Les Juifs de l'europe ne sont rejetés que dans ta pensée. Les Juifs de l'europe ont contribué au developement economique et scientifique de ce continent, des Freuds, des Einsteins c'est pas les musulmans qui les ont. Moi j'ai pas de complexe d'inferiorité envers les blancs comme toi tu l'a cher musulman. Le fait que tu parle de race prouve que t'est complexé, va te soigner mec.
complexe je pense pas
je suis pas theodore hertzl
mais en se qui concerrne les nazi il se foutent de tes eistein et freud pour eux les juif ne sont pas europeen
laryen na rien a voir avec les semite
tien je me rapelle dun certain serge ayoub qui cest allier avec alain soral contre le peril juif
mais bon moi je nest rien contre les juif mais jaurait pour sur aucune compassion sur se qui va arriver on le voit
come la dit hilter pere du nazisme que tu soutien
"L'Aryen fut vraisemblablement d'abord un nomade et
ne devint sédentaire qu'au cours
des âges, mais parce qu'il n'était pas un Juif ! Non, le Juif n'est pas un nomade, car le
nomade a déjà du « travail » une conception d'où peut résulter une évolution ultérieure
si les conditions intellectuelles préalables viennent à être remplies. Il y a chez lui un
fond d'idéalisme, bien qu'assez mince ; aussi sa nature peut paraître étrangère aux
peuples aryens, sans pourtant leur être antipathique.
Une telle conception est
inconnue aux Juifs ; aussi n'ont-ils jamais été des
nomades, mais toujours des
parasites vivant sur le corps des autres peuples. S'ils ont parfois quitté les régions où
ils avaient vécu jusqu'alors, ce ne fut pas volontairement, mais parce qu'ils furent
chassés à diverses reprises par les peuples lassés
de l'abus qu'ils faisaient de
l'hospitalité qu'on leur avait accordée. La coutume
qu'a le peuple juif de s'étendre
toujours plus au loin est un trait caractéristique
des parasites ; il cherche toujours pour
sa race un nouveau sol nourricier.
Mais cela n'a rien à voir avec le nomadisme, car le
Juif ne songe pas du tout à quitter
la contrée où il se trouve ; il reste à l'endroit où il s'est établi et s'y cramponne à tel
point qu'on ne peut l'en chasser que très difficile
ment, même en employant la violence.
Son extension dans de nouvelles contrées ne se produit qu'au moment où sont
remplies les conditions nécessaires à son existence
sans que pour cela, comme le fait
le nomade, il change d'habitat. Il est et demeure le parasite-type, l'écornifleur qui, tel
un bacille nuisible, s'étend toujours plus foin, si
tôt qu'un sol nourricier favorable l'y
invite. L'effet produit par sa présence est celui des plantes parasites : là où il se fixe, le
peuple qui l'accueille s'éteint au bout de plus ou
moins longtemps.
C'est ainsi que le Juif a, de tous temps, vécu dans
les Etats d'autres peuples ; il formait
son propre Etat qui se dissimulait sous le masque de communauté religieuse tant que
les circonstances ne lui permettaient pas de manifester complètement sa vraie nature.
Mais, s'il lui arrivait de se croire assez fort pour pouvoir se passer de ce déguisement,
il laissait tomber le voile et était subitement ce
que beaucoup n'avaient vouluauparavant ni croire ni voir : le Juif