Bejaadi78
GLOIRE AU GENERAL BEJAADI
La mienne...
Si je devais donner un titre à cette aventure, je la nommerai "l'inconnue du 8H07"
Nous sommes en 2008, je viens de déménager et j'arrive dans une ville.
Nous devions être je pense début Juillet, et c'était l'une des premières fois que je prenais le bus, ainsi que le train pour me rendre sur mon lieu professionnel.....
Je descends de mon bus, pour me rendre sur le quai à partir duquel je vais prendre mon train. C'est très belle journée, et les premiers rayons du soleil font leur apparition. C'est l'été en somme.
Enfin bref, je monte les marches pour me rendre sur le quai, et d'un seul coup comme un coup de tonnerre, comme un ange descendu du ciel......l'apparition de ma vision de la femme idéale. Si bien que mon aigreur matinale en fut dissipée...et que mon étonnement ait pris la place de cette aigreur...
Je la vois donc, avec un des ses amis gravir les marches menant au quai avec une douceur dans sa voix, un sourire, enfin bref une sorte de joie de vivre, une élégance dans la manière d'être....
Je me dis à ce moment, qu'étant célibataire les belles filles avec de la grâce et du charme existent encore, et que tôt ou tard je trouverai la même inchallah, et qu'enfin je voyais à quoi mon idéal ressemblait. Je repris un peu espoir. A la suite de cette lueur matinale (comme une bonne ricorée), je m'en allais gaiement accomplir ma tache de bon travailleur...ce coup de foudre fut oublié, comme il était apparu.
Plusieurs semaines se passent, c'est durant les congés d'été, si bien qu'a cette époque les transports franciliens sont moins bondés qu'à leur habitude.
Un soir, à l'issue d'une journée étouffante je cours pour avoir mon train. Je ne pensais même plus à l'illumination qui m'avait foudroyée quelque semaines auparavant. Je parviens à avoir mon train, je monte dans la première voiture qui se présente à moi au dernier moment, l'alarme et les portes se ferment. J'étais essoufflé par ma course effrénée. Le wagon était désert (nous sommes à la période creuse de l'année). Je ne savais pas qu'elles étaient les personnes présentes dans ce wagon. Le train démarre donc, et en me retournant, qui vois je seule dans ce compartiment? cette personne..elle me fixait des yeux. Si le train avait déraillé, cela m'aurait fait le même effet. Elle ne voulait pas baisser les yeux...j'étais obligé de le baisser pour elle..son regard ainsi que sa beauté, étaient capables de briser le plus dur des êtres..
Si je devais donner un titre à cette aventure, je la nommerai "l'inconnue du 8H07"
Nous sommes en 2008, je viens de déménager et j'arrive dans une ville.
Nous devions être je pense début Juillet, et c'était l'une des premières fois que je prenais le bus, ainsi que le train pour me rendre sur mon lieu professionnel.....
Je descends de mon bus, pour me rendre sur le quai à partir duquel je vais prendre mon train. C'est très belle journée, et les premiers rayons du soleil font leur apparition. C'est l'été en somme.
Enfin bref, je monte les marches pour me rendre sur le quai, et d'un seul coup comme un coup de tonnerre, comme un ange descendu du ciel......l'apparition de ma vision de la femme idéale. Si bien que mon aigreur matinale en fut dissipée...et que mon étonnement ait pris la place de cette aigreur...
Je la vois donc, avec un des ses amis gravir les marches menant au quai avec une douceur dans sa voix, un sourire, enfin bref une sorte de joie de vivre, une élégance dans la manière d'être....
Je me dis à ce moment, qu'étant célibataire les belles filles avec de la grâce et du charme existent encore, et que tôt ou tard je trouverai la même inchallah, et qu'enfin je voyais à quoi mon idéal ressemblait. Je repris un peu espoir. A la suite de cette lueur matinale (comme une bonne ricorée), je m'en allais gaiement accomplir ma tache de bon travailleur...ce coup de foudre fut oublié, comme il était apparu.
Plusieurs semaines se passent, c'est durant les congés d'été, si bien qu'a cette époque les transports franciliens sont moins bondés qu'à leur habitude.
Un soir, à l'issue d'une journée étouffante je cours pour avoir mon train. Je ne pensais même plus à l'illumination qui m'avait foudroyée quelque semaines auparavant. Je parviens à avoir mon train, je monte dans la première voiture qui se présente à moi au dernier moment, l'alarme et les portes se ferment. J'étais essoufflé par ma course effrénée. Le wagon était désert (nous sommes à la période creuse de l'année). Je ne savais pas qu'elles étaient les personnes présentes dans ce wagon. Le train démarre donc, et en me retournant, qui vois je seule dans ce compartiment? cette personne..elle me fixait des yeux. Si le train avait déraillé, cela m'aurait fait le même effet. Elle ne voulait pas baisser les yeux...j'étais obligé de le baisser pour elle..son regard ainsi que sa beauté, étaient capables de briser le plus dur des êtres..