WellahCvrais
A tout jamais
La prestigieuse ville touristique de Hammamet est nostalgique de ses touristes algériens qui lont désertée cette année pour dautres destinations, suscitant les interrogations des habitants sur les motifs de cette absence. Bien que les autorités tunisiennes aient qualifié la saison estivale 2011 de « catastrophique », le directeur général de loffice national tunisien du tourisme, Habib Amar, demeure « très confiant » quant à la possibilité de rétablir la situation durant le deuxième semestre de lannée en cours, et ce, en dépit du recul des indices du secteur touristique en Tunisie.
En effet, le deuxième semestre de lannée représente 60 à 70% des revenus générés par le tourisme, selon lui. M. Amar relève, cependant, que la dépendance aux marchés extérieurs compte parmi les problèmes structurels, dont souffre le tourisme tunisien, qui na accordé que peu dintérêt aux marchés intérieur et maghrébin, une question qui, a-t-il dit, « sera prise en considération à lavenir ». Kaïs Rahmani, officier de police à la ville de Hammamet, affirme, pour sa part, que les services de sécurité tunisiens ont reçu des « instructions » pour veiller au bien-être des citoyens maghrébins, notamment algériens, et leur assurer, en plus de lassouplissement des mesures administratives, protection et aide.
Pas « dagression » de touristes algériens
Lofficier tient à cette occasion à démentir « formellement » les rumeurs « tendancieuses » diffusées par certains médias, selon lesquelles des touristes algériens auraient été victimes dagressions. « Toutes les conditions sont réunies pour assurer un séjour agréable aux visiteurs algériens dans leur deuxième patrie, la Tunisie », ajoute-t-il. « Si les touristes algériens ont renoncé à venir passer leurs vacances en Tunisie en raison de ces rumeurs, les européens, par contre, ont reçu des mises en gardes de la part de leurs gouvernements leur conseillant de ne pas se rendre en Tunisie après la révolution populaire qua connue le pays », explique-t-il à propos des causes ayant induit une réduction du nombre de touristes européens. Les agences de voyage nont pas voulu prendre de risques
Le directeur commercial de lhôtel « Venicia », M. Ghazi Al Riahi, estime, quant à lui, que la diminution du nombre de touristes algériens est due à lattitude des tour-opérateurs et des agences de voyage qui nont pas voulu prendre le risque dorganiser des voyages touristiques vers la Tunisie, sans chercher à savoir, selon lui, « ce qui en est réellement des conditions sécuritaires » dans le pays, optant pour la destination Turquie. Il croit, toutefois, que cette situation est « exceptionnelle » et que, très vite, tout rentrera dans lordre.
En effet, le deuxième semestre de lannée représente 60 à 70% des revenus générés par le tourisme, selon lui. M. Amar relève, cependant, que la dépendance aux marchés extérieurs compte parmi les problèmes structurels, dont souffre le tourisme tunisien, qui na accordé que peu dintérêt aux marchés intérieur et maghrébin, une question qui, a-t-il dit, « sera prise en considération à lavenir ». Kaïs Rahmani, officier de police à la ville de Hammamet, affirme, pour sa part, que les services de sécurité tunisiens ont reçu des « instructions » pour veiller au bien-être des citoyens maghrébins, notamment algériens, et leur assurer, en plus de lassouplissement des mesures administratives, protection et aide.
Pas « dagression » de touristes algériens
Lofficier tient à cette occasion à démentir « formellement » les rumeurs « tendancieuses » diffusées par certains médias, selon lesquelles des touristes algériens auraient été victimes dagressions. « Toutes les conditions sont réunies pour assurer un séjour agréable aux visiteurs algériens dans leur deuxième patrie, la Tunisie », ajoute-t-il. « Si les touristes algériens ont renoncé à venir passer leurs vacances en Tunisie en raison de ces rumeurs, les européens, par contre, ont reçu des mises en gardes de la part de leurs gouvernements leur conseillant de ne pas se rendre en Tunisie après la révolution populaire qua connue le pays », explique-t-il à propos des causes ayant induit une réduction du nombre de touristes européens. Les agences de voyage nont pas voulu prendre de risques
Le directeur commercial de lhôtel « Venicia », M. Ghazi Al Riahi, estime, quant à lui, que la diminution du nombre de touristes algériens est due à lattitude des tour-opérateurs et des agences de voyage qui nont pas voulu prendre le risque dorganiser des voyages touristiques vers la Tunisie, sans chercher à savoir, selon lui, « ce qui en est réellement des conditions sécuritaires » dans le pays, optant pour la destination Turquie. Il croit, toutefois, que cette situation est « exceptionnelle » et que, très vite, tout rentrera dans lordre.