Les abrutis manipulés sont toujours complètements ****, je t'avoue que hier soir, tu m'a bien diverti avec cette histoire et je t'en remercie
@Bjorn
Si tu es fan
Des activistes se collent au sol d'un garage, le patron les laisse 42h sans chauffage ni lumière
Des militants écologistes se sont collés au sol de l'Autostadt - un musée et un showroom dédiés à la marque Porsche - de Wolfsburg (Allemagne) pour protester contre la carbonisation du secteur automobile. Le patron ne les a complètement ignorés, les laissant sans chauffage, ni lumière, ni accès aux toilettes pendant... 42 heures.
Depuis plusieurs mois, des activistes de différentes associations font la Une des médias.
Militante accrochée au filet à Roland-Garros, activistes qui bloquent la route du Tour de France,
tableaux de grands peintres recouverts de peinture...
Les actions passent rarement inaperçues, sauf quand elles sont... ratées. Lors du dernier PSG-Marseille, un militant a voulu s'attacher au poteau d'un but au Parc des Princes, mais la réactivité du service du sécurité de l'enceinte parisienne a fait échouer son plan. Forcément, quand l'interruption n'est presque pas perceptible à l'écran, l'action a moins de chance de marquer les esprits.
Ils se collent au sol du musée Porsche
En Allemagne, une action menée le 19 octobre dernier a tourné au fiasco,
comme le rapportent nos confrères de Blick. Des universitaires, membres du groupe Scientist Rebellion, avaient décidé de se coller au sol d'une salle d'exposition du musée Porsche de Wolfsburg.
Sur les quinze activistes, neuf ont ainsi collé l'une de leur main au sol pour protester contre la carbonisation du secteur automobile.
Problème : ni les employés ni leur patron n'ont réellement prêté attention à cette action coup de poing.
Piégés pendant 42 heures au musée
A la fin de la journée de travail, le patron a éteint les lumières, le chauffage, et fermé les toilettes, laissant les activistes livrés à eux-mêmes, refusant même de leur laisser un seau pour pouvoir uriner pendant la nuit. 42 heures plus tard, il est venu rouvrir le musée et c'est seulement à ce moment-là qu'il a choisi d'appeler la police.
A lire aussi. Un patron exige un CV pour le stage de 3e de son fils, la maman s’en charge et c’est très drôle !
Près de deux jours plus tard donc, les militants ont été "libérés" par la police... pour être placés en garde à vue. Gianluca Grimalda, l'un des activistes présents sur place, s'est plaint sur Twitter de cette action, car sa main a enflé à cause de ces 48 h passées dans une position pour le moins délicate.
Des caillots
"potentiellement mortels", selon les médecins, s'étaient formés dans sa main. Il a donc dû être emmené à l'hôpital.