Houria bouteldja dans ce soir ou jamais

chabadou

Bladinaute averti
Houria Bouteldja entretient avec un bonheur malsain un statut de victime post-colonial.
Elle fera en sorte de transmettre cet état d'âme à ses enfants (si elle en a) et à ses petits-enfants.
Elle voue une haine viscérale au souchien, entretenue avec l'énergie qui la caractérise et ne cache
pas son empathie pour Merah (ne dit-elle pas qu'elle est Merah) et donc si nous suivons son
discours une empathie qui devrait s'étendre au terrorisme.
Quel que soit la terre où il s'exerce? ou uniquement dans les pays occidentaux de sous.... chiens?
Mais ne sont-ce pas les mêmes qui décapitent crucifient, pendent, supplicient, violent
des peuples du moyen-orient?
Mais si Houria Bouteldja est Merah, elle est donc aussi Brahim ou Salah Abdeslam?
également Abdelhamid Abaaoud? autant que Khalid ou Ibrahim El Bakraoui?

Pensez-vous que le 9 septembre 2001 elle ait pu dire "Ahmad Shah Massoud c'est moi"
en apprenant l'assassinat de cet homme ?
 
Houria Bouteldja entretient avec un bonheur malsain un statut de victime post-colonial.
Elle fera en sorte de transmettre cet état d'âme à ses enfants (si elle en a) et à ses petits-enfants.
Elle voue une haine viscérale au souchien, entretenue avec l'énergie qui la caractérise et ne cache
pas son empathie pour Merah (ne dit-elle pas qu'elle est Merah) et donc si nous suivons son
discours une empathie qui devrait s'étendre au terrorisme.
Quel que soit la terre où il s'exerce? ou uniquement dans les pays occidentaux de sous.... chiens?
Mais ne sont-ce pas les mêmes qui décapitent crucifient, pendent, supplicient, violent
des peuples du moyen-orient?
Mais si Houria Bouteldja est Merah, elle est donc aussi Brahim ou Salah Abdeslam?
également Abdelhamid Abaaoud? autant que Khalid ou Ibrahim El Bakraoui?

Pensez-vous que le 9 septembre 2001 elle ait pu dire "Ahmad Shah Massoud c'est moi"
en apprenant l'assassinat de cet homme ?

Pourquoi parler autant de cette enragée, même...
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
Pourquoi parler autant de cette enragée, même...
Parce que ses idées diffusent notamment chez les souchiens de la gauche francaise, et que si on est en désaccord il faut en débattre pour éviter la contamination . Le radicalisme salafiste a été beaucoup tu pour quel résultat ?

Beaucoup pensent que se taire est la meilleure arme, mais l'histoire donne tort à cette pensee et pour paraphraser Churchill on finit par avoir le déshonneur et la guerre.
 
Parce que ses idées diffusent notamment chez les souchiens de la gauche francaise, et que si on est en désaccord il faut en débattre pour éviter la contamination . Le radicalisme salafiste a été beaucoup tu pour quel résultat ?

Beaucoup pensent que se taire est la meilleure arme, mais l'histoire donne tort à cette pensee et pour paraphraser Churchill on finit par avoir le déshonneur et la guerre.

C'est vrai, vu sous cet angle, tu n'as pas tort.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Et alors ?

Sérieux, en fait même quand on dit que vos "sources" sont fausses, vous insistez, voulkez absolument attribuer tous les défauts de la planète à l'Islam ou quoi ? Non mais !
Sur ce fil, tu m'as dit une première fois que ma source était bidon. Or ce n'était pas le cas.
La deuxième fois, tu avais raison : ce n'est pas un hadith sahih... mais la source était Bladi. Cela ne change rien au fond : ce n'est pas un hadith sahih, voilà tout.
Je ne souhaite pas attribuer tous les défauts de la planète à l'Islam. La phrase que j'ai citée ne va pas dans ce sens. Il s'agissait simplement de contrebalancer les sages paroles : "Un Blanc n'est pas supérieur à un Noir, un Arabe n'est pas supérieur à un non-arabe".
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
L'antiracisme selon HB


http://indigenes-republique.fr/y-a-t-il-un-racisme-anti-blanc/

Quand un commerçant blanc refuse d’employer un indigène, c’est du racisme même si ce refus procède d’une simple logique commerciale : préserver sa clientèle habituelle qui, elle, pourrait être raciste ; quand un commerçant marocain refuse d’employer un Blanc et lui préfère un Marocain, ce n’est pas du racisme ; c’est un acte de soutien à un opprimé même si la motivation réelle est tout simplement d’être entre-soi (le fameux « communautarisme ») et même si le commerçant marocain n’aime pas les Blancs.

:malade:
 

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
L'antiracisme selon HB


http://indigenes-republique.fr/y-a-t-il-un-racisme-anti-blanc/

Quand un commerçant blanc refuse d’employer un indigène, c’est du racisme même si ce refus procède d’une simple logique commerciale : préserver sa clientèle habituelle qui, elle, pourrait être raciste ; quand un commerçant marocain refuse d’employer un Blanc et lui préfère un Marocain, ce n’est pas du racisme ; c’est un acte de soutien à un opprimé même si la motivation réelle est tout simplement d’être entre-soi (le fameux « communautarisme ») et même si le commerçant marocain n’aime pas les Blancs.


:malade:

Il existe un partie que a emporté plus de 6,82 millions de voix et Dieu sait ce qu'il préconise concernant la préférence nationale !

Le PIR compte à son actif une centaine de membres ...

:D
 

droitreponse

Initium ut esset homo creatus est
Il existe un partie que a emporté plus de 6,82 millions de voix et Dieu sait ce qu'il préconise concernant la préférence nationale !

Le PIR compte à son actif une centaine de membres ...

:D
Placer le PIR au niveau des identitaires d'extrême droite est votre propos .
Je ne vous donne pas tort, là où je ne suis pas la logique c'est qu'une centaine ( en réalité bien plus du point de vue de la mentalité) contre plusieurs millions, ça sent l'impasse ( au mieux ).
 
Critique littéraire au vitriol de Marianne sur le livre de Houria Bouteldja : "les Blancs, les Juifs et nous"

Houria Bouteldja ou le racisme pour les nuls
Quand la porte-parole du parti des Indigènes de la République décerne des permis de discrimination anticommunautaires selon des critères pour le moins communautaristes. Sidérant.
Détourner un avion est spectaculaire et dangereux. Détourner des valeurs est moins spectaculaire, mais tout aussi dangereux. Tel est l'exercice auquel se livre Houria Bouteldja, égérie des Indigènes de la République, dans son dernier ouvrage, les Blancs, les Juifs et nous, petit bréviaire de l'antiracisme détourné en racialisme décomplexé.

Pour ce genre d'exercice, mieux vaut avoir des parrains. On se référera donc à Sartre. Attention ! Pas n'importe quel Sartre, mais celui justifiant les attentats de Septembre noir contre l'équipe israélienne participant aux jeux Olympiques de Munich, en 1972 (11 morts). On invoquera alors le principe selon lequel le terrorisme est, certes, une arme terrible, mais nécessaire quand les opprimés n'en ont pas d'autres, argument qui peut servir en d'autres occasions, encore plus sanguinaires. Bravo, donc, à Jean-Paul Sartre, cet homme qui a osé être "un traître à sa race", celle des Blancs - les Blancs racistes, s'entend, ce qui est une tautologie.

On se réclamera également de Jean Genet, qui s'est réjoui de la débâcle française en juin 1940. Genet est formidable, car "il s'en fout, de Hitler". Lui, au moins, va à l'essentiel : la primauté du conflit de race sur le conflit de classe, invariant structurel qui désigne l'ennemi, "le peuple blanc, propriétaire de la France". Evoquant cet enfer hexagonal, on administrera une leçon condescendante aux juifs. On les accusera de prétendre s'intégrer dans le royaume du"racisme républicain" où le "philosémitisme béat" est "le dernier refuge de l'humanisme blanc". On niera évidemment toute forme d'antisémitisme (comment pourrait-on penser une chose pareille ?). Mais on rappellera avec des mots choisis que "pour le Sud, la Shoah est - si j'ose dire - moins qu'"un détail"". Sans illusions, on sommera les juifs de se libérer de "l'Etat-nation français et de l'Etat-nation israélie", ce qui est tout un programme.
 
Pour mettre les points sur les i, on écrira : "J'appartiens à ma famille, à mon clan, à mon quartier, à ma race, à l'Algérie, à l'islam." Dont acte. Pour défendre "nos frères", on ira jusqu'à tenir des propos d'une ambiguïté raffinée sur les droits des homosexuels et sur le féminisme, causes forcément douteuses puisque défendues par des "démocrates blancs". Pour les gays, on rappellera une formule vieille comme le monde, mais qui conserve une fraîcheur intacte : "Nos hommes ne sont pas des pédés." A contrario, on célébrera "la puissance virile de nos hommes" (des vrais, eux).

S'agissant du féminisme, on expliquera qu'il "fait partie des phénomènes européens exportés", autrement dit des marchandises avariées dont il faut se méfier. Histoire de montrer jusqu'à quelles extrémités peut conduire la logique communautariste, on évoquera le cas d'une femme noire violée par un homme noir à qui l'on demande pourquoi elle n'a pas porté plainte. Réponse de cette dernière : "Je ne pouvais pas supporter de voir un homme noir en prison." Un Blanc qui viole une Noire, c'est un crime raciste. Un Noir qui viole une Noire, c'est une affaire de famille.

Pour conclure, on fera le rappel religieux nécessaire en ce pays menacé par une "impiété collective". En effet, Allah "échappe à la raison blanche", alors que, "de sa foi, l'indigène tire sa puissance". Il sait qu'il lui faut condamner "les théories blasphématoires". On précisera même au cas où certains n'auraient pas compris : "Répétons-le autant que nécessaire : Allahou Akbar ! Détournons Descartes et faisons descendre tout ce qui s'élève."

Voilà. On aura rempli sa mission. On pourra ensuite se regarder dans la glace sans être tenté de l'essuyer, ce qui serait pourtant le seul geste salutaire.

http://www.marianne.net/houria-bouteldja-racisme-les-nuls-100241973.html
 
Pour mettre les points sur les i, on écrira : "J'appartiens à ma famille, à mon clan, à mon quartier, à ma race, à l'Algérie, à l'islam." Dont acte. Pour défendre "nos frères", on ira jusqu'à tenir des propos d'une ambiguïté raffinée sur les droits des homosexuels et sur le féminisme, causes forcément douteuses puisque défendues par des "démocrates blancs". Pour les gays, on rappellera une formule vieille comme le monde, mais qui conserve une fraîcheur intacte : "Nos hommes ne sont pas des pédés." A contrario, on célébrera "la puissance virile de nos hommes" (des vrais, eux).

S'agissant du féminisme, on expliquera qu'il "fait partie des phénomènes européens exportés", autrement dit des marchandises avariées dont il faut se méfier. Histoire de montrer jusqu'à quelles extrémités peut conduire la logique communautariste, on évoquera le cas d'une femme noire violée par un homme noir à qui l'on demande pourquoi elle n'a pas porté plainte. Réponse de cette dernière : "Je ne pouvais pas supporter de voir un homme noir en prison." Un Blanc qui viole une Noire, c'est un crime raciste. Un Noir qui viole une Noire, c'est une affaire de famille.

Pour conclure, on fera le rappel religieux nécessaire en ce pays menacé par une "impiété collective". En effet, Allah "échappe à la raison blanche", alors que, "de sa foi, l'indigène tire sa puissance". Il sait qu'il lui faut condamner "les théories blasphématoires". On précisera même au cas où certains n'auraient pas compris : "Répétons-le autant que nécessaire : Allahou Akbar ! Détournons Descartes et faisons descendre tout ce qui s'élève."

Voilà. On aura rempli sa mission. On pourra ensuite se regarder dans la glace sans être tenté de l'essuyer, ce qui serait pourtant le seul geste salutaire.

http://www.marianne.net/houria-bouteldja-racisme-les-nuls-100241973.html

Houria Bouteldja Défend son fond de commerce (statut victimaire) aussi pitoyablement que Finkielcraut avec le peuple élu (on a trop souffert)

deux fond de commerce dont l'un est plus lucratif que l'autre en raison de la mainmise d'une certaine communauté sur les médias français....

bref, font partis de la poubelle de l'Histoire
 
En fait, côté racisme décomplexé le PIR semble pire que le FN... Pour une association soit-disant "anti-raciste", c'est plus qu'inquiétant.

C'est du même niveau que l'autre et ses "camps interdits aux blancs".. .Il y en a qui se servent allègrement du racisme en prétendant combattre le racisme, et en arguant à titre de défense apriori que de toute façon, "le racisme anti-blanc ca n'existe pas, voyons"...
 
C'est du même niveau que l'autre et ses "camps interdits aux blancs".. .Il y en a qui se servent allègrement du racisme en prétendant combattre le racisme, et en arguant à titre de défense apriori que de toute façon, "le racisme anti-blanc ca n'existe pas, voyons"...
Ce camp d'été est organisé par des proches du PIR, ceci expliquant peut-être cela...
 
Qu'on aime le style ou qu'on aime pas, j'ai un grand respect pour cette femme qui est intelligente, cultivée, et qui connait son sujet. Quand on bosse tant d'années comme elle sur la question post coloniale ( qui qu'on le veuille ou non existe toujours) , on peut pas cracher dans la soupe.

Ceux qui la critiquent parmi les maghrébins musulmans, me font doucement rire, essayez de faire pareil pour voir.. Après je n'aime pas toujours son style incisif, elle se trompe parfois de débat ( personne n'est parfait) et oui elle a l'air trop vener de la vie. Elle gagnerait plus à poser ses discours d'un ton plus serein, prendre des vacances au soleil et revenir fraiche ( lol) pour faire passer ses arguments tout en douceur comme une lettre à la poste, ca serait encore plus jouissif.

Qu'on le veuille ou non, elle dit des vérités, et je trouve assez marrant certains maghrébins ( surtout hommes ) qui lui crachent dessus alors qu'en tant qu'hommes ils devraient avoir honte d'avoir moins de c...... qu'elle pour aller parler, et défendre leur dignité sur les plateaux télés..

C'est bien connu que quand on veut piquer son chien on dit qu'il a la rage..

Ce que je trouve intéressant chez Houria ( qui porte bien son nom = libérté) c'est qu'elle a été une des premières personnes à remarquer que le racisme anti maghrébin et anti musulman en france, n'est pas fondé contrairement à ce que l'on croit sur un clivage de classe sociale ( riches/ pauvres ouvriers) . Etant issue d'un milieu plutôt privilégié j'ai été aux premieres loges pour le constater, tout comme des panafricains comme Kemi Seba, fils de médecin qui lui même a constaté que ce racisme structurel dépassait totalement les clivages riches pauvres.. Que c'était un racisme bien plus profond que ça, structurel et condescendant..

J'ai visionné CSOJ dans lequel elle intervient et je ne vois rien de mal à ce qu'elle dit même si je n'apprécie pas trop sa rhétorique avec le vocabulaire " blancs" car pour moi les maghrébins sont des blancs, même si j'ai compris pourquoi elle utilise ce vocabulaire.. En fait elle a une théorie , des arguments qui se tiennent et elle a bossé son sujet. Ceux qui la méprisent ont juste le seum de voir une femme maghrébine ( donc appartenant à une double catégorie méprisée en France) dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.
 
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