Ce sans-gêne qui draguait sa femme devant lui pendant le ftor
- Initiateur de la discussion AncienMembre
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- sans-gênes qui drague sa femme
A
AncienMembre
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Nous l’avons vu, jeudi soir Fayçal avait été victime d’un sommeil instantané et était rentré chez lui vers 3h du matin. Du coup, le lendemain matin, H. qui s'était levé à 7h30 pour aller au travail était très fatigué. D'autant plus qu'il avait passé une bonne partie de la nuit à cogiter et à tenter de se calmer.
Il avait les yeux rouges sang. Il aurait tellement voulu un bon café pour se réveiller. Mais malgré tout il avait le sourire ! Oh que oui il avait un large sourire. Il quitta son domicile en riant presque de bonheur. Il se rendit au travail en disant bonjour aux fleurs, bonjour aux oiseaux, bonjour à l'étang près duquel il passe tous les matins. Il sifflotait gaiement le long des allées qui le menaient à son bureau en inclinant la tête respectueusement quand il croisait des passants.
Arrivé au bureau, il criait bonjour à ses collègues et même à des gens qu’il ne connaissait pas. Il se montrait tellement agréable avec tout le monde. Il était tellement heureux ! En effet on était vendredi et le vendredi Fayçal rentrait chez lui, à 300 km de là pour aller rompre le jeune avec sa famille.
Oh quel bonheur ! H. pourrait enfin rompre le jeune en famille, profiter de sa petite femme qu’il prendrait dans ses bras toute la soirée et avec laquelle il danserait une valse ou un tango. Il la ferait rire en faisant un moonwalk le long du couloir après chaque bouchée de son plat préféré. Il se surprenait à sourire derrière son écran d'ordinateur en imaginant faire une bonne bataille de polochon. Et Pan ! Dans ta figure chérie ! C’est moi qu’a gagné.
C’est ainsi qu’il se mit à rêver toute la journée sans penser à lundi, jour maudit où Fayçal reviendrait. Il savourait sa liberté. Il humait l'air frais autour de lui . « Que c’est bon d’etre libre ! ».
Soudain à 17h30 son portable se mit à vibrer dans sa poche. BZZZZZZ … BZZZZZ. Il regarde son smartphone et s’écrie : « Oh non ? Mais c’est Fayçal ! Mais que diable me veut-il ! ». Il décroche :
- Allo Fayçal, ca va ?
- Allo Allo ! Salut Salut ! Oui je vais très bien. Je suis sortie du boulot depuis 17h et me suis dit que je préfèrais finalement manger chez toi le vendredi que rentrer, c’est tellement plus convivial. J’aime vraiment ces petits moments. Et puis les bon mets de ta femme, comment m’en passer ? hé hé
- Fils de p…euh tu es où là ?
- En bas de chez toi. Je peux monter tu penses où…
- Attends-moi !
A suivre
Il avait les yeux rouges sang. Il aurait tellement voulu un bon café pour se réveiller. Mais malgré tout il avait le sourire ! Oh que oui il avait un large sourire. Il quitta son domicile en riant presque de bonheur. Il se rendit au travail en disant bonjour aux fleurs, bonjour aux oiseaux, bonjour à l'étang près duquel il passe tous les matins. Il sifflotait gaiement le long des allées qui le menaient à son bureau en inclinant la tête respectueusement quand il croisait des passants.
Arrivé au bureau, il criait bonjour à ses collègues et même à des gens qu’il ne connaissait pas. Il se montrait tellement agréable avec tout le monde. Il était tellement heureux ! En effet on était vendredi et le vendredi Fayçal rentrait chez lui, à 300 km de là pour aller rompre le jeune avec sa famille.
Oh quel bonheur ! H. pourrait enfin rompre le jeune en famille, profiter de sa petite femme qu’il prendrait dans ses bras toute la soirée et avec laquelle il danserait une valse ou un tango. Il la ferait rire en faisant un moonwalk le long du couloir après chaque bouchée de son plat préféré. Il se surprenait à sourire derrière son écran d'ordinateur en imaginant faire une bonne bataille de polochon. Et Pan ! Dans ta figure chérie ! C’est moi qu’a gagné.
C’est ainsi qu’il se mit à rêver toute la journée sans penser à lundi, jour maudit où Fayçal reviendrait. Il savourait sa liberté. Il humait l'air frais autour de lui . « Que c’est bon d’etre libre ! ».
Soudain à 17h30 son portable se mit à vibrer dans sa poche. BZZZZZZ … BZZZZZ. Il regarde son smartphone et s’écrie : « Oh non ? Mais c’est Fayçal ! Mais que diable me veut-il ! ». Il décroche :
- Allo Fayçal, ca va ?
- Allo Allo ! Salut Salut ! Oui je vais très bien. Je suis sortie du boulot depuis 17h et me suis dit que je préfèrais finalement manger chez toi le vendredi que rentrer, c’est tellement plus convivial. J’aime vraiment ces petits moments. Et puis les bon mets de ta femme, comment m’en passer ? hé hé
- Fils de p…euh tu es où là ?
- En bas de chez toi. Je peux monter tu penses où…
- Attends-moi !
A suivre
A
AncienMembre
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PTDR @Talmozonte je t'assure que je n'invente rien ! Ce sont les mots de H. Je sais que c'est dur à croire et qu'on pourrait penser que j'invente mais cet énergumène existe bien !
Une fois, nous étions attablés au mariage d'un ami de la fac. Ce dernier, par charité musulmane, avait invité Fayçal. Il était assis à la même table que nous. Notre ami qui se mariait avait quitté le trône pour venir à notre table et bavarder avec nous. En partant il a appelé un serveur et lui a demandé de nous servir ce qu'on voulait : thé, café, boisson, gateau.
Le serveur vient nous voir et nous demande ce qu'on veut. Du coup, comme on est humain et poli, on comprenait que le serveur était débordé. On lui a demandé des choses simples : "Oh un café pour moi" ... " Moi un thé .." "Moi un jus d'orange et s'il n'y a pas maalich". Quand le tour de Fayçal est arrivé, il a assommé le serveur de question toutes aussi étranges les unes que les autres : "S'il vous plait, vous auriez des gateaux savoureux, pas trop sucré, avec un brin de cannelle et d'amandes ?" , "J'aurais également aimé des serviettes car vous le voyez je porte un pantalon dont le tissu se salit vite". Et wallah qu'on lui faisait la morale "Mais Fayçal arrete de faire tes manières. Tu vois bien que c'est pas le moment. Le gars miskine est perdu".
Le serveur revient quelques minutes après, nous tends nos commandes. Arrivé à Fayçal, ce dernier cri :"Ah ! Un gobelet ! Non s'il vous plait, mon café je ne le bois que dans des tasses en porcelaine", puis, en tendant sa tronche aux sourcils collés vers les gateaux : "ah mais vous m'avez mal compris, je ne veux pas ce type de gateau, ils ne sont pas savoureux. Ils sont durs..."
Et des scènes comme ca je pourrais vous en raconter plein.
Bon je vous livre la suite et fin de cette histoire avec H.
Une fois, nous étions attablés au mariage d'un ami de la fac. Ce dernier, par charité musulmane, avait invité Fayçal. Il était assis à la même table que nous. Notre ami qui se mariait avait quitté le trône pour venir à notre table et bavarder avec nous. En partant il a appelé un serveur et lui a demandé de nous servir ce qu'on voulait : thé, café, boisson, gateau.
Le serveur vient nous voir et nous demande ce qu'on veut. Du coup, comme on est humain et poli, on comprenait que le serveur était débordé. On lui a demandé des choses simples : "Oh un café pour moi" ... " Moi un thé .." "Moi un jus d'orange et s'il n'y a pas maalich". Quand le tour de Fayçal est arrivé, il a assommé le serveur de question toutes aussi étranges les unes que les autres : "S'il vous plait, vous auriez des gateaux savoureux, pas trop sucré, avec un brin de cannelle et d'amandes ?" , "J'aurais également aimé des serviettes car vous le voyez je porte un pantalon dont le tissu se salit vite". Et wallah qu'on lui faisait la morale "Mais Fayçal arrete de faire tes manières. Tu vois bien que c'est pas le moment. Le gars miskine est perdu".
Le serveur revient quelques minutes après, nous tends nos commandes. Arrivé à Fayçal, ce dernier cri :"Ah ! Un gobelet ! Non s'il vous plait, mon café je ne le bois que dans des tasses en porcelaine", puis, en tendant sa tronche aux sourcils collés vers les gateaux : "ah mais vous m'avez mal compris, je ne veux pas ce type de gateau, ils ne sont pas savoureux. Ils sont durs..."
Et des scènes comme ca je pourrais vous en raconter plein.
Bon je vous livre la suite et fin de cette histoire avec H.
Ahahaha... Mais d'où il sort celui-là !
Je pensais que c'était une histoire fictive depuis le début !
J'arrive pas à croire que ce genre de personne existe.
J'aurais été la femme de ton ami, je l'aurais mis à la porte moi même.
A
AncienMembre
Non connecté
Pour cette avant-dernière partie je vais donner la parole à H.
« Bon sang Septime, je déprimais. Soudain la fatigue que j’avais occultée toute la journée par le bonheur de vivre un premier ftor en famille est revenue peser de tout son poids sur mes épaules. Je repensais à ma femme à qui j’avais dit qu’on serait seuls ce soir. Je suis rentré chez moi, la tête baissée et en donnant des coups de pieds sur les canettes qui trainaient au sol. Une fois arrivé en bas de mon immeuble, je l’ai trouvé assis sur le perron avec son puta… a 3doubillah. Il portait son sachet tenu relax. Je lui ai demandé si il allait bien et il m’a répondu : « Oh que oui » et en pensant que ça me ferait plaisir il a ajouté « je dois t’avouer que je préfère manger ici que chez ma maman. Je me sens tellement bien chez toi. ». Puis comme il n’était que 18h nous sommes allés nous promener autour de l’étang jusqu’à l’heure du ftor. Il me parlait mais je ne l’écoutais qu’à moitié. Je luttais contre mon nefs. Je voulais tellement lui crier « Mais barre ta tronche ! J’en peux plus ! ». Mais c’est moi qui l’avait invité Septime, tu comprends ? Il fallait que j’assume.
Puis quand on est rentré à l’heure du ftor, comme d’habitude à peine avait-il traversé la porte qu’il est directement partie à la cuisine : « Salam Malika !! Hé oui, je viens encore manger ce soir. J’aime trop tes plats. Alors que nous concoctes-tu ce soir ? Mmmme ça sent si bon ! (Note de Septime : qu’est ce qui sentait si bon ? Le fumet ou le doux parfum de Malika ?) ». Malika lui répondit : « Ah Fayçal, je ne m’attendais pas à te voir. Va donc prendre place au salon auprès de H., je viens vous apporter tout ça. ». Et Fayçal d’abuser « Je ne vois pas de thermos de café, tu sais que j’aime le café. Je le désire bien chaud et bien serré. On peut se lâcher, demain c’est le week end ! ». Moi, j’étais assis au salon, le regard dans le vide en train de bercer la petite dernière. Puis il est arrivé (Note de Septime : Dis-le H., dis-le H. je sais que tu es trop pieux pour le dire : il est arrivé avec sa tronche tordue, aux sourcils larges et collés au-dessus de son énorme pif) et il a couru à la salle de bain pour faire sa toilette avant de venir s’assoir près de moi. Ma fille qui n’a que quatre ans s’est approchée de lui et a tendu sa main pour attraper un gâteau dans une assiette face à lui. Il lui a choppé le bras et a dit « oh mais tes mains ne sont pas propres. Vas près de ton père s’il te plaît. ».»
A suivre
« Bon sang Septime, je déprimais. Soudain la fatigue que j’avais occultée toute la journée par le bonheur de vivre un premier ftor en famille est revenue peser de tout son poids sur mes épaules. Je repensais à ma femme à qui j’avais dit qu’on serait seuls ce soir. Je suis rentré chez moi, la tête baissée et en donnant des coups de pieds sur les canettes qui trainaient au sol. Une fois arrivé en bas de mon immeuble, je l’ai trouvé assis sur le perron avec son puta… a 3doubillah. Il portait son sachet tenu relax. Je lui ai demandé si il allait bien et il m’a répondu : « Oh que oui » et en pensant que ça me ferait plaisir il a ajouté « je dois t’avouer que je préfère manger ici que chez ma maman. Je me sens tellement bien chez toi. ». Puis comme il n’était que 18h nous sommes allés nous promener autour de l’étang jusqu’à l’heure du ftor. Il me parlait mais je ne l’écoutais qu’à moitié. Je luttais contre mon nefs. Je voulais tellement lui crier « Mais barre ta tronche ! J’en peux plus ! ». Mais c’est moi qui l’avait invité Septime, tu comprends ? Il fallait que j’assume.
Puis quand on est rentré à l’heure du ftor, comme d’habitude à peine avait-il traversé la porte qu’il est directement partie à la cuisine : « Salam Malika !! Hé oui, je viens encore manger ce soir. J’aime trop tes plats. Alors que nous concoctes-tu ce soir ? Mmmme ça sent si bon ! (Note de Septime : qu’est ce qui sentait si bon ? Le fumet ou le doux parfum de Malika ?) ». Malika lui répondit : « Ah Fayçal, je ne m’attendais pas à te voir. Va donc prendre place au salon auprès de H., je viens vous apporter tout ça. ». Et Fayçal d’abuser « Je ne vois pas de thermos de café, tu sais que j’aime le café. Je le désire bien chaud et bien serré. On peut se lâcher, demain c’est le week end ! ». Moi, j’étais assis au salon, le regard dans le vide en train de bercer la petite dernière. Puis il est arrivé (Note de Septime : Dis-le H., dis-le H. je sais que tu es trop pieux pour le dire : il est arrivé avec sa tronche tordue, aux sourcils larges et collés au-dessus de son énorme pif) et il a couru à la salle de bain pour faire sa toilette avant de venir s’assoir près de moi. Ma fille qui n’a que quatre ans s’est approchée de lui et a tendu sa main pour attraper un gâteau dans une assiette face à lui. Il lui a choppé le bras et a dit « oh mais tes mains ne sont pas propres. Vas près de ton père s’il te plaît. ».»
A suivre
A
AncienMembre
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Ahahaha... Mais d'où il sort celui-là !
Je pensais que c'était une histoire fictive depuis le début !
J'arrive pas à croire que ce genre de personne existe.
J'aurais été la femme de ton ami, je l'aurais mis à la porte moi même.
Hahah je t'assure que c'est vrai !!
A
AncienMembre
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PTDR tu m'as tué hahahahahahhaha
J'ai eu du mal à finir cette histoire parce que la gêne montait en moi au fur et à mesure que H. devait réprimer son dégoût de son ami. Ce genre d'histoires me rendent mal à l'aise ! Lol
Mais rien à voir avec ton style, qui est très bien.
Mais rien à voir avec ton style, qui est très bien.
Aller la suite stp!
A
AncienMembre
Non connecté
Comme leur habitude, ils se mirent à manger. Fayçal qui mastiquait bruyamment se levait toutes les trois bouchées pour épousseter sa tenue relax. Par moment, il regardait le plafond et demandait la bouche pleine : « Mmmmm cette tarte au pomme ... y’a de l’amande dedans c’est ça ? Et y’a pas aussi un peu de noisettes ? ». L’épouse de H., d’une patience assez rare, je peux en témoigner, lui répondait nia à chaque fois : « Bien vu Fayçal, tout à fait. Ça te plaît ? ». Et Fayçal de lui répondre : « Mmmm c’est très très bon. Même s’il manque un peu de noisettes. Tu prendras garde la prochaine fois à en rajouter un peu. En tout cas c’est très savoureux et tu sais comme j’adore les pâtisseries savoureuses ! ». Puis il répétait, comme tous les soirs, les plats qu’il aimait en insistant sur le felfel tendre cuit à feu doux. 80% de sa conversation, il l’adressait à Malika, ignorant mon pote quand il essayait de rentrer dans la discussion.
Plus tard, il s’est permis de dire : « Malika, je prendrais bien le reste de tarte. Demain je mange chez ma grande sœur et je n’apprécie pas ses tartes. La tienne est vraiment délicieuse. J’aimerais en apporter à ma maman ce week end. Je peux ? ».
H. m’a confié qu’il voulait en manger le lendemain, pour le suhur. Il a accepté par dépit. Du coup, il était privé de tarte. Il n’allait pas demander à sa femme d’en refaire pour le lendemain. Sa femme s’était levée, et lui a emballé le reste de tarte dans du papier aluminium sous l’œil attentif de Fayçal qui veillait à ce qu’elle l’emballe correctement.
Une nouveauté à noter depuis l’arrivée de Fayçal qui en plus de manger au ftor, de prendre un encas après les tarawihs se permettait maintenant d’amener des parts de tartes et autres mets délicieux pour ses frères et sœurs.
C’est à ce moment je l’ai coupé et lui ai dit, les yeux rouges de larmes d’avoir tant rigolé : « Woullah khouya, si je ne devais pas rentrer, je serais resté ici toute la soirée pour que tu me racontes tout, c’est tellement marrant ! ». Et c’est ainsi que nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir bientôt. De ce que je sais, les anecdotes ci-dessus se sont reproduites durant tout le ramadan.
En rentrant ce soir là, j’ai tout de suite rompu la promesse que j’avais faite à H. J’ai appelé tout mon répertoire : « Hé les gars vous ne savez pas la dernière ! Faycal … Woullah faut que je vous raconte, il a fait craquer H. ! H. les gars ! Woullah qu’il me racontait en CRIANT ! Il criait de rage ! Ha ha mais bien entendu que je vais absolument tout vous raconter sans omettre le moindre détail sa mère. Mais bien entendu voyons. Je sors du squash avec J. Je rentre, petite douchette et da7ka au coin de feu. A toute. ».
FIN
Et vous les amis, franchement, vous auriez réagi comment face à un tel individu ? Vous auriez tenu votre promesse jusqu’au bout en l’invitant à manger tous les soirs ?
Plus tard, il s’est permis de dire : « Malika, je prendrais bien le reste de tarte. Demain je mange chez ma grande sœur et je n’apprécie pas ses tartes. La tienne est vraiment délicieuse. J’aimerais en apporter à ma maman ce week end. Je peux ? ».
H. m’a confié qu’il voulait en manger le lendemain, pour le suhur. Il a accepté par dépit. Du coup, il était privé de tarte. Il n’allait pas demander à sa femme d’en refaire pour le lendemain. Sa femme s’était levée, et lui a emballé le reste de tarte dans du papier aluminium sous l’œil attentif de Fayçal qui veillait à ce qu’elle l’emballe correctement.
Une nouveauté à noter depuis l’arrivée de Fayçal qui en plus de manger au ftor, de prendre un encas après les tarawihs se permettait maintenant d’amener des parts de tartes et autres mets délicieux pour ses frères et sœurs.
C’est à ce moment je l’ai coupé et lui ai dit, les yeux rouges de larmes d’avoir tant rigolé : « Woullah khouya, si je ne devais pas rentrer, je serais resté ici toute la soirée pour que tu me racontes tout, c’est tellement marrant ! ». Et c’est ainsi que nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir bientôt. De ce que je sais, les anecdotes ci-dessus se sont reproduites durant tout le ramadan.
En rentrant ce soir là, j’ai tout de suite rompu la promesse que j’avais faite à H. J’ai appelé tout mon répertoire : « Hé les gars vous ne savez pas la dernière ! Faycal … Woullah faut que je vous raconte, il a fait craquer H. ! H. les gars ! Woullah qu’il me racontait en CRIANT ! Il criait de rage ! Ha ha mais bien entendu que je vais absolument tout vous raconter sans omettre le moindre détail sa mère. Mais bien entendu voyons. Je sors du squash avec J. Je rentre, petite douchette et da7ka au coin de feu. A toute. ».
FIN
Et vous les amis, franchement, vous auriez réagi comment face à un tel individu ? Vous auriez tenu votre promesse jusqu’au bout en l’invitant à manger tous les soirs ?
A
AncienMembre
Non connecté
T'es allé jusqu'à la presque fin. Lit la dernière partie ci dessus. OUi par moment c'est lourd j'avoue. Mais vallah abi cette histoire est vraie. Bien entendu que j'ai modifié certains éléments.
A
AncienMembre
Non connecté
C'est quoi la tenue relax ?
Et je l'aurai accompagné moralement pour qu'il se mari à son tour si j'étais dans la situation de H.
Voila un gout d'inachevé!
J'aime pas la fin.
Tu nous laisse plantés au beau milieu de l'histoire.
A
AncienMembre
Non connecté
J'aime pas la fin.
Tu nous laisse plantés au beau milieu de l'histoire.
PTDR ... désolé. Il y'a pas vraiment de fin. C'est juste l'histoire d'un naif qui invite un sans gene qui à chaque fois abuse de plus en plus, va jusqu'à draguer sa femme etc...
A
AncienMembre
Non connecté
A
AncienMembre
Non connecté
C'est quoi la tenue relax ?
Et je l'aurai accompagné moralement pour qu'il se mari à son tour si j'étais dans la situation de H.
Quand je te lis, tu me fais penser à H.
Si j'avais su j'aurais pas lu.
J'aime pas les histoires inachevées.
C'est comme si tu me mettais un gâteau sous le nez et qu'au moment où je commence à déguster tu me le retire.
Par respect pour le temps consacré à l'écriture j'ai fini de lire, dommage il n'y pas de chute finale.
Si c'est vrai H. n'est pas un homme il n'a jamais agi, jamais parlé, et je ne connaissais pas ces invitations pour le ramadan où le type débarque tous les jours dès 18h chez la famille de son hôte.
H aurait pu sortir des feintes: "viens juste pour l'heure du ftour", "ma femme est fatiguée cette semaine pour cuisiner donc débrouille toi", ou "ce soir on mange que toi et moi au resto", ou dire "ce soir c'est pas possible". Ou tout simplement le recadrer franchement.
H n'est pas un homme mais toi non plus; tu as pris du plaisir à écouter les malheurs d'un ami et t'as pris un second plaisir à aller tout raconter à d'autres.
A
AncienMembre
Non connecté
En faite les histoires dans la realité ne s'achevent jamais. C'est pas une histoire inventée. C'est vraiment l'histoire d'un sans gene qui draguait sa femme pdt le ftor.
Le mec a prit son mal en patience. C'est les histoire que vivent plein de gens ojd. Ils vivent des situations familiales difficiles et prennent sur eux. H. a sbar, s'est habitué a faire ses balades avec lui avant le ftor. Et les choses qui irritent au debut finissent pas disparaitre avec l'habitude.
Faycal est tres louche. Il a pas de filtres. Il est naif, chiant en plus d'etre pas futé. Ca donne des situations marrantes.
Franchement bcp pensent qu'ils auraient ragis differement. Je ne suis pas certain...
A
AncienMembre
Non connecté
Comme dit, il faut vivre la situation. On est tous conditionné par la politesse. Je suis pas certain que tu aurais reagis differement.
Sur la fin, keep it cool, deux choses : il y'a pire comme malheur et j'ai pas rompu un pacte de fou.
Tu voulais dire Fayçal
Tu penses que la plupart des mecs laisseraient sans broncher des sans-gênes pénétrer leur intimité, draguer leur femme, le moquer devant elle etc sans strictement rien faire? Il y a eu des bagarres et des amitiés rompues pour moins que ça.
Ce que je ne comprends pas c'est que tu as décrit 2 types de personnalités très différentes, dont un soi-disant pieux que je vois très mal laisser sa femme en présence d'un autre mec 6 heures par jour tous les soirs pendant un mois entier.
Quant au principe du tberguig je sais que c'est culturel pour certains.
A
AncienMembre
Non connecté
Amine, et qu'Il rende ces valeurs contagieuses sur bladi !
A
AncienMembre
Non connecté
Amine ! Mais il faut comprendre ceux qui n'ont pas ta force de caractere.
Pour etre honnete, Faycal me deteste pck je lui parle mechant. Je suis trop agressif dans mon approche.
Le juste milieu. H. a manqué de caractere c'est certain mais ses intentions etaient bonnes.