denis : "La Palestine après Balfour 1917-2017 100 ans de colonialisme / 100 ans de résistance"

Nous appelons toutes les personnes éprises de justice à se joindre à nous le dimanche 5 novembre 2017 à 14h00 à Saint-Denis pour dénoncer le centenaire d’une Déclaration coloniale injuste à l’origine d’un siècle sanglant qui a arraché la Palestine du monde arabe dans le cadre du découpage du Proche-Orient.
Premiers signataires : ATTAC, ATMF, BDS, Ensemble !, FTCR, FUIQP, MJCF Bobigny/ Drancy, MJCF 94, NPA, PIR, UJFP.

Le 2 novembre 1917 alors que la première guerre mondiale entre dans sa dernière année et que l’empire ottoman est en pleine déliquescence, la déclaration Balfour est adoptée par le gouvernement britannique. Celle-ci adressée à Lord Rothschild par le ministre britannique Balfour, antisémite notoire, s’avère totalement illégale au regard du droit international.

Cette déclaration de soutien au mouvement sioniste alors ultra minoritaire parmi les communautés juives voit le Royaume Uni promettre une terre qui ne lui appartient pas à un personnage Lord Rothschild qui ne représente que lui-même. En confortant ainsi le mouvement sioniste, la Couronne britannique vise un objectif en particulier : le contrôle du Proche-orient et du canal de Suez. Un an plus tôt, Londres et Paris avaient en effet négocié le dépeçage de la région via les accords Sykes-Picot qui définissaient les lignes de partage pour chaque puissance coloniale. Cette déclaration constitue l’un des volets de la main mise occidentale sur la région.
En préconisant l’établissement d’ « un foyer national juif » en Palestine au mépris du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, cette promesse non seulement bafoue grossièrement le droit du peuple palestinien à l’autodétermination et sonne aussi comme la fin du rêve d’un monde arabe uni et indépendant. Le peuple palestinien tout au long de son histoire contemporaine et déjà sous le mandat britannique a toujours considéré le 2 novembre comme un jour de deuil national.

Aujourd’hui, un siècle plus tard, le Royaume-Uni, les États-Unis, Israël et sans doute aussi la France s’apprêtent cyniquement à célébrer le centenaire d’une déclaration qui représente pour l’Occident la marque de son œuvre coloniale dans la région arabe et pour le peuple palestinien la première étape de sa dépossession. C’est dans ce cadre que nous tenons à porter depuis Paris une voix forte. Une voix qui dénonce ces lugubres festivités et qui remet la lumière sur un siècle de colonisation et de destruction de l’Orient arabe dont les conséquences ne finissent pas de se faire sentir. Une voix qui tiendra à re-faire récit, à redéfinir les termes du débat en rétablissant pleinement la dimension coloniale du conflit......

http://www.ujfp.org/spip.php?article5867
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Dimanche 5 novembre 2017 à 14h00 à Saint-Denis : "La Palestine après Balfour 1917-2017 100 ans de colonialisme / 100 ans de résistance"

ATTENTION : CHANGEMENT DE LIEU DE CETTE RÉUNION. TOUJOURS À SAINT-DENIS MAIS SALLE DE LA LÉGION D’HONNEUR !!

 
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Regards et relations entre musulmans et non musulmans : entre tensions et ajustements réciproques

Description

Dans le cadre de l'exposition "L'Islam, c'est aussi notre Histoire! L'Europe et ses héritages musulmans" qui se tient en ce moment à l'Espace Vanderborght à Bruxelles et jusqu'au 21/01/18, nous vous invitons le jeudi 30 novembre à 19h30 à une conférence donnée par le Professeur Brigitte Maréchal.
Cette présentation vise à faire le point sur les nœuds qui se situent au cœur des regards et relations entre musulmans et non musulmans en Belgique : les points de crispations et leurs origines.

Depuis plus de 10 ans, le CISMOC a mené trois recherches, soutenues par la Fondation Roi Baudouin, qui ont donné lieu à des publications : Relations et co-inclusions – islam en Belgique (L’Harmattan, 2006) ; Regards et relations entre musulmans et non musulmans : entre tensions et ajustements réciproques (Fondation Roi Baudouin, 2014), Musulmans et non musulmans en Belgique : des pratiques prometteuses favorisent le vivre ensemble (Fondation Roi Baudouin, 2015).
Nous en établissons ici une brève synthèse, tout en tenant compte de l’actualité la plus récente.
_______________
La Prof. B. Maréchal est sociologue et islamologue. Elle dirige le CISMOC-CISMODOC (Centre de recherches et Centre de documentation sur l’islam contemporain) et assure à l’UCL des cours tels ceux intitulés « socio-anthropologie de l’islam contemporain » et « sociologie de la religion ». Ses recherches portent sur l’islam belge et européen, et notamment sur le courant des Frères musulmans en Europe, les regards et relations entre musulmans et non musulmans. Pour l’instant, elle travaille notamment sur un ouvrage collectif relatif aux mises en scène de l’islam sur Internet.

Date et heure
jeu. 30 novembre 2017
19:30 – 21:30 heure : Belgique

Adresse
Rue de l'Ecuyer 50
50 Rue de l'Ecuyer
1000 Bruxelles

Gratuit, plus d'infos et inscription dans le lien:

https://www.eventbrite.fr/e/billets...mans-et-non-musulmans-en-belgique-39256693828


 
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Conférence : Traces, l’héritage esthétique musulman dans l’art chrétien français – 3 Mars 2017

Date de l'évènement : du 03-03-2017 au 03-03-2017
Lieu : Nantes / Entrée gratuite

Plus de cinq siècles de confrontations et d’échanges entre le monde chrétien et le monde musulman ne peuvent que laisser des traces, en particulier esthétiques.
Ces traces, très souvent occultées pour de multiples raisons, on peut les découvrir dans l’architecture, les ornements, les sculptures, les arabesques et les entrelacs des églises, mais également dans les objets usuels, les vêtements, les instruments de musique, etc.

Cette conférence mettra en valeur par la parole et l’image les causes de ces traces, leur importance et leur beauté. Car la beauté peut aider à la compréhension des diversités ainsi que de la profonde unité de l’espèce humaine.
Ancien élève de l’Ecole du Louvre, Docteur en Lettres et Civilisations, écrivain, photographe et historien d’art, Georges A. Bertrand a longtemps été chargé de mission culturelle au Maghreb (Algérie) ainsi qu’au Proche et Moyen-Orient (Koweït, Palestine et Egypte), avant de se consacrer aux relations esthétiques et linguistiques entre les mondes arabo-musulman et occidental, principalement au cours du Moyen-Âge européen.

Il a publié, entre autres, un dictionnaire étymologique des mots français venant de l’arabe, du turc et du persan, aux Editions l’Harmattan (2007), ainsi que TRACES, mémoires musulmanes en coeur de France, aux Editions CHAMAN (2009), consacré aux traces esthétiques arabo-musulmanes dans les édifices chrétiens français.
Par l’intermédiaire de photographies et de dessins, Georges A. Bertrand vous proposera un regard différent sur l’architecture sacrée, essentiellement celle du centre de la France. Cinq cents années de confrontations, mais également de dialogues et d’échanges, ont permis, dans l’expression artistique, une floraison de « traces » esthétiques musulmanes au sein de l’architecture chrétienne du Moyen-Âge. C’est cette beauté qui vous sera dévoilée, cette beauté d’où naissent la compréhension des diversités et l’évidence de la profonde unité de l’espèce humaine.
La conférence aura lieu le vendredi 3 mars 2017 à 19h, au Centre Culturel Al Darwish / Mosquée Assalam de Nantes au 136 Bd du Seattle à Nantes 44000. Soyez au Rdv!

http://www.uoif-online.com/evenemen...-musulman-lart-chretien-francais-3-mars-2017/
 
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La Mosquée Bilal organise une conférence qui aura comme thème :

Le prophète Youssouf, un modèle pour notre jeunesse
le vendredi 16 février à 17h50
donnée par Franck Amin Hensch

Adresse:
Mosquée Bilal
Rue Emile Vandervelde, 292
4000 Liège
 

Pièces jointes

  • prophete-youssouf-exemple-jeunesse-300x424.jpg
    prophete-youssouf-exemple-jeunesse-300x424.jpg
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Atelier "Islam en lectures" (Université Saint Louis de Bruxelles)

Université Saint Louis
Bruxelles
Site web : https://islamenlectures.wordpress.com/
Description
Contact : M. Raphaël Gély
pdf URL : Plus d'info
pdf Lieu : Salle de Réunion : 6007
Université Saint-Louis
Rue du Marais 119
1000 Bruxelles

"Islam en lectures"


Atelier
Organisé par Cécile Bonmariage (FNRS/UCL), Raphaël Gély (USL-B) et Gregory Vandamme (FNRS/UCL)

Islam en lectures est un atelier consacré à l’exploration de textes de la tradition islamique.

C’est autour de la figure d’Abraham dans les versets 6:74-79 que les rencontres de cette année s’articuleront.

Cette activité est ouverte à tous !

Les prochaines séances de ce séminaire bimensuel auront lieu les 27/02, 13/03, 27/03, 17/04, 8/05, 22/05 et 5/06.

Lieu :

Université Saint-Louis-Bruxelles, 119A rue du Marais, local 6007 (au bout du couloir du 6ème étage).

Organisateurs :

Cécile Bonmariage (FNRS/UCL), Raphaël Gély (USL-B) et Gregory Vandamme (FNRS/UCL)

https://www.lescahiersdelislam.fr/a...ersite-Saint-Louis-de-Bruxelles_ae572461.html
 
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Taizé : weekend d’amitié entre jeunes musulmans et chrétiens

Description
Week-end d’amitié entre jeunes musulmans et chrétiens
Taizé, du jeudi 5 juillet au dimanche 8 juillet 2018

Nous sommes heureux de vous inviter à un week-end d’amitié entre jeunes chrétiens et musulmans. Les personnes qui ont l’habitude de venir à Taizé sont appelées à transmettre cette invitation à leurs amis musulmans. Sont invités en particulier les jeunes de 18 à 35 ans. En plus de la vie commune telle qu’elle est vécue d’ordinaire à Taizé, auront lieu des rencontres et des ateliers ayant trait à la connaissance réciproque entre chrétiens et musulmans.

Du 5 au 8 juillet 2018, aura lieu à Taizé la deuxième édition du week-end d’amitié entre jeunes musulmans et chrétiens. Sur cette page, seront publiés au fil du temps les intitulés provisoires des rencontres et conférences.

Les titres des conférences sont également régulièrement publiés sur l’événément créé dans le cadre de la page Facebook de Taizé.

Au programme :

• Poésie hébreu et arabe s’entrelacent : comment laisser la beauté et la vie intérieure reprendre le dessus en temps de crise ? Rencontre avec Agata Kroh, professeur de littérature hébraïque (France / Pologne), Nada Al Jendi, artiste et travailleur humanitaire (France / Syrie)
• Le Verbe divin et l’amour : Échange entre Monseigneur Aveline, évêque chargé du dialogue interreligieux (France) et Khaled Roumo, auteur et poète, membre du Groupe d’amitié islamo-chrétienne (France et Syrie)
• Une éducation à la paix et à la citoyenneté : Rencontre avec le Professeur Ousama Nabil, Université Al Azhar, directeur de l’Observatoire d’Al Azhar de lutte contre l’extrémisme (Egypte) et le Révérend Nadim Nassar, directeur de l’ONG « Awareness Foundation » (Royaume-Uni et Syrie) et le Père Christian Delorme (France)
• La science et la foi : rencontre entre frère Jean-Marc, communauté de Taizé et l’imam Usama Hussan (Royaume-Uni)
• L’engagement des femmes pour leurs droits : des jeunes femmes témoignent de leurs combats et de quelques unes des leurs victoires. Rencontre avec Onjali Rauf, fondatrice et présidente de l’ONG de défense des droits de l’homme Making Herstory (Royaume Uni), Malak Rahhal, fondation Adyan (Liban)
• Comment créer des espaces de convivialité et des événements où des personnes de différentes religions se rencontrent ? Présentation de quelques initiatives : Selmeya (Egypte), Café au féminin de la mosquée As-salam de Nantes (France), Ensemble avec Marie (France).
• Atelier cuisine entre musulmans et chrétiens. Avec Razan Mubarak (Palestine), Malak Rahhal (Liban), Abdulsattar Al Mansour (Syrie) et frère Stephen (Taizé)
• Comment découvrir l’appel que Dieu m’adresse ? Comment trouver mon chemin ? Rencontre avec Farhat Yaqoob, aumônier musulmane de l’université de Leeds (Royaume-Uni) et frère Paolo, Communauté de Taizé
• La vie intérieure comme ressort positif dans le cadre de conflits. Rencontre avec Onjali Rauf, fondatrice et présidente de l’ONG de défense des droits de l’homme Making Herstory (Royaume Uni) et Cécile Roy, directrice de la maison Abraham à Jérusalem
• Découvrir quelques fruits du dialogue spirituel entre musulmans et chrétiens. Rencontre avec Jean-Pierre Bacqué, responsable de la Semaine de Rencontres Islamo-Chrétienne en Europe, Radia Bakkouch, présidente de Coexister (France) et Zainab Chamoun, fondation Adyan (Liban).

https://www.saphirnews.com/agenda/T...e-jeunes-musulmans-et-chretiens_ae598463.html
 
majid10

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faut s unir les 3 religions monotheistes et partager nos savoirs les paiens aussi on des connaissances
l humain doit s unir et il n a jamais ete aussi distant
 
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