Guerre sur gab ou les limites du pseudo sur le net

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion morjani
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Vu que les maitres du pays ont censuré massivement sur FB, youtube, twitters... nous vivons une sorte de migration des exclus vers d'autres RS comme gab.
Le problème est que bien évidement les teams sionistes les ont suivi et ils ont eu la perfide idée de prendre les pseudo qu'avaient les censurés et exclus sur twitters.
Du coup le migrant du net arrive sur gab et découvre que son pseudo avec lequel il était connu et pour certains des centaines de milliers de followers est pris et que c'est un sioniste qui va rafler la mise des flwrs en se faisant passer pour lui.
Du coup c'est la guerre, des pseudo apparaissent mettant en garde contre leurs anciens pseudo prétendant qu'ils ont été pillé...le problème est évidement qu'on ne sait plus qui est réellement qui :D
Quand certains croyaient qu'une identité pouvait se résumer à un pseudo et que la politique réelle pouvait se faire sur le net et bien la réalité ramène violemment sur terre.
Sion a réussi son coup, les taupes sont partout ! :D


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Vu que les maitres du pays ont censuré massivement sur FB, youtube, twitters... nous vivons une sorte de migration des exclus vers d'autres RS comme gab.
Le problème est que bien évidement les teams sionistes les ont suivi et ils ont eu la perfide idée de prendre les pseudo qu'avaient les censurés et exclus sur twitters.
Du coup le migrant du net arrive sur gab et découvre que son pseudo avec lequel il était connu et pour certains des centaines de milliers de followers est pris et que c'est un sioniste qui va rafler la mise des flwrs en se faisant passer pour lui.
Du coup c'est la guerre, des pseudo apparaissent mettant en garde contre leurs anciens pseudo prétendant qu'ils ont été pillé...le problème est évidement qu'on ne sait plus qui est réellement qui :D
Quand certains croyaient qu'une identité pouvait se résumer à un pseudo et que la politique réelle pouvait se faire sur le net et bien la réalité ramène violemment sur terre.
Sion a réussi son coup, les taupes sont partout ! :D


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À qui le dis-tu! On y trouve même un propagandiste sioniste sous le pseudo de Piyale et un autre militant LGBTQ sous le pseudo morjani. :joueur:
 
Gab is an English-language social media website known for its far-right userbase.
The site has been widely described as a safe haven for extremists including neo-Nazis, white supremacists, and the alt-right.


Et bien qui veut aller sur un site d'extrême droite plein de néo nazis et de suprématistes blancs ?
figurez vous que les pijales et autres morjanis veulent y aller, mais qu'on t ils donc en commun avec l'extrême droite raciste ?

question à 100 francs :D:indigne:
 
Gab is an English-language social media website known for its far-right userbase.
The site has been widely described as a safe haven for extremists including neo-Nazis, white supremacists, and the alt-right.


Et bien qui veut aller sur un site d'extrême droite plein de néo nazis et de suprématistes blancs ?
figurez vous que les pijales et autres morjanis veulent y aller, mais qu'on t ils donc en commun avec l'extrême droite raciste ?

question à 100 francs :D:indigne:
C'est ce que j'ai toujours dit, la source principale de "reinformation" de @morjani est constituée par la nébuleuse islamophobe americano-likudnik.
 
c'est vraiment bizarre de ne pas se rendre compte de la contradiction à aller fréquenter des sites extrémistes, racistes et suprématistes blancs !
Encore une tromperie perfide de ta part. Tu n'as aucune honnêteté, diffamer c'est comme bonjour chez toi.
GAB est un RS libre il est donc normal que tout le monde s'y trouve meme des sionistes comme toi.
 
Jazakallahu kheir a lalla @cuty-pie

Gab is an English-language social media website known for its far-right userbase. The site has been widely described as a safe haven for extremists including neo-Nazis, white supremacists, and the alt-right.

Gab est un site Web de médias sociaux de langue anglaise connu pour sa base d'utilisateurs d'extrême droite. Le site a été largement décrit comme un refuge sûr pour les extrémistes, y compris les néo-nazis, les suprémacistes blancs et l'alt-right.
La population de la plate-forme est principalement 'conservatrice, masculine et caucasienne'. En 2018, les utilisateurs les plus suivis du site comprenaient des personnalités d'extrême droite de premier plan telles que Richard B. Spencer, Mike Cernovich et Alex Jones.

L'antisémitisme est une partie importante du contenu du site , et la société elle-même s'est engagée dans des commentaires antisémites sur Twitter. Les chercheurs ont écrit que Gab est 'connu pour être haineux'.

Après la fusillade de la synagogue de Pittsburgh en octobre 2018, Robert Gregory Bowers, le seul suspect, a publié un message sur Gab indiquant une intention immédiate de faire du mal . Bowers avait l'habitude de publier des messages antisémites extrêmes sur le site.

En juillet 2019, Gab a fait passer son infrastructure logicielle à une branche de Mastodon, une plate-forme de réseau social gratuite et open-source. Mastodon a publié une déclaration de protestation, dénonçant Gab comme essayant de monétiser le racisme sous prétexte de liberté d'expression.
 
Tu crois que je vais croire une personne qui ment malheureusement très souvent et qui diffame les autres?

je ne vois pas pourquoi je mentirais je n'ai aucune envie d'aller sur un site raciste suprématiste blanc
cuty-pie et 3roubi ont très bien expliqué de quoi il retourne.
 
Richard B. Spencer, un type de l'alt-right est un habitué de GAB.

“Hail Trump, hail our people, hail victory !”, c’est en ces termes que Richard B. Spencer, le président du National Policy Institute – un think tank de la mouvance de l’Alt Right fondé en 2005 –, a accueilli la victoire de Trump lors d’une conférence organisée à Washington le 19 novembre, rapporte le site internet du magazine The Atlantic.
Pendant la majeure partie de la conférence, les orateurs se sont succédé “pour discuter de leur idéologie dans des termes relativement anodins”, explique le site.
Mais, après le dîner, alors que la plupart des journalistes couvrant l’événement étaient partis, Richard Spencer s’est levé et a prononcé un discours “émaillé de propos antisémites et d’expressions de sinistre mémoire comme "Lügenpresse" (la presse mensongère), expression utilisée par les nazis pour décrire les médias allemands de l’époque”.
Puis, il a conclu son discours en déclarant : “L’Amérique était il y a encore une génération, un pays blanc fait pour nous et pour assurer notre prospérité. C’est notre création, notre héritage et elle nous appartient”.
Et son auditoire “d’applaudir, de se réjouir et de faire des saluts nazis enthousiastes”, souligne The Atlantic.
 
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