En octobre 2013, lors d'un spectacle, il invective l'ancienne ministre
Nadine Morano, déclenchant alors de nombreux commentaires dans les médias. Attaqué en justice par cette dernière, il est relaxé par le tribunal de Nancy. Le
7 juin 2017 la
cour de cassation déboute Nadine Morano de ses poursuites contre Guy Bedos.
À la
primaire citoyenne de 2017, il soutient
Arnaud Montebourg et déclare : « Je trouve que
Manuel Valls est de gauche comme je suis d'extrême droite. Il y a des tas de choses qui m'ont déplu dans son comportement quand il était Premier ministre et même ministre de l'Intérieur. » Initialement nommé à la tête du comité de soutien de Montebourg, Bedos commence par refuser de le présider, puis accepte, avant de renoncer définitivement. Il intervient de nouveau, de manière impromptue selon lui, lors de son dernier meeting parisien avant le premier tour, déclarant qu’il était « de gauche mais pas socialiste ».
À cette occasion, il rappelle qu’il est contre le racisme sous toutes ses formes, tout en précisant :
« Mais je ne suis pas toujours d’accord avec la façon dont mes amis musulmans traitent les femmes. Je le dis. Je m’en fous si ça déplaît à certains »
Guy Bedos vient soutenir
Jean-Luc Mélenchon, qu'il avait déjà soutenu à l’élection présidentielle de 2012
38, à la marche pour la VIe République de
La France insoumise, le 18 mars 2017
39. Il vote pour
Emmanuel Macron au second tour de la
présidentielle, considérant que battre le
Front national est « une urgence absolue ».
Il signe une pétition en soutien à
Gérard Filoche, exclu du
Parti socialiste à la suite d'un tweet jugé antisémite, en soulignant l'« atteinte portée à l’honneur d’un militant qui a consacré sa vie entière à défendre les libertés syndicales et le Code du travail, à lutter contre le racisme et l’antisémitisme».