Harlem désir recasé : 122 195 euros par an à l’osce (onu)

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La mafia et le business de la discrimination voulue . Les "races" n'existent pas .
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La reconversion douillette d’un traître à la Nation
Voilà qui va écœurer les Français qui souffrent : un incompétent, apparatchik socialiste qui a vécu sur le dos de la Bête pendant des décennies, ne produisant rien de constructif pour la Nation, bien au contraire, après une veste électorale sans précédent, se rattrape aux branches et touche un confortable salaire dans une institution internationale.
Ces personnalités politiques inutiles et parfois nuisibles savent comment se reconvertir après avoir bien profité de la République. Harlem Désir, c’est l’homme de paille de SOS Racisme, choisi pour sa couleur locale par les vrais ingénieurs sociaux de la France des années Mitterrand. Orateur médiocre, politicien de bas étage, mouillé dans un tas d’affaires, il aura été utilisé dans la fonction symbolique de « chance pour la France ». Lui a bien profité de l’imposture antiraciste, et pour cela, a été récompensé en fin de carrière. Les banlieues, elles, en sont toujours au même point, 30 ans après SOS " Racisme". Preuve que l’antiracisme ne leur a rien (r)apporté.
Concrètement, Désir sera « représentant pour la liberté des médias au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe », un truc de hauts parasites à l’image du Conseil économique et social chez nous, qui sert à recaser les incasables. Dernier parachutage doré en date, l’ex-ministre de la Santé défaillante Marisol Touraine bénéficiera des largesses pécuniaires de la République. Le sacrifice pour la Nation et le bien public a ses limites…
Tout cela étant bien évidemment payé avec les impôts des peuples français ou européen. Parions que Harlem SOS Racisme Désir a bien utilisé son avant-dernier poste de secrétaire d’État aux Affaires européennes dans le gouvernement socialiste précédent pour dénicher cette planche de salut. Alors que l’Assemblée LREM est en train de discuter de la « moralisation de la vie politique », un magnifique exemple d’amoralisation jaillit sous nos yeux.
 
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