Gaza : ce qu’il faut retenir du plan de paix de Trump

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Mojod
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Le président américain Donald Trump a dévoilé lundi un plan de paix en 20 points afin de mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, qui sera démilitarisée.

Si le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en a soutenu le principe lundi lors d’une conférence de presse au côté de Donald Trump, il reste au Hamas de l’accepter.

En voici les principaux points :

Fin de la guerre et libération des otages

« Si les deux parties acceptent ce plan, la guerre s’achèvera immédiatement », dit le texte qui prévoit dans ce cas qu’Israël suspende ses opérations militaires dans la bande de Gaza.

Ensuite, « dans les 72 heures suivant l’acceptation publique de cet accord par Israël, tous les otages, vivants ou décédés, seront rendus ».

Sur les 251 personnes enlevées durant l’attaque du Hamas du 7 octobre 2023, 47 sont toujours retenues à Gaza, dont 25 considérées comme mortes par l’armée israélienne.

En contrepartie, « Israël libérera 250 prisonniers condamnés à perpétuité ainsi que 1.700 Gazaouis détenus après le 7 octobre 2023 », y compris « toutes les femmes et tous les enfants détenus dans ce contexte ». Le plan prévoit également qu’Israël se retire de Gaza « par étapes ».

Trump « président »

La bande de Gaza doit être gouvernée de façon transitoire « par un comité palestinien technocratique et apolitique, chargé d’assurer la gestion quotidienne des services publics et des municipalités pour la population de Gaza », selon le plan.

Il sera placé « sous la supervision et le contrôle d’un nouvel organe international de transition, le “Comité de la paix”, qui sera dirigé et présidé par le président Donald Trump ». L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair en fera également partie.


Investir à Gaza

Le plan Trump, qui avait évoqué l’idée de transformer Gaza en « Riviera du Moyen-Orient », vise à « reconstruire et à dynamiser Gaza ». Un groupe d’experts qui ont contribué à la naissance de « certaines des villes modernes florissantes du Moyen-Orient » sera mis en place à cette fin.

Le plan prévoit aussi une « zone économique spéciale », avec des tarifs douaniers et des taux d’accès préférentiels.

« Personne ne sera forcé à quitter Gaza », dit le texte, alors que Donald Trump avait évoqué il y a quelques mois l’idée de vider le territoire de ses habitants.

« Nous encouragerons les gens à rester et leur offrirons l’occasion de construire un Gaza meilleur ». La quasi-totalité des deux millions d’habitants de Gaza ont été déplacés par la guerre.

Exit le Hamas

Le Hamas, qui a pris le contrôle du territoire en 2007, sera exclu de la gouvernance de Gaza. Ses membres qui rendront les armes et accepteront une « co-existence pacifique » avec Israël seront « amnistiés ». Ceux qui voudraient partir de Gaza bénéficieront d’un droit de passage « protégé vers les pays de destination », selon le projet.

Force de stabilisation

Le plan prévoit encore le déploiement immédiat d’une « force internationale de stabilisation » dans la bande de Gaza, avec le soutien des Etats arabes.

Cette force formera la police palestinienne à Gaza et oeuvrera à assurer la sécurité avec Israël et l’Egypte voisine. L’Indonésie a déjà fait part de sa volonté de fournir des troupes.

Quid d’un Etat palestinien ?

Dans son plan, le président américain entrevoit un rôle pour l’Autorité palestinienne qui pourra, à terme, « reprendre le contrôle de Gaza de manière sûre et efficace ».

Il n’exclut pas, en outre, la création d’un Etat palestinien, malgré l’opposition ferme de M. Netanyahu, dans le sillage des reconnaissances récentes d’un Etat de Palestine par la France, la Grande-Bretagne et d’autres pays.

« Les conditions pourraient enfin être réunies pour ouvrir une voie crédible vers l’autodétermination et la création d’un Etat palestinien, que nous reconnaissons comme l’aspiration du peuple palestinien », dit le texte.

Lors de la conférence de presse, Benjamin Netanyahu a cependant déclaré qu’il ne voyait « aucun rôle » pour l’Autorité palestinienne sans qu’elle « subisse une transformation radicale et authentique ».
 
Espérons un cessez le feu permanent le plus rapidement possible

En, gros c'est à peu près le, même plan que Biden avait soumis en Mai 2024 mais Netanyahu l'a fait capoter parce qu'il ne voulait pas de la paix... ici Trump est parvenu à le lui faire accepter de force, je me demande ce que cache ce revirement, j'espère que cet accord ne contient pas de clause cachée en faveur d'israel qu'on n'apprendra que plus tard...
 
Il y a sans doute des raisons de se méfier de la neutralité de ce "comité de la paix" présidé par trump lui-même... :rolleyes: .

On peut craindre l'absence d'une nécéssaire objectivité minimale dans la gestion de cette transition, de la part du président le plus pro-Israël de l'histoire, aux ordres de son lobby évangélique prio-sioniste copain-copain avec l'extrême droite religieuse israélienne, et qui lui dicte sa conduite au Moyen-Orient depuis des années...
 
Il y a sans doute des raisons de se méfier de la neutralité de ce "comité de la paix" présidé par trump lui-même... :rolleyes: .

On peut craindre l'absence d'une nécéssaire objectivité minimale dans la gestion de cette transition, de la part du président le plus pro-Israël de l'histoire, aux ordres de son lobby évangélique prio-sioniste copain-copain avec l'extrême droite religieuse israélienne, et qui lui dicte sa conduite au Moyen-Orient depuis des années...

Tant de gâchis qui ne datent pas d'aujourd'hui.
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Si les sionistes n'avaient pas eu l'intention de vider la Palestine dès 1917...peut être qu'on pu arriver à qlq chose qui aurait mis en symbiose la région au profit de tous.

Dans les 30 les anglais avaient participé a créer déja un état juif...le Yishouv...dans l'état au prix de spoliations et repression des arabes en decimant les élites politiques et culturelles palestiniennes.

Balfour avait lui même l'idée de ne pas accepter chez lui les juifs fuyant l'antisémitisme russe avec sa loi restrictive sur l'immigration.

La perfide Albion est responsable de ce gâchis car elle a exploité le désir des juifs d'avoir un foyer mais chez les autres au M.O. pour avoir une présence afin de protéger sa route des Indes.

Pareil pour Staline qui a persécuté les juifs.

Il n'a soutenu un état juif qu'il a armé pour s'agrandir que pour chasser les anglais.

Et les populations du M.O de subir les frais de ces jeux entre puissances.

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Trump est un naif avant tout intéressé par lui même. Hier, on le sentait ailleurs à lire ses notes. A l'ONU, il était en panique sans son prompteur. Un peu comme Marine Le Pen. Sans les notes, c'est le naufrage.

Bibi a repris les choses en main, fait son numéro de lèche pro US et Trump "meilleur soutien de l'entité sioniste" (Biden peut chialer) en "oubliant" Vance mais en appuyant sur les plus sionistes de ses soutiens dont Jared Kuchner. Discours ficelé, déterminé, une voix prise par la crève. S'il pouvait y passer. La grippe tue chaque année bien plus que le Covid. Il ne reconnaît pas l'Etat de Palestine, ne dit pas qu'il accepte toutes le plan de Trump qui tantôt parle de riviera tantôt que personne ne sera forcé à quitter une terre polluée par les bombes au phosphore et aux bâtiments détruits à plus de 80%.

En résumé, vaste mascarade.

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Quoi qu'en pense Trump
La multiplication des décisions de reconnaissance de l'Etat Palestinien va finir par avoir raison de BN
L'UE va exercer une pression sur lui depuis l'intérieur, à travers les sanctions commerciales
 
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L'alfa et l'omega de ce drame est l'occupation qui a phagocyté toute la Palestine du fait que les USA qui sont les inconditionnels de l'occupant ont bloqué l'application des résolutions de l'Onu et ont refusé de protéger les palestiniens de la terreur coloniale.

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Le plan Trump pour Gaza est présenté comme une tentative de résoudre le conflit israélo-palestinien en imposant un accord de paix radical à Gaza. Mais derrière les promesses de reconstruction et de sécurité, se cachent des éléments qui soulèvent de sérieuses inquiétudes quant à leur équité et à leur faisabilité. À travers l’analyse des 21 points du plan, cet article met en lumière les aspects les plus problématiques, qui risquent d’aggraver la situation plutôt que d’y remédier.

1. La paix à tout prix : une démilitarisation imposée
L’un des points les plus controversés du plan est la démilitarisation du Hamas (Point 12). Imposer à un groupe qui se considère comme une résistance légitime contre l’occupation israélienne de se désarmer revient à priver les Palestiniens de leur capacité à se défendre face à une occupation qui perdure depuis des décennies. Cette demande est perçue non seulement comme une humiliation pour le peuple palestinien, mais aussi comme une tentative de supprimer toute forme de résistance légitime à l’occupation. De plus, la mise en place de forces de sécurité internationales (Point 14), dirigées par les États-Unis, soulève des questions sur la véritable neutralité de ces forces et sur le contrôle palestinien qu’elles laisseraient.

2. Une reconstruction sans autonomie
Le plan propose une reconstruction de Gaza (Point 1), mais elle serait placée sous une supervision internationale dirigée par les États-Unis et leurs alliés, ce qui remet en cause la souveraineté de Gaza et de la Palestine dans son ensemble. Au lieu d’une autonomie pleine et entière pour les Palestiniens, ce plan crée un système où la reconstruction se fait sans réelle participation ou contrôle local. Gaza serait gouvernée par un gouvernement de transition composé de technocrates palestiniens (Point 8), supervisé par un comité international. Cela renforce l’idée que la Palestine est incapable de gérer ses propres affaires sans l’intervention d’acteurs étrangers, ce qui risque de réduire davantage les capacités de décision des Palestiniens.

3. L’exclusion de la voix Palestinienne
Un autre problème majeur est l’absence de représentation palestinienne véritablement indépendante dans le processus. Le plan prévoit une zone économique avec des impôts et frais réduits (Point 10) et d’autres incitations économiques pour attirer des investissements étrangers, mais à quel prix ? L’absence d’un dialogue inclusif avec les différentes factions palestiniennes – en particulier le Hamas et le Jihad islamique – conduit à une solution imposée de l’extérieur. Ce type de solution ignore les réalités politiques et sociales internes palestiniennes et ne peut qu’engendrer une instabilité à long terme.

4. Un équilibre de paix fragile
La question de la sécurité est au cœur du plan, avec des garanties de sécurité par les États régionaux (Point 13) et la création d’une force de stabilité internationale temporaire (Point 14). Cependant, le rôle prépondérant des États-Unis dans cette structure est problématique. Les États-Unis, traditionnellement perçus comme un allié inconditionnel d’Israël, ont peu de crédibilité en tant que médiateurs impartiaux. Le plan de Trump ne semble pas envisager un véritable équilibre des pouvoirs entre Israël et la Palestine, mais plutôt une imposition de la volonté israélienne sur les Palestiniens, ce qui rend toute garantie de sécurité déséquilibrée et fragile.
 
5. Une promesse de futur sans contenu pratique
Le point le plus déstabilisant pour l’avenir des Palestiniens est la promesse d’un futur État palestinien (Point 19). Bien que cette promesse semble un pas vers la reconnaissance internationale d’un État palestinien, elle reste trop vague et conditionnée à des éléments qui fragilisent l’autonomie palestinienne. Il n’y a aucune mention claire des frontières ou de la souveraineté de ce futur État, et la priorité semble donnée à des réformes internes palestiniennes (comme la gestion de Gaza par un gouvernement de transition) plutôt qu’à la création d’un véritable État souverain.

6. Une paix parfaite pour l’entité sioniste, incomplète pour la Palestine
Enfin, ce plan semble beaucoup plus favorable à Israël qu’à la Palestine. Le retrait progressif de l’armée israélienne (Point 15) est un élément positif, mais il ne prend pas en compte les violations systématiques des droits humains commises par Israël pendant son occupation, ni les conditions de vie insoutenables des Palestiniens dans les territoires occupés. En fait, plutôt que de proposer un véritable équilibre de paix, le plan propose un statu quo où Israël conserverait une large part de son pouvoir, et les Palestiniens, au mieux, seraient soumis à une tutelle internationale avec peu de pouvoir politique réel.

Conclusion : un plan de paix ou de soumission ?
En somme, le plan Trump pour le Moyen-Orient, bien qu’il cherche à instaurer une sorte de paix, repose sur des bases profondément injustes. En effaçant les droits des Palestiniens et en les forçant à accepter une tutelle internationale, il risque de prolonger le conflit plutôt que de le résoudre. La paix durable ne peut être imposée par des solutions extérieures ou des compromis unilatéraux. Elle nécessite un dialogue authentique et respectueux entre les peuples, une reconnaissance des droits légitimes des Palestiniens, et un véritable engagement à mettre fin à l’occupation israélienne.

 
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L'alfa et l'omega de ce drame est l'occupation qui a phagocyté toute la Palestine du fait que les USA qui sont les inconditionnels de l'occupant ont bloqué l'application des résolutions de l'Onu et ont refusé de protéger les palestiniens de la terreur coloniale.

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Parmi les prétendues « réformes » exigées de l’Autorité palestinienne par Netanyahu le criminel de guerre Polonais, on trouve deux conditions dignes d’un manuel de dictature : interdire toute critique dans les médias et renoncer aux poursuites judiciaires devant la CPI et la CIJ.

Traduction : priver un peuple colonisé de ses droits humains élémentaires, à savoir dénoncer publiquement son bourreau, réclamer justice et demander des comptes. En clair, aucune résistance n’est tolérée, seulement la soumission et le silence.

Imaginez un dirigeant de n’importe quel État, annonçant devant le monde entier que la population qu’il colonise n’a plus le droit ni de s’exprimer, ni de saisir la justice internationale. On le qualifierait aussitôt de dictateur. Mais lorsqu’Israël impose cette insolence au peuple palestinien colonisé, la scène se déroule devant les caméras, sans honte et avec la complicité silencieuse de la communauté internationale.

Ça doit être ce que l’on appelle la démocratie coloniale.
 
Parmi les prétendues « réformes » exigées de l’Autorité palestinienne par Netanyahu le criminel de guerre Polonais, on trouve deux conditions dignes d’un manuel de dictature : interdire toute critique dans les médias et renoncer aux poursuites judiciaires devant la CPI et la CIJ.

Traduction : priver un peuple colonisé de ses droits humains élémentaires, à savoir dénoncer publiquement son bourreau, réclamer justice et demander des comptes. En clair, aucune résistance n’est tolérée, seulement la soumission et le silence.

Imaginez un dirigeant de n’importe quel État, annonçant devant le monde entier que la population qu’il colonise n’a plus le droit ni de s’exprimer, ni de saisir la justice internationale. On le qualifierait aussitôt de dictateur. Mais lorsqu’Israël impose cette insolence au peuple palestinien colonisé, la scène se déroule devant les caméras, sans honte et avec la complicité silencieuse de la communauté internationale.

Ça doit être ce que l’on appelle la démocratie coloniale.






Il y'avait bien au moins un piège...cette m.erde veut s'assurer de son impunité...Abbas le poulet déplumé n'a pas intérêt d'accepter de renoncer à le faire accuser par la CPI...

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Il y'avait bien au moins un piège...cette m.erde veut s'assurer de son impunité...Abbas le poulet déplumé n'a pas intérêt d'accepter de renoncer à le faire accuser par la CPI...

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Rien à tirer de positif d'un collabo genre Abbas, il peut changer d'orientation comme une girouette.
En tout cas, moins de 24 heures après la mise en scène d’un accord unilatéral présenté comme un compromis, le masque tombe. Netanyahu, criminel de guerre porté par son projet messianique du “Grand Israël”, dévoile la supercherie : Israël n’a aucune intention de se retirer de Gaza.

Ce pseudo-accord n’était qu’un outil cynique, une mise en scène destinée à manipuler les opinions arabes et musulmanes, avec pour seul objectif de récupérer leurs captifs. La réalité est limpide : la présence coloniale et militaire dans Gaza est appelée à durer, et l’occupation continue son cours destructeur.

Encore une fois, sous couvert de “négociations”, on ne fait que gagner du temps pour prolonger le génocide et renforcer l’ancrage d’un plan colonial prémédité.
TLM

 
Il y'avait bien au moins un piège...

En bref, ici comme ailleurs le désarmement de toute résistance aux projets israélo-américains est la priorité. C’est ce qui a été achevé en Irak. C’est ce qui est en train d’être appliqué à la Résistance libanaise et notamment dans le sud du Liban. Et c’est ce qui a été achevé en Syrie dès sa livraison, par un accord international, au terroriste Al-Joulani, néanmoins glorifié par l’ensemble des médias et gouvernements occidentaux à l‘occasion de la 80ème Assemblée générale des Nations unis. Et ce, alors qu’il figure toujours sur la liste du terrorisme international, et alors qu’en plus de la démolition des institutions syriennes, les massacres des Alaouites se poursuivent, les massacres des chrétiens reprennent, tandis que les massacres des Druzes assiégés par les milices d’Al-Joulani ont a priori cessé parce qu’Israël s’est opportunément posé en protecteur des Druzes au bout de 3 jours de tueries…
En bref, ce plan Trump-Netanyahou est en réalité destiné à poursuivre la guerre israélienne à Gaza et dans tous les Pays du Levant, quoi qu’en disent les partenaires européens et les financeurs arabes…

Ici, le dernier couloir sûr garanti par l’Amérique

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Rien à tirer de positif d'un collabo genre Abbas, il peut changer d'orientation comme une girouette.
En tout cas, moins de 24 heures après la mise en scène d’un accord unilatéral présenté comme un compromis, le masque tombe. Netanyahu, criminel de guerre porté par son projet messianique du “Grand Israël”, dévoile la supercherie : Israël n’a aucune intention de se retirer de Gaza.

Ce pseudo-accord n’était qu’un outil cynique, une mise en scène destinée à manipuler les opinions arabes et musulmanes, avec pour seul objectif de récupérer leurs captifs. La réalité est limpide : la présence coloniale et militaire dans Gaza est appelée à durer, et l’occupation continue son cours destructeur.

Encore une fois, sous couvert de “négociations”, on ne fait que gagner du temps pour prolonger le génocide et renforcer l’ancrage d’un plan colonial prémédité.
TLM



Encore 41 morts et des blessés...ce génocidaire et son protecteur narcissique psychopathe de Trump devraient se trouver à la CPI...

Le monde entier est impuissant à arrêter ce génocide par tueurs de kazars...et après on va dire c complotiste de dire qu'ils ont du pouvoir sur le monde

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Je te trouve bien optimiste 🤔

en effet... recdonnaître un état palestinien est à la baseun acte discretionnaire mais qui n'a en pratique pas d'effet contraignant. Tant qu'israel refusera catégoriquement de démanteler ses colonies illégales en cisjordanie pour "donner" un territoire à cet état Palestinien, rien ne changera. Israel est abonné à ne pas se soucier de la pression internationale ni du droit international.

Seul un changement de régime en Israel pourrait peutr-être créer les conditions favorables à l'amorce d'une solution à deux états. Mais il est clair que celle-ci doit se faire sans le hamas ni l'extrême-droite religieuse israélienne si on veut des garanties de pauix durables. Autant dire que ce n'est pas gagné.
 
Vivement la fin de règne de ces tarés, inventeurs des guerres preventives et autres théories fumeuses qui leur permettent leur domination impériale et violente dans le monde.
Ces tarés font tout pour éloigner cette échéance, mais tout empire aussi puissant que'il soit porte en lui les germes de sa propre destruction.
 
en effet... recdonnaître un état palestinien est à la baseun acte discretionnaire mais qui n'a en pratique pas d'effet contraignant. Tant qu'israel refusera catégoriquement de démanteler ses colonies illégales en cisjordanie pour "donner" un territoire à cet état Palestinien, rien ne changera. Israel est abonné à ne pas se soucier de la pression internationale ni du droit international.

Seul un changement de régime en Israel pourrait peutr-être créer les conditions favorables à l'amorce d'une solution à deux états. Mais il est clair que celle-ci doit se faire sans le hamas ni l'extrême-droite religieuse israélienne si on veut des garanties de pauix durables. Autant dire que ce n'est pas gagné.


Tant que les usa seront derrière bibi ou un autre bibi , il n y aura pas de Palestine

Et la paix viendra par la justice ( ni Trump ni bibi ou son gouvernement ne sont des personnes justes)

Ils peuvent asservir un peuple ( ce qu est ce plan au final ) , tôt ou tard celui là se rebellera encore
 
Je te trouve bien optimiste 🤔

Je peux me tromper

Il faut voir la salve de reconnaissances comme une étape essentielle et incontournable dans le processus qui amènera au dénouement
La dynamique est quand même lancée après une très longue période d'inertie par les alliés traditionnels d'Israel, que sont la France, USA, Canada...ça signe l'isolement diplomatique donc la faillite du régime
Si l'UE enclenche des sanctions, on peut espérer que la société civile demande des comptes à qui de droit.
 
Je peux me tromper

Il faut voir la salve de reconnaissances comme une étape essentielle et incontournable dans le processus qui amènera au dénouement
La dynamique est quand même lancée après une très longue période d'inertie par les alliés traditionnels d'Israel, que sont la France, USA, Canada...ça signe l'isolement diplomatique donc la faillite du régime
Si l'UE enclenche des sanctions, on peut espérer que la société civile demande des comptes à qui de droit.

Exact, mais cela reste non-contraignant. Ca accentue la pression sur Israel (mais s'en soucient-ils ?), mais ne les force en rien à céder du territoire colonisé en cisjordanie.
 
Je peux me tromper

Il faut voir la salve de reconnaissances comme une étape essentielle et incontournable dans le processus qui amènera au dénouement
La dynamique est quand même lancée après une très longue période d'inertie par les alliés traditionnels d'Israel, que sont la France, USA, Canada...ça signe l'isolement diplomatique donc la faillite du régime
Si l'UE enclenche des sanctions, on peut espérer que la société civile demande des comptes à qui de droit.


Je ne pense pas que l UE ira plus loin que une reconnaissance symbolique... 😕
 
Exact, mais cela reste non-contraignant. Ca accentue la pression sur Israel (mais s'en soucient-ils ?), mais ne les force en rien à céder du territoire colonisé en cisjordanie.

On ne switch pas de paradigme sur commande, du jour au lendemain
Il faut laisser le temps de digérer les nouvelles positions assumées des uns et des autres

Mais peut-être que je suis trop optimiste et que comme le pense @Lilawarda l'Europe n'ira pas jusque aux sanctions
 
On ne switch pas de paradigme sur commande, du jour au lendemain
Il faut laisser le temps de digérer les nouvelles positions assumées des uns et des autres

Mais peut-être que je suis trop optimiste et que comme le pense @Lilawarda l'Europe n'ira pas jusque aux sanctions

Il n'y a pas que l'Europe qui doit exercer des sanctions contre israël comme elle le fait déjà pour la Russie... C'est tout le monde arabo-musulman qui doit aussi le faire, ainsi que la Chine et les États-Unis...
Il n'y a pas de raison de toujours se focaliser sur l'Europe comme si elle était la seule à devoir réagir... Il faut aussi tristement constater qu'il est fréquent dans le monde arabo-musulman de faire primer ses intérêts commerciaux ou géopolitique avant la solidarité envers les Palestiniens. Cela mérite autant d'être condamné que l'absence de sanctions européennes.. '
 
Il n'y a pas que l'Europe qui doit exercer des sanctions contre israël comme elle le fait déjà pour la Russie... C'est tout le monde arabo-musulman qui doit aussi le faire, ainsi que la Chine et les États-Unis...
Il n'y a pas de raison de toujours se focaliser sur l'Europe comme si elle était la seule à devoir réagir... Il faut aussi tristement constater qu'il est fréquent dans le monde arabo-musulman de faire primer ses intérêts commerciaux ou géopolitique avant la solidarité envers les Palestiniens. Cela mérite autant d'être condamné que l'absence de sanctions européennes.. '

Tout le monde musulman devrait appliquer des sanctions, la solidarité ne devrait pas s'arrêter à l'ethnie
Ces sanctions n'auront jamais le même poids que celles formées par des alliés traditionnels - De plus, si nous souhaitons des sanctions de l'Europe - c'est aussi parce que elle s'est érigée en phare de l'humanité en matière des ddh.

Quant à espérer les sanctions de la part des USA , sans commentaire.....
 
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L'alfa et l'omega de ce drame est l'occupation qui a phagocyté toute la Palestine du fait que les USA qui sont les inconditionnels de l'occupant ont bloqué l'application des résolutions de l'Onu et ont refusé de protéger les palestiniens de la terreur coloniale.

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Les USA les maîtres du monde avec les Isra-hainiens en matières de faux de mensonges et de trahisons. Ces ruffians ont conclu plus de 800 traités de Paix avec les amérindiens quand leur armée de soudards était en peine face aux tribus amérindiennes. Tous ces traités n’ont duré que l’espace d’une illusion.

Dés que les criminels avaient troupes, canons et mitrailleuses, le traité était bafoué et le carnage se poursuivait.

Ainsi 90% des nations amérindiennes furent assassinées .

Satan est très fier d’eux !!! Cette fausse nation constituée de bric et de broc n’est qu’une faucheuse de vie à son service exclusif.
 
Les USA les maîtres du monde avec les Isra-hainiens en matières de faux de mensonges et de trahisons. Ces ruffians ont conclu plus de 800 traités de Paix avec les amérindiens quand leur armée de soudards était en peine face aux tribus amérindiennes. Tous ces traités n’ont duré que l’espace d’une illusion.

Dés que les criminels avaient troupes, canons et mitrailleuses, le traité était bafoué et le carnage se poursuivait.

Ainsi 90% des nations amérindiennes furent assassinées .

Satan est très fier d’eux !!! Cette fausse nation constituée de bric et de broc n’est qu’une faucheuse de vie à son service exclusif.


Ce que je sais avec certitude est que JAMAIS l'occident n'aurait laissé passer ne fut ce qu'un seul jour de ces massacres génocidaires si la situation était INVERSEE... à savoir un génocide par des arabes sur des juifs.

Une seule explication...la déshumanisation qui permet l'antisémitisme contre les arabes. Et la mainmise sur les politiques occidentaux qui décident.

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Doublon
Pour que les choses soient claires par rapport à l'impression que quelque chose acance en bien à Gaza

De nombreux bombardements ce mercredi 1 octobre, des centaines de martyrs et encore plus de blessés. Les corps sans vie sont entassés dans les hôpitaux, des lacs de sang se forment. Il n'y a pas de traitements pour soulager les blessés

Les gens de mon entourage pensent que la paix est proche depuis l'Europe suite au pseudo plan de Trump mais la situation n'a jamais été aussi horrible même si je le dis chaque jour. Les gazaouis que je connais pensent que c'est encore des mensonges et paroles en l'air de Trump, je n'en sais rien

Bombardements non-stop dans toute la bande de Gaza. La population est entassée et sans abri dans des zones sensées être sûres mais qui sont bombardées en continu, comme Deir al-Balah au centre, permettant à l'armée de génocidaires de tuer efficacement dans des lieux bondés comme des marchés.

Les gens n'ont pas accès à quoi que ce soit comme des WC par exemple

Gaza-ville au nord est en stade avancé de la concrétisation du génocide et est coupée du sud de la bande de Gaza au niveau de Netzarim par des tanks.

Le génocide et le nettoyage éthnique sont en pleine action. Non, pas de bonnes nouvelles
 
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