Fermeture de l'unique centre de "deradicalisation" de france

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion belgika
  • Date de début Date de début
bonne nouvelle , pour les delinquants il y a la prison pour les tarés l asile psychiatrique ce genre de centre doit couter beaucoup d argent inutilement dépensé qui serait plus utile ailleurs
 
Le centre de déradicalisation, ça devrait être le pays tout entier ou l’Europe toute entière. Inévitablement, une société malsaine et arbitraire fabrique quelques fous, et pas que des fous d’inspiration religieuse.
Voui voui voui... C'est sans aucun doute la faute à des sociétés libérales en matière de religion (et d'absence de religion) que certains se radicalisent jusqu'à tuer des innocents au pif au nom d'un "calife" autoproclame à des milliers de kilomètres de là et de son idéologie totalitaire pseudo-religieuse...
Je t'enjoins à lire quelques articles et livres au sujet des "revenants" (car pas mal sont déjà revenu au bercail "occidental" quand ils ont vu que ça allait finir en sucette au "Cham") ou sur les anciens esclaves et enfants soldats de Daesh... je suis navré de le dire, mais je crains que certains soient socialement irrécupérables : leur seul objectif dans la vie se résume à "tuer des kouffars".
Je n'ai strictement aucune compassion pour les hommes et femmes qui ont rejoint cette secte mafieuse et criminelle de leur plein gré. Je suis très triste pour les enfants mais quand tu lis les témoignages, tu comprends que la plupart d'entre eux passeront au mieux des années en thérapie avant de pouvoir sortir de la haine avec laquelle ils ont été endoctrinés. Et que pour beaucoup, cela ne fonctionnera pas : ils relèveront toute leur vie de l'hôpital psy. Daesh les a détruit
 
@VeraBien, je n’ai pas dit qu’il fallait avoir une compassion pour leurs actes, j’ai dit qu’une société malade produit des malades. Je vais reprendre le vieux marronnier du chômage : une société qui produit des technologies pour réduire le travail et qui met la raréfaction du travail sur le dos de la « fainéantise » des chômeurs, ça risque de produire des génies ? Une société qui veut consommer plus moins chers et avoir des salaires plus élevés, ça cultive le bon sens ou l’abrutissement ? Une société où c’est à qui « nickera » l’autre ne premier, ça peut donner quoi ? Une société ou plus tu es psychopathe plus a de chance d’avoir une bonne place, ça favorise la santé mentale ?

On peut bien faire l’autruche, le problème restera. La folie pure est rare, il y a surtout des prédispositions qui attendent des déclencheurs pour s’exprimer, ou des prédispositions cultivées par l’environnement.

On ne peut pas dire que ce soit la raison qui règne …

À moins que la société ne soit responsable de rien et que ce ne soit qu’un complot ? :rolleyes:
 
@VeraBien, je n’ai pas dit qu’il fallait avoir une compassion pour leurs actes, j’ai dit qu’une société malade produit des malades. Je vais reprendre le vieux marronnier du chômage : une société qui produit des technologies pour réduire le travail et qui met la raréfaction du travail sur le dos de la « fainéantise » des chômeurs, ça risque de produire des génies ? Une société qui veut consommer plus moins chers et avoir des salaires plus élevés, ça cultive le bon sens ou l’abrutissement ? Une société où c’est à qui « nickera » l’autre ne premier, ça peut donner quoi ? Une société ou plus tu es psychopathe plus a de chance d’avoir une bonne place, ça favorise la santé mentale ?

On peut bien faire l’autruche, le problème restera. La folie pure est rare, il y a surtout des prédispositions qui attendent des déclencheurs pour s’exprimer, ou des prédispositions cultivés par l’environnement.
Si c'est le chômage qui crée la radicalisation islamiste alors on aurait 10 millions de "djihadistes" en France... je pense qu'il y a d'autres facteurs qui entrent en jeu, comme une certaine idéologie religieuso-suprematiste et totalisante aux méthodes sectairo-mafieuses. Sinon, ces pauvres victimes sociales radicalisees s'en prendrait aux patrons, banques et autres symboles du neoliberalisme. Ils ne diraient pas vouloir "tuer des kouffars".
C'est pas Action Directe là...
 
bonne nouvelle , pour les delinquants il y a la prison pour les tarés l asile psychiatrique ce genre de centre doit couter beaucoup d argent inutilement dépensé qui serait plus utile ailleurs

Dans les bons vieux temps, on pouvait jettisonner ces misfits vers des iles desertes, ou meme vers tout un continent... On a essaye de verser ces ordures dans les poubelles afghanes, syriennes etc., mais ca n'a pas ete une solution durable, car certains ont survecu et ont prefere rentrer chez eux, ou les aides sociales sont intarissable.
 
L'expérience ne s'est pas révélée concluante a déclaré le Ministère dans un communiqué
L'expérimentation d'un centre d'accueil ouvert fonctionnant sur base du volontariat a montré ses limites

suite

http://www.lemonde.fr/police-justic...radicalisation-de-france_5165938_1653578.html

C'était juste un coup de com' politique, une action qui était d'office vouée à l'echec.

Elle a servi les intérêts politiques de certains, c'est tout.

Comme si un asile psychiatrique se donner comme mission de "désaliéné" ses patients,

Comme si pole-emploi se donner comme mission de " déchomeuriser" ses inscrits

Comme si la prison devait "décriminaliser" ses détenus....

Que des missions impossibles.
 
@VeraBien, je n’ai pas dit qu’il fallait avoir une compassion pour leurs actes, j’ai dit qu’une société malade produit des malades. Je vais reprendre le vieux marronnier du chômage : une société qui produit des technologies pour réduire le travail et qui met la raréfaction du travail sur le dos de la « fainéantise » des chômeurs, ça risque de produire des génies ? Une société qui veut consommer plus moins chers et avoir des salaires plus élevés, ça cultive le bon sens ou l’abrutissement ? Une société où c’est à qui « nickera » l’autre ne premier, ça peut donner quoi ? Une société ou plus tu es psychopathe plus a de chance d’avoir une bonne place, ça favorise la santé mentale ?

On peut bien faire l’autruche, le problème restera. La folie pure est rare, il y a surtout des prédispositions qui attendent des déclencheurs pour s’exprimer, ou des prédispositions cultivées par l’environnement.

On ne peut pas dire que ce soit la raison qui règne …

À moins que la société ne soit responsable de rien et que ce ne soit qu’un complot ? :rolleyes:

Je suis bien d'accord avec toi sur ce point. Le discours sur les chômeurs paresseux est de plus en plus décalé de la réalité du 21e siècle, mais les gens ne le voient pas. Les technologies éliminent des emplois, mais certains chômeurs n'ont pas les aptitudes physiques ou intellectuelles pour se recycler dans un domaine plus avancé. La technologie évolue bien plus vite que le cerveau!

Mais il y a un autre problème pour les mecs. À mesure que les robots et ordinateurs augmenteront le bassin de chômeurs, ces mecs vont être de plus en plus frustrés sexuels et handicapés affectifs, puisque, les femmes étant ce qu'elles sont, elles n'accepteront pas de sortir avec un mec qui ne touche que des allocations.

Donc il va y avoir des pressions croissantes pour légaliser la prostitution dans les années à venir, mais aussi peut-être la polygynie (certaines femmes vont tourner autour des riches et puissants qui restent, car les revenus seront encore plus mal répartis). Sans parler des immondes robots esclaves sexuels!

:(
 
@Ebion, les robots sexuels sont plutot positifs dans le scenario que tu decris... car ils aideront a diminuer les tensions / frustrations. Comme tu dis: des mecs sans revenus, donc sans femmes, chercheront des substituts. Et des robots, ca reste 1,000,000x mieux que des viols, n'est-ce pas?
 
@Ebion, les robots sexuels sont plutot positifs dans le scenario que tu decris... car ils aideront a diminuer les tensions / frustrations. Comme tu dis: des mecs sans revenus, donc sans femmes, chercheront des substituts. Et des robots, ca reste 1,000,000x mieux que des viols, n'est-ce pas?

Mais ce serait encore mieux des mecs qui gardent leur dignité! :(
 
Mais ce serait encore mieux des mecs qui gardent leur dignité! :(
Tu trouve les « femmes » dignes dans le rôle qu’elles se donnent ?

Avec les éventuelles formes de vie artificielles, tu ramène tout exclusivement au sexe, tu oublie la sociabilité. Sur beaucoup de site de « rencontre », les « femmes » sont déjà remplacées par des robots (ou parfois des actrices ou animatrices) depuis longtemps, tellement leur sociabilité est au raz du sol (ou même sous‑terre).

Mais bref, ce n’est pas le sujet.
 
Si c'est le chômage qui crée la radicalisation islamiste alors on aurait 10 millions de "djihadistes" en France... je pense qu'il y a d'autres facteurs qui entrent en jeu, comme une certaine idéologie religieuso-suprematiste et totalisante aux méthodes sectairo-mafieuses. Sinon, ces pauvres victimes sociales radicalisees s'en prendrait aux patrons, banques et autres symboles du neoliberalisme. Ils ne diraient pas vouloir "tuer des kouffars".
C'est pas Action Directe là...
Ce que j’ai dit n’était pas binaire, c’était probabiliste.

Sinon aussi, quand tu disais :
Voui voui voui... C'est sans aucun doute la faute à des sociétés libérales […]
Je disais ailleurs que le problème est justement que les sociétés occidentales sont de moins en moins libérales (déjà qu’elles ne l’ont jamais été totalement). Ça coutera cher à l’avenir …
 
Je disais ailleurs que le problème est justement que les sociétés occidentales sont de moins en moins libérales (déjà qu’elles ne l’ont jamais été totalement). Ça coutera cher à l’avenir …
En matière de moeurs et de religion, elles sont libérales. Et c'est précisément une des choses que daesh et consorts leur reprochent.
Beaucoup de ces gars endoctrinés ou enfants manipulés ne sont plus sur un plan d'entendement commun : ils sont convaincus que leur devoir suprême est de tuer autrui, non pas en fonction de ce qu'il fait et à peine en fonction de ce qu'il "est" (yezidies, chrétien, français ou peu importe en fait) : ils pensent devoir tuer en fonction de ce qu'ils pensent que l'autre est. Et le pb est que les plus atteints de cette secte mafieuse pensent que tous les autres sont bons à occire car mécréant ou apostat.
Non, c'est pas juste des pauvres malheureux : c'est des barges convaincus d'être dans la bonne et juste voie quand ils tuent des gamines dans un concert.
On est level up en matière de sociopathie là.
 
En matière de moeurs et de religion, elles sont libérales. […]
Du libéralisme de façade, juste ce qu’il faut divertir la population, même si ces libertés là sont importantes aussi (quoique certaines puissent aussi mener à n’importe quoi). Le mariage pour tous est certes important, mais le logement décent pour tous aurait été plus prioritaire, et même beaucoup d’homos n’en diraient pas moins je crois.

Dans ce « libéralisme » là, le « citoyen » est un objet utilitaire (ou sans utilité, selon les cas) qui a la liberté de faire le clown (et encore, selon des codes étroits), ce que certains font en picolant ou en prennant d’autres psychotropes, pour oublier leurs manques de libertés réelles (et les problèmes de sens).

On ne peut pas avoir un véritable libéralisme sociale, parce que la compréhension du monde est héritée du passé. On ne peut pas avoir un véritable libéralisme tout‑court, parce qu’on a pas de libéralisme économique, et comme disait Thatcher, honnie mais pas toujours bête, « la liberté n’est pas complète sans la liberté économique ». C’est aussi une condition de la démocratie réelle (pas la démocratie limitée qu’est la démocratie représentative).

L’anti‑libéralisme va avec des conceptions du monde, insensées. Quand la société est insensée, il ne faut pas trop espérer que les citoyens soient bien disposés à être censés.
 
Dernière édition:
"L'expérimentation d'un centre d'accueil ouvert fonctionnant sur base du volontariat a montré ses limites"

J'veux bien les croire
 
En cas d'imbalance flagrante entre les sexes, la dignite est vite oubliee. C'est d'ailleurs valable dans les deux directions.

Il y a souvent eu des guerres meurtrières qui ont désavantagé les femmes en termes de ratio, mais je crois pas que ça ait généré des désordres... ;)
 
Du libéralisme de façade, juste ce qu’il faut divertir la population, même si ces libertés là sont importantes aussi (quoique certaines puissent aussi mener à n’importe quoi). Le mariage pour tous est certes important, mais le logement décent pour tous aurait été plus prioritaire, et même beaucoup d’homos n’en diraient pas moins je crois.

Dans ce « libéralisme » là, le « citoyen » est un objet utilitaire (ou sans utilité, selon les cas) qui a la liberté de faire le clown (et encore, selon des codes étroits), ce que certains font en picolant ou en prennant d’autres psychotropes, pour oublier leurs manques de libertés réelles (et les problèmes de sens).

On ne peut pas avoir un véritable libéralisme sociale, parce que la compréhension du monde est héritée du passé. On ne peut pas avoir un véritable libéralisme tout‑court, parce qu’on a pas de libéralisme économique, et comme disait Thatcher, honnie mais pas toujours bête, « la liberté n’est pas complète sans la liberté économique ». C’est aussi une condition de la démocratie réelle (pas la démocratie limitée qu’est la démocratie représentative).

L’anti‑libéralisme va avec des conceptions du monde, insensées. Quand la société est insensée, il ne faut pas trop espérer que les citoyens soient bien disposés à être censés.

Hibou, c'était au milieu du 19e siècle que l'économie était la plus libérale en Europe. Très peu d'intervention de l'État, presque pas de code du travail, pas de syndicat, l'Église alliée aux patrons. Concurrence illimitée. Les enfants travaillaient vers 8 ans ou plus jeunes. Il y avait des horaires de travail insensés (genre 12 heures par jour).

Mais je crois pas que c'était un âge d'or, sauf pour un petit nombre d'industriels...
 
Hibou, c'était au milieu du 19e siècle que l'économie était la plus libérale en Europe. Très peu d'intervention de l'État, presque pas de code du travail, pas de syndicat, l'Église alliée aux patrons. Concurrence illimitée. Les enfants travaillaient vers 8 ans ou plus jeunes. Il y avait des horaires de travail insensés (genre 12 heures par jour).

Mais je crois pas que c'était un âge d'or, sauf pour un petit nombre d'industriels...
Et l’esclavage quand le libéralisme n’existait pas. Le 19ᵉ c’est l’époque où la monarchie a été restaurée deux ou trois fois, ce qui me fait douter que c’était une époque libérale. Si les gens devaient travailler 12h, c’est probablement parce qu’ils ne disposaient d’aucune propriété, que les seules ressources provenaient de leur patron et que évidemment il n’y avait pas plus de revenu de base à cette époque que maintenant. Remarques que les anti‑libéraux sont toujours anti‑propriété privée aussi et qu’ils défendent tellement mal le revenu de base qu’il ferait mieux de laisser d’autres d’en occuper. Avec les deux ou trois retours de la monarchie, ça fait d’autres raisons de douter que l’époque était libérale, au moins en france, mais je penses que c’étai idem ailleurs.
 
Il y a souvent eu des guerres meurtrières qui ont désavantagé les femmes en termes de ratio, mais je crois pas que ça ait généré des désordres... ;)
Elles ont une tendance naturelle à la polygamie et sont dépendante‑passives, on ne peut pas comparer l’incomparable.
 
Il y a souvent eu des guerres meurtrières qui ont désavantagé les femmes en termes de ratio, mais je crois pas que ça ait généré des désordres... ;)

Meme sans guerres il peut y avoir des desequilibres. Actuellement, l'Allemagne en fait l'experience car elle a "importe" des migrants a 90%+ hommes, et a sous les pressions politiciennes retarde les reunifications familiales. Il y a donc actuellement plus d'hommes que de femmes en Allemagne. Que ca n'ait (a quelques exceptions pret) pas encore cause des tensions est du au fait que les femmes locales restent chez ceux qui ont deja un revenu au moins modeste... et ces migrants sont encore sous le seuil de la pauvrete. Mais s'il n'y a pas bientot ces reunifications familiales, et si ces migrants commencent a gagner leur propre argent, ils deviendront plus desirables pour les femmes, et la, les veritables problemes commenceront.
 
Et l’esclavage quand le libéralisme n’existait pas. Le 19ᵉ c’est l’époque où la monarchie a été restaurée deux ou trois fois, ce qui me fait douter que c’était une époque libérale. Si les gens devaient travailler 12h, c’est probablement parce qu’ils ne disposaient d’aucune propriété, que les seules ressources provenaient de leur patron et que évidemment il n’y avait pas plus de revenu de base à cette époque que maintenant. Remarques que les anti‑libéraux sont toujours anti‑propriété privée aussi et qu’ils défendent tellement mal le revenu de base qu’il ferait mieux de laisser d’autres d’en occuper. Avec les deux ou trois retours de la monarchie, ça fait d’autres raisons de douter que l’époque était libérale, au moins en france, mais je penses que c’étai idem ailleurs.

C'était une époque libérale au sens économique du terme, surtout en Angleterre. Et le libéralisme économique est parfaitement compatible avec un régime autoritaire, comme on le voit actuellement en Chine.

Je crois pas que les ouvriers de l'époque, dont plusieurs étaient des enfants, vivaient mieux que les esclaves... s'éreinter dans une plantation de coton ou dans un atelier aux cadences infernales, c'est tout aussi horrible je crois. Ou du moins, j'ai pas la preuve du contraire.
 
C'était une époque libérale au sens économique du terme, surtout en Angleterre. Et le libéralisme économique est parfaitement compatible avec un régime autoritaire, comme on le voit actuellement en Chine.

Je crois pas que les ouvriers de l'époque, dont plusieurs étaient des enfants, vivaient mieux que les esclaves... s'éreinter dans une plantation de coton ou dans un atelier aux cadences infernales, c'est tout aussi horrible je crois. Ou du moins, j'ai pas la preuve du contraire.
Ce n’était pas le libéralisme économique, c’était le capitalisme qui naissait à cette époque (pour la construction des flottes de navires). Au mieux, le libéralisme économique ne s’appliquait qu’aux gens qui possédaient des capitaux suffisants, ce qui est une contradiction, on ne peut pas parler de libéralisme ; la même chose que maintenant. Cette époque n’était pas plus économiquement libérale que la nôtre.

Le capitalisme sans le libéralisme (pour tout le monde, ça ne devrait même pas être nécessaire de le préciser), c’est une nuisance, comme le montre le communisme avec son capitalisme dont l’état a le monopole complet.
 
Vont rembourser cet argent public et le redistribuer aux pauvres familles françaises ou pas?
 
C'est comme si on avait demandé aux nazis voir aux nazillons d'aujourd'hui de se porter volontaire pour intégrer un programme de dénazification!!!

.

C'était juste un coup de com' politique, une action qui était d'office vouée à l'echec.

Elle a servi les intérêts politiques de certains, c'est tout.

Comme si un asile psychiatrique se donner comme mission de "désaliéné" ses patients,

Comme si pole-emploi se donner comme mission de " déchomeuriser" ses inscrits

Comme si la prison devait "décriminaliser" ses détenus....

Que des missions impossibles.
 
Ce n’était pas le libéralisme économique, c’était le capitalisme qui naissait à cette époque (pour la construction des flottes de navires). Au mieux, le libéralisme économique ne s’appliquait qu’aux gens qui possédaient des capitaux suffisants, ce qui est une contradiction, on ne peut pas parler de libéralisme ; la même chose que maintenant. Cette époque n’était pas plus économiquement libérale que la nôtre.

Le capitalisme sans le libéralisme (pour tout le monde, ça ne devrait même pas être nécessaire de le préciser), c’est une nuisance, comme le montre le communisme avec son capitalisme dont l’état a le monopole complet.

Tu as une définition bizarre du libéralisme économique.
 
Tu as une définition bizarre du libéralisme économique.
Si tu ne comprends pas le sens du mot libéralisme, c’est que tu es de Gauche :desole:, parce que c’est simple pourtant : universalisme du droit, non‑distorsion, laisser faire dans la limite ou il n’y a pas d’atteintes aux personnes, en gros pour ce qui est pertinent ici.

La capitalisme sans llbéralisme, c’est automatiquement des gros capitaux dans les mains de quelques uns et aucun moyen pour les autres, parce que les lois sont alors faites pour les intérêts des gens qui ont des gros capitaux. C’est le cas du communisme, qui est un capitalisme d’état, l’état y a le monopole de tous les capitaux et de toutes les ressources naturelles.
 
Si tu ne comprends pas le sens du mot libéralisme, c’est que tu es de Gauche :desole:, parce que c’est simple pourtant : universalisme du droit, non‑distorsion, laisser faire dans la limite ou il n’y a pas d’atteintes aux personnes, en gros.

La capitalisme sans llbéralisme, c’est automatiquement des gros capitaux dans les mains de quelques uns et aucun moyen pour les autres, parce que les lois sont alors faites les intérêts des gens qui ont des gros capitaux.

Et liberté à peu près illimitée aux forces du marché, sauf les nécessaires impôts pour les infrastructures, la justice et La Défense. Et cela était bien la situation au milieu du 19e siècle!
 
Et liberté à peu près illimitée aux forces du marché, sauf les nécessaires impôts pour les infrastructures, la justice et La Défense. Et cela était bien la situation au milieu du 19e siècle!
Je ne sais pas en Angleterre, mais en france, l’école obligatoire date de la fin du ⅩⅨᵉ, il ne pouvait donc pas y avoir de culture libérale, puisque certaines classes sociales avaient la culture de la soumission, qui sans école, ne pouvait que se transmettre de génération en génération. Je ne connais pas le détail du droit économique à l’époque, j’avais surtout relevé que cette époque était celle de la naissance du capitalisme, qui était réservé aux grosses fortunes (les chantiers navals, ce n’est pas pour tout le monde). Avec un bon degré de certitude, on peut supposer qu’il y avait comme maintenant, un problème d’accès aux moyens initiaux. Peu après la révolution française, les États‑Unis avait eu l’idée du revenu de base, mais l’ont rejeté à quelques voix près (malheureusement, ça aurait changé la face du monde).

J’aimerais quand‑même savoir ce qu’était le droit économique et le droit de la propriété à cette époque, si tu as des sources, ça m’intéresse …
 
Dernière édition:
Je ne sais pas en Angleterre, mais en france, l’école obligatoire date de la fin du ⅩⅨᵉ, il ne pouvait donc pas y avoir de culture libérale, puisque certaines classes sociales avaient la culture de la soumission, qui sans école, ne pouvait que se transmettre de génération en génération. […]
Cette éducation se fait par la société aussi, il y a en france, une culture de la soumission obligatoire aux patrons, de l’extrême‑gauche à l’extrême‑droite avec seulement des exceptions à droite, malgré l’instruction obligatoire qui ne comprend pas ça dans ces programmes. Ça s’explique par le modèle donné par la société.
 
déradicalisation ça fait penser à dératisation
le mot n'est pas anodin

étrange on faire boutique au moment oà la guerre en Syrie ayant a tourné en la faveur du "l'ennemi"
 
déradicalisation ça fait penser à dératisation
le mot n'est pas anodin

étrange on faire boutique au moment oà la guerre en Syrie ayant a tourné en la faveur du "l'ennemi"

Quand tu as un Président qui parle d'éradiquer les terroristes (et non le terrorisme), tu comprends bien que l'idée-même de réinsertion ne lui effleure pas l'esprit!

http://actu.orange.fr/monde/videos/...e-emmanuel-macron-au-mali-VID0000002oA2g.html

Je n'ai d'ailleurs pas compris qu'il ait pu, une fois de plus, proférer des propos choquants en toute impunité! Oui il veut juste les exterminer!
 
Retour
Haut