Le ministre démissionnaire de lÉnergie, Gebran Bassil, a lancé mardi la session visant à présenter les conditions de l'appel d'offres pour l'exploitation du gaz et du pétrole dans les eaux territoriales libanaises. La cérémonie, qui a commencé à 9h à lhôtel Phoenicia, à Beyrouth, doit prendre fin vers 13h.
Cette première mesure historique permettra au Liban, après la phase de lappel doffres qui se prolongera six mois, de finaliser les contrats durant le premier trimestre de 2014, les opérations de prospection devant commencer lannée suivante ou au cours du dernier trimestre de 2014.
"Nous avons jusque-là effectué des études sismiques en 3D sur plus de 70% de notre zone exclusive d'exploitation (ZEE), a affirmé M. Bassil. Nous pensions avoir seulement du gaz dans le sud de la ZEE, mais nous avons aussi du pétrole. (...) Nous avons commencé avec très peu de ressources, mais nous espérons que nous réaliserons dimportants bénéfices dans un futur proche afin dinvestir dans les infrastructures libanaises et régler une part de notre dette publique". Le ministre a précisé qu'une partie des revenus sera affectée à un fonds souverain.
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"Le Liban est sur le point de devenir un Etat pétrolier, a encore déclaré le ministre démissionnaire. Nous ne permettrons à personne de nous empêcher d'exploiter nos ressources".
Durant cette séance, le ministre va notamment définir les blocs ouverts à appel d'offres et les conditions de partage des revenus.
Quarante-six groupes internationaux ont été qualifiés le 18 avril dernier pour participer à un appel d'offres pour des forages d'exploration de gaz et de pétrole dans les eaux territoriales du Liban.
Parmi ces sociétés, 12 -dont ExxonMobil, Shell et Total- ont été sélectionnées pour participer à l'appel d'offres en tant qu'opérateurs, les 34 autres n'étant éligibles qu'à participer à un consortium mené par une autre entreprise.
Le lancement de l'appel d'offres a été fixé au 2 mai.
Les 12 candidats pour devenir opérateurs sont les Américaines Anadarko, Chevron et ExxonMobil, Total (France), Repsol (Espagne), Shell (Pays-Bas), Maersk (Danemark), Eni (Italie), Petrobras (Brésil), Petronas Carigali (Malaisie), Statoil (Norvège) et Inpex (Japon). Les 34 autres compagnies comptent des sociétés russes et arabes.
Cette première mesure historique permettra au Liban, après la phase de lappel doffres qui se prolongera six mois, de finaliser les contrats durant le premier trimestre de 2014, les opérations de prospection devant commencer lannée suivante ou au cours du dernier trimestre de 2014.
"Nous avons jusque-là effectué des études sismiques en 3D sur plus de 70% de notre zone exclusive d'exploitation (ZEE), a affirmé M. Bassil. Nous pensions avoir seulement du gaz dans le sud de la ZEE, mais nous avons aussi du pétrole. (...) Nous avons commencé avec très peu de ressources, mais nous espérons que nous réaliserons dimportants bénéfices dans un futur proche afin dinvestir dans les infrastructures libanaises et régler une part de notre dette publique". Le ministre a précisé qu'une partie des revenus sera affectée à un fonds souverain.
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"Le Liban est sur le point de devenir un Etat pétrolier, a encore déclaré le ministre démissionnaire. Nous ne permettrons à personne de nous empêcher d'exploiter nos ressources".
Durant cette séance, le ministre va notamment définir les blocs ouverts à appel d'offres et les conditions de partage des revenus.
Quarante-six groupes internationaux ont été qualifiés le 18 avril dernier pour participer à un appel d'offres pour des forages d'exploration de gaz et de pétrole dans les eaux territoriales du Liban.
Parmi ces sociétés, 12 -dont ExxonMobil, Shell et Total- ont été sélectionnées pour participer à l'appel d'offres en tant qu'opérateurs, les 34 autres n'étant éligibles qu'à participer à un consortium mené par une autre entreprise.
Le lancement de l'appel d'offres a été fixé au 2 mai.
Les 12 candidats pour devenir opérateurs sont les Américaines Anadarko, Chevron et ExxonMobil, Total (France), Repsol (Espagne), Shell (Pays-Bas), Maersk (Danemark), Eni (Italie), Petrobras (Brésil), Petronas Carigali (Malaisie), Statoil (Norvège) et Inpex (Japon). Les 34 autres compagnies comptent des sociétés russes et arabes.