Affaire Ramadan : la première plaignante fait évoluer sa version des faits (msn.com), 29 Mai 2018.
Se tromper de jour, ça pourrait passer, mais se tromper de lieu, c’est louche ; elle n’est pas claire.
La suite au lien plus haut.L’article à dit:Réentendue la semaine dernière par les enquêteurs, Henda Ayari décrit toujours un viol, mais il ne se serait plus passé à la date ni à l’endroit qu’elle avait indiqué au départ, révèle mardi franceinfo.
Se tromper de jour, ça pourrait passer, mais se tromper de lieu, c’est louche ; elle n’est pas claire.