Encore un membre de la secte dont zemmour est iclus
cupidité
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Coluche c'était pas son job comme labbe Pierre !
restos qui était provisoire Dans un vrai état honnête pas besoin d'assos subventionnées
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POLITIQUE - C’est une certaine manière de voir l’aide aux plus démunis. Invité par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale ce mercredi 30 octobre, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse Gabriel Attal a livré une vision sociale mais aussi comptable du bénévolat et de la vie associative.
Le plus jeune membre du gouvernement estime que les associations “rapportent économiquement” avec leur 1,8 million d’emplois créés, mais représentent aussi “des coûts évités” à l’État grâce au bénévolat.
“On prend un exemple: les Restos du Coeur. 70.000 bénévoles réguliers. Si c’était des permanents payés au SMIC par l’État, ça serait plus de 200 millions d’euros par an”, a expliqué Gabriel Attal face aux parlementaires, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.
Substitut ou complément de l’État ?
Alors qu’une personne sur cinq ne peut pas se payer trois repas sains par jour en France, cette approche de l’aide alimentaire et du bénévolat a suscité plusieurs réactions, notamment politiques, sur les réseaux sociaux.
“Les associations et le bénévolat, ça doit venir en complément de l’action de l’État pour renforcer et dynamiser le lien social, les activités sportives et culturelles. Pas pour remplacer l’État dans ses missions essentielles comme lutter contre l’exclusion sociale et la pauvreté”, a tweeté l’ex-députée Corinne Narassiguin, aujourd’hui secrétaire nationale à la coordination et aux moyens du Parti socialiste.
“On ne compte pas moins de quatre réformes: ISF, mise en place du prélèvement à la source, arrêt des contrats aidés, hausse de la CSG. La simple transformation de l’ISF en IFI, c’est 150 millions d’euros en moins pour les fondations”, a soutenu le président du collectif, Pierre Siquier.
Mais face à ces critiques, le Secrétaire d’État a réitéré sa démonstration dans un tweet publié jeudi. “Cet argument chiffré vient d’une étude réalisée par les Restos eux-mêmes, pour mettre en évidence l’impact réel de leur action, complémentaire à l’État (8 milliards d’euros sur le plan pauvreté)”, a souligné le jeune soutien de la première heure d’Emmanuel Macron, ajoutant qu’il “assume pleinement” ce raisonnement “pour défendre assos et bénévoles”.
cupidité
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Coluche c'était pas son job comme labbe Pierre !
restos qui était provisoire Dans un vrai état honnête pas besoin d'assos subventionnées
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POLITIQUE - C’est une certaine manière de voir l’aide aux plus démunis. Invité par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale ce mercredi 30 octobre, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse Gabriel Attal a livré une vision sociale mais aussi comptable du bénévolat et de la vie associative.
Le plus jeune membre du gouvernement estime que les associations “rapportent économiquement” avec leur 1,8 million d’emplois créés, mais représentent aussi “des coûts évités” à l’État grâce au bénévolat.
“On prend un exemple: les Restos du Coeur. 70.000 bénévoles réguliers. Si c’était des permanents payés au SMIC par l’État, ça serait plus de 200 millions d’euros par an”, a expliqué Gabriel Attal face aux parlementaires, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.
Substitut ou complément de l’État ?
Alors qu’une personne sur cinq ne peut pas se payer trois repas sains par jour en France, cette approche de l’aide alimentaire et du bénévolat a suscité plusieurs réactions, notamment politiques, sur les réseaux sociaux.
“Les associations et le bénévolat, ça doit venir en complément de l’action de l’État pour renforcer et dynamiser le lien social, les activités sportives et culturelles. Pas pour remplacer l’État dans ses missions essentielles comme lutter contre l’exclusion sociale et la pauvreté”, a tweeté l’ex-députée Corinne Narassiguin, aujourd’hui secrétaire nationale à la coordination et aux moyens du Parti socialiste.
Les associations et le bénévolat, ça doit venir en complément de l’action de l’Etat pour renforcer et dynamiser le lien social, les activités sportives et culturelles.
Pas pour remplacer l’Etat dans ses missions essentielles comme lutter contre l’exclusion sociale et la pauvreté. https://t.co/VFoxIy3Byb
— Corinne Narassiguin(@CorinneNara) October 31, 2019
Au HuffPost, le collectif d’associations France Générosités (Croix-Rouge, Action contre la faim, Secours catholique, etc. ) s’est étonné de cet exposé, particulièrement dans un contexte où les associations n’auraient “jamais été aussi menacées”.Alors... Je suis désolée de vous dire que ces associations ne sont pas une chance pour l'État mais la preuve de la carence de ce dernier dans sa mission de prendre en compte aussi les plus démunis. On ne se félicite pas d'un échec, on le répare. https://t.co/8OGCFXMZij
— Mélanie Jaoul (@MelanieJaoul) October 31, 2019
“On ne compte pas moins de quatre réformes: ISF, mise en place du prélèvement à la source, arrêt des contrats aidés, hausse de la CSG. La simple transformation de l’ISF en IFI, c’est 150 millions d’euros en moins pour les fondations”, a soutenu le président du collectif, Pierre Siquier.
Mais face à ces critiques, le Secrétaire d’État a réitéré sa démonstration dans un tweet publié jeudi. “Cet argument chiffré vient d’une étude réalisée par les Restos eux-mêmes, pour mettre en évidence l’impact réel de leur action, complémentaire à l’État (8 milliards d’euros sur le plan pauvreté)”, a souligné le jeune soutien de la première heure d’Emmanuel Macron, ajoutant qu’il “assume pleinement” ce raisonnement “pour défendre assos et bénévoles”.