Attal, c'est celui qui veut prendre une revanche face à une vie qu'il veut se raconter comme un personnage balzacien. La réalité, c'est que c'est un arriviste opportuniste qui se croit avoir un destin grandiose. Macron est son ventriloque quand il s'agit de faire son islamophobe patenté soucieux de botter hors de l'école les abayas alors que l'institution n'a jamais été autant en crise. C'est tellement plus simple que de régler les pbs de fonds : crise de vocation, classes surchargées, profs en absentéisme répété quand ils ne sont pas manquants faute d'attractivité. On préfère faire une fixette sur la be..urette qui, par provocation et crise d'adolescence, aime à passer du croque top sexy laissant deviner ses formes de femme en devenir à la abaya + manucure type tiktok.
Le célèbre avocat Juan Branco (qui lui aussi aime à montrer qu'il existe dès qu'il peut) en parle le "mieux" de ce jeune et ambitieux Gabriel Attal qui a fait ses classes à la non moins connue école alsacienne de Paris qui concentre toutes les petites têtes de la bourgeoisie française qui aime à se reproduire par atavisme et endogamie. Un peu comme la bourgeoisie marocaine qui aime à foutre ses rejetons dans les écoles de la coopération tout en faisant les pseudos fiers d'un système dont ils ne cherchent qu'à tirer le meilleur parti.
La mobilité sociale ascendante chère à Claude Tello attendra. Après tout, son prédécesseur, que l'on oubliera dans l'histoire de la République, Pap Ndiaye, lui aussi y met ses enfants dans le ... privé. Pour un ministre de l'éducation nationale, c'est cocasse.
Attal, c'est aussi celui qui, après les attaques du 7 octobre perpétrées par le Hamas, est allé taper sur l'épaule des représentants des institutions juives de France. Clin d’œil appuyé. Back to basics. Retour aux sources. Il faut dire qu'il y a des communautarismes que l'on tolère dans cette république qui se dit "une et indivisible", et plus singulièrement quand il s'agit de se lancer dans une espèce de pogrom islamophobe. D'ailleurs, en les circonstances actuelles, dans les renseignements, l'on s'étonne que dans les banlieues, l'on ne s'émeut pas tant que cela du cas des milliers d'enfants et femmes tués par Tsahal, nom affectif que les Israéliens aiment à donner à l'armée la plus puissante du coin. Merci l'Oncle Sam (et l'Europe coupable de génocide). Il faut tjrs savoir se méfier des marques trop appuyées d'amour. Ça, les sionistes de tous bords le savent.
Le sentiment de culpabilité de leurs anciens bourreaux antisémites millénaires est leur plus grand allié.
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La suite, on la connait. Elisabeth Borne (née Bornstein et qui est particulièrement taiseuse quant à sa judéité contrairement à Braun Pivet partie marquer son soutien à l'état hébreu) le soutient de loin tant qu'il ne lui fait pas de l'ombre et l'utilise, elle la femme de gauche. S'adapter, c'est un point qui les unit. Comme depuis tjrs en politique mais pas seulement ... S'adapter ou mourir disait Lamarck avant Darwin.
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