ilioucha
Vas insigne devotionis
LEMONDE.FR avec AFP | 18.12.09 | 07h58 Mis à jour le 18.12.09 | 08h
Le fournisseur d'accès à Internet Free (Iliad) a remporté la quatrième licence de téléphonie mobile, devenant ainsi le nouvel opérateur français aux côtés d'Orange, de SFR et de Bouygues Telecom, a annoncé, vendredi 18 décembre, l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep). "L'Arcep a retenu la candidature de la société Free Mobile [la dénomination sous laquelle Free a postulé, ndlr] dans le cadre de la procédure lancée le 1er août 2009 tendant à l'attribution d'une autorisation, en France métropolitaine, d'un système de téléphonie mobile de troisième génération, 3G", indique l'Arcep.
TARIFS COMPÉTITIFS
Selon l'Arcep, Free "envisage de proposer au consommateur des offres claires et innovantes à des tarifs compétitifs de nature, notamment pour faciliter l'accès à l'Internet mobile" et prend "de nombreux engagements concernant l'accueil des opérateurs mobiles virtuels", ces petits opérateurs qui n'ont pas de réseau mais achètent des minutes aux opérateurs en place pour proposer leurs offres. Free "s'engage enfin à ouvrir commercialement son réseau mobile au plus tard deux ans après la délivrance de l'autorisation et à couvrir, d'ici huit ans, au moins 90 % de la population par son réseau 3G". Ce qui devrait lui permettre de proposer ses forfaits au plus tard au début de 2012, la licence, facturée 240 millions d'euros, lui étant officiellement attribuée à partir de janvier 2010. A cette date, "les consommateurs verront leurs possibilités de choix élargies", se félicite l'Autorité.
Alors qu'Orange (France Télécom), SFR et Bouygues Telecom ont déposé des recours devant Bruxelles et le Conseil d'Etat pour contester la procédure, l'Arcep juge au contraire que les "nouvelles offres [de Free] devraient stimuler les opérateurs existants, dont la situation actuelle est pérenne et solide".
Le fournisseur d'accès à Internet Free (Iliad) a remporté la quatrième licence de téléphonie mobile, devenant ainsi le nouvel opérateur français aux côtés d'Orange, de SFR et de Bouygues Telecom, a annoncé, vendredi 18 décembre, l'Autorité de régulation des télécoms (Arcep). "L'Arcep a retenu la candidature de la société Free Mobile [la dénomination sous laquelle Free a postulé, ndlr] dans le cadre de la procédure lancée le 1er août 2009 tendant à l'attribution d'une autorisation, en France métropolitaine, d'un système de téléphonie mobile de troisième génération, 3G", indique l'Arcep.
TARIFS COMPÉTITIFS
Selon l'Arcep, Free "envisage de proposer au consommateur des offres claires et innovantes à des tarifs compétitifs de nature, notamment pour faciliter l'accès à l'Internet mobile" et prend "de nombreux engagements concernant l'accueil des opérateurs mobiles virtuels", ces petits opérateurs qui n'ont pas de réseau mais achètent des minutes aux opérateurs en place pour proposer leurs offres. Free "s'engage enfin à ouvrir commercialement son réseau mobile au plus tard deux ans après la délivrance de l'autorisation et à couvrir, d'ici huit ans, au moins 90 % de la population par son réseau 3G". Ce qui devrait lui permettre de proposer ses forfaits au plus tard au début de 2012, la licence, facturée 240 millions d'euros, lui étant officiellement attribuée à partir de janvier 2010. A cette date, "les consommateurs verront leurs possibilités de choix élargies", se félicite l'Autorité.
Alors qu'Orange (France Télécom), SFR et Bouygues Telecom ont déposé des recours devant Bruxelles et le Conseil d'Etat pour contester la procédure, l'Arcep juge au contraire que les "nouvelles offres [de Free] devraient stimuler les opérateurs existants, dont la situation actuelle est pérenne et solide".