Voici mon dernier article sur la loi contre la burka. Même si elle n'est pas applicable, nul doute qu'elle va l'être.
Des réactions?
Gangsta Burka
Elles sappellent Julie, Kenza, Khadidjatou ou Karine. Elles sont parfois célibataires, parfois retraités. Ni ***** ni soumises, elles sont plus de 2 000 en France. Le plus souvent titulaires dun casier judiciaire vierge, elles sont pourtant, depuis quelques semaines, de dangereuses criminelles. Marginalisées, condamnées à lenfermement, pourchassées: Ce sont les Gangsta Burka.
Le 13 juillet 2010, veille de la fête nationale, la France a changé. Les députés ont en effet voté pour lapplication de la loi anti voile intégral qui faisait polémique depuis près un an. Les femmes sont libérées, elles brûlent par centaines des voiles devant pères et frères, barbus sanguinaires bavant de rage. Cest la fin de lislamisme, lidéal républicain français et Sihem Habchi ont triomphé du niqab. La France a choisi, Kenza la voilée devra désormais être une Kenza du Loft sous peine à de graves problèmes judiciaires. Toutes les burkinisés peuvent désormais voguer en minijupes, les cheveux au vent.
Toutes ont fait ce choix, ou presque. Sur 2 000 femmes portant le voile intégral avant la loi, 2 000 sont entrés dans la criminalité la plus profonde. Mais nayez crainte, lecteurs républicains, la France saura les empêcher dadhérer à ce néo-gangstérisme à visage non découvert. Toutes les forces de police sont ainsi déployés dans une chasse au Belphégor, que les divers préfets souhaitent sans merci. Ils délaissent ainsi leurs activités habituelles, jugées futiles, comme le démantèlement de réseaux de stupéfiants, larrestation de pédophiles ou encore Zahia Dehar, pour sadonner à la mission qui est la leur: La protection de la république face à ce danger voilé.
Lire plus sur:
http://lemondederedwane.wordpress.com/2010/08/01/gangsta-burka/
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Gangsta Burka
Elles sappellent Julie, Kenza, Khadidjatou ou Karine. Elles sont parfois célibataires, parfois retraités. Ni ***** ni soumises, elles sont plus de 2 000 en France. Le plus souvent titulaires dun casier judiciaire vierge, elles sont pourtant, depuis quelques semaines, de dangereuses criminelles. Marginalisées, condamnées à lenfermement, pourchassées: Ce sont les Gangsta Burka.
Le 13 juillet 2010, veille de la fête nationale, la France a changé. Les députés ont en effet voté pour lapplication de la loi anti voile intégral qui faisait polémique depuis près un an. Les femmes sont libérées, elles brûlent par centaines des voiles devant pères et frères, barbus sanguinaires bavant de rage. Cest la fin de lislamisme, lidéal républicain français et Sihem Habchi ont triomphé du niqab. La France a choisi, Kenza la voilée devra désormais être une Kenza du Loft sous peine à de graves problèmes judiciaires. Toutes les burkinisés peuvent désormais voguer en minijupes, les cheveux au vent.
Toutes ont fait ce choix, ou presque. Sur 2 000 femmes portant le voile intégral avant la loi, 2 000 sont entrés dans la criminalité la plus profonde. Mais nayez crainte, lecteurs républicains, la France saura les empêcher dadhérer à ce néo-gangstérisme à visage non découvert. Toutes les forces de police sont ainsi déployés dans une chasse au Belphégor, que les divers préfets souhaitent sans merci. Ils délaissent ainsi leurs activités habituelles, jugées futiles, comme le démantèlement de réseaux de stupéfiants, larrestation de pédophiles ou encore Zahia Dehar, pour sadonner à la mission qui est la leur: La protection de la république face à ce danger voilé.
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