didadoune
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Google Maps a changé la façon de se déplacer de milliers d’utilisateurs. C’est ce qu’a voulu dénoncer un artiste berlinois, Simon Weckert, en créant un faux embouteillage.
Des cartes complètes, facilement accessibles, des itinéraires spécifiques aux différents moyens de transport, et même le trafic en temps réel. L’outil de navigation qui compte un milliard d’utilisateurs actifs par mois a construit une expérience utilisateur qui dépasse la simple localisation.
Le pouvoir de Google, notamment à travers Maps, influence des millions de consommateurs dans le monde et soulève de nombreuses questions, notamment d’ordre éthique.
Une foule de nouvelles entreprises, expériences et mentalités se sont développées autour de la possibilité de zoomer et dézoomer aux quatre coins de la planète, de se promener virtuellement dans les rues ou de programmer des itinéraires. L’une des fonctions qui est montée en puissance ces dernières années, c’est la possibilité de visualiser le trafic en temps réel et d’avoir des itinéraires qui s’adaptent à ces embarras de circulation.
Une fonctionnalité que Google a développée notamment grâce au rachat de Waze en 2013. Google Maps a, au fil du temps, intégré certaines des fonctionnalités de monitoring du trafic en temps réel dans sa propre application. Et il faut dire qu’en quelques années ces applications sont devenues incontournables pour beaucoup d’automobilistes forcés de se déplacer dans des villes toujours plus embouteillées.
L’humoriste française Florence Foresti parle d’ailleurs de l’application Waze, comme d’une religion. "Mais Waze, c’est Dieu ! Discuter avec Waze sur le meilleur itinéraire, c’est comme discuter avec Einstein sur la théorie de la relativité !".
Mais contrairement à Waze, qui diffuse en partie ses informations routières grâce à des échanges de données des utilisateurs, Google Maps peut utiliser des systèmes automatisés qui tiennent compte, par exemple, du volume d’utilisateurs de l’app qui consultent les informations routières à un endroit ou à un moment donné.
L’artiste trompe Google Maps avec un chariot rempli de smartphones
Face à cette omniprésence de la technologie et au pouvoir des géants de la tech, Google en tête, un artiste berlinois qui a un penchant pour la technologie et le monde numérique a tenté une expérience originale dans les rues de sa ville.
Des cartes complètes, facilement accessibles, des itinéraires spécifiques aux différents moyens de transport, et même le trafic en temps réel. L’outil de navigation qui compte un milliard d’utilisateurs actifs par mois a construit une expérience utilisateur qui dépasse la simple localisation.
Le pouvoir de Google, notamment à travers Maps, influence des millions de consommateurs dans le monde et soulève de nombreuses questions, notamment d’ordre éthique.
Une foule de nouvelles entreprises, expériences et mentalités se sont développées autour de la possibilité de zoomer et dézoomer aux quatre coins de la planète, de se promener virtuellement dans les rues ou de programmer des itinéraires. L’une des fonctions qui est montée en puissance ces dernières années, c’est la possibilité de visualiser le trafic en temps réel et d’avoir des itinéraires qui s’adaptent à ces embarras de circulation.
Une fonctionnalité que Google a développée notamment grâce au rachat de Waze en 2013. Google Maps a, au fil du temps, intégré certaines des fonctionnalités de monitoring du trafic en temps réel dans sa propre application. Et il faut dire qu’en quelques années ces applications sont devenues incontournables pour beaucoup d’automobilistes forcés de se déplacer dans des villes toujours plus embouteillées.
L’humoriste française Florence Foresti parle d’ailleurs de l’application Waze, comme d’une religion. "Mais Waze, c’est Dieu ! Discuter avec Waze sur le meilleur itinéraire, c’est comme discuter avec Einstein sur la théorie de la relativité !".
Mais contrairement à Waze, qui diffuse en partie ses informations routières grâce à des échanges de données des utilisateurs, Google Maps peut utiliser des systèmes automatisés qui tiennent compte, par exemple, du volume d’utilisateurs de l’app qui consultent les informations routières à un endroit ou à un moment donné.
L’artiste trompe Google Maps avec un chariot rempli de smartphones
Face à cette omniprésence de la technologie et au pouvoir des géants de la tech, Google en tête, un artiste berlinois qui a un penchant pour la technologie et le monde numérique a tenté une expérience originale dans les rues de sa ville.