Ici, c’est la maison du Shaytan » : à Rouen, l’église St-Sever profanée par un homme muni d’un couteau

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« Ici, c’est la maison du Shaytan » : à Rouen, l’église St-Sever profanée par un homme muni d’un couteau​

Un individu a été interpellé, lundi 2 décembre 2024, suite à plusieurs dégradations constatées dans l’église Saint-Sever de Rouen.

Le suspect originaire de Rouen a avoué les dégradations

Près de Rouen, calice, croix, hosties « d’une valeur inestimable » dérobés dans deux églises

« Ici, c’est la maison du Shaytan »​

Les policiers procédaient aux constatations suite au signalement du curé de l’église, lorsque, vers 17 heures, un homme de 37 ans entre dans l’édifice religieux, s’assoit sur un banc en posant ses pieds sur le dossier, cigarette allumée à la main. « Ici, c’est la maison du Shaytan (le diable en arabe) », répète-t-il en boucle.

Contrôlé par la police en possession d’un couteau en métal de 20 cm, le suspect originaire de Rouen avoue les dégradations. Il a été conduit à l’hôtel de police et placé en garde à vue. Au vu de son état psychique, il a été placé en hôpital psychiatrique.

Une plainte bientôt déposée​

Dans un communiqué, le diocèse de Rouen indique qu’«une plainte sera déposée dès que les constatations seront terminées. La paroisse Saint-Sever – Saint-Clément est déterminée à ce que l’église Saint-Sever demeure un lieu de prière ouvert à tous».


Les grands médias (ou "mainstream") n'en parleront pas. Et pourtant, cela est assez fréquent.

Alors je sais, faut pas amalgamer, ce n'est "qu'un cas isolé", tout ça tout ça... Ma mère a déjà été emm§erdée deux fois dans son église de quartier par des "jeunes" trouvant malin d'interrompre une prière par un "Allah Akbar" en jetant des pétards dans l'église (et heureusement, ils n'avaient pas de couteaux contrairement à ce cas près de Rouen)

ça plaide vachement pour le vivre ensemble, non ?
 
Dernière édition:
Bien dans ce cas-ci le mec n'avait plus toute sa tête, semble-t-il.

On peut pas trop accuser une « communauté » ou une « idéologie » pour les errements d'un fou.
 
Les habitants de Clermont-d'Excideuil en Périgord vert ont découvert des tags dans le bourg et une cinquantaine de tombes taguées ce lundi 11 mars au petit matin. Des inscriptions similaires aux tags retrouvés sur les calvaires de villages voisins ces dernières semaines.

La stupeur est totale dans le village de Clermont-d'Excideuil, 240 habitants en Périgord vert. Ce lundi 11 mars au matin, une adjointe au maire a découvert des tags sur la stèle du 19 mars 1962, le monument aux morts et une cinquantaine de tombes du cimetière. Plusieurs calvaires ont également été tagués dans la commune.

Une cinquantaine de tombes taguées​

Sur la porte de l'église, une inscription : "Ramadan". Sur les tombes, des inscriptions "Allah", "chiens gwers" ou encore "l'ours musulman se réveille". Des inscriptions qui ressemblent, a priori, aux tags déjà retrouvés sur des calvaires des villages voisins ces dernières semaines, à Saint-Pantaly-d'Excideuil, Cheveix-Cubas ou encore Coulaures.

"On est sous le choc", souffle Lydie Gaune-Cochard, la deuxième adjointe. Les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie sont venus dans la matinée, pour faire des relevés sur les tombes profanées.

 
"Raciste", "sioniste", "juif", "Allah" : des tags découverts une nouvelle fois dans un cimetière de Dordogne

82 tombes dégradées​

Des dizaines de tombes ont été recouvertes d'inscriptions à la bombe de peinture noire : "Allah", "lâches", "Je vous hais", ainsi que des tags faisant référence à des personnalités politiques ou des faits-divers. Des tags annoncent des dates de mort de Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen ou Jordan Bardella, ou encore de Pascal Praud, d'autres font référence à Mila ou "vengeance pour Cherbourg".

Des tags avaient déjà été constatés depuis le mois de décembre dans les villages alentour, sur des calvaires de Saint-Pantaly-d'Excideuil, Cherveix-Cubas, Saint-Mesmin et Coulaures. Un premier cimetière avait été tagué à Clermont d'Excideuil début mars. "C'est la même chose que dans les autres villages, notamment à Clermont", pense le maire de Tourtoirac.
 
"Cimetière de Kouffar (mécréants), cimetière de Khanez (puants)", une vidéo montrant un employé communal d'Auderghem avait fait polémique vendredi dernier. L'auteur se filmait dans le cimetière d'Auderghem, durant ses heures de travail, et y insultait les morts et leurs tombes présentes dans le cimetière, en les affichant sur ses réseaux sociaux.

 
"Cimetière de Kouffar (mécréants), cimetière de Khanez (puants)", une vidéo montrant un employé communal d'Auderghem avait fait polémique vendredi dernier. L'auteur se filmait dans le cimetière d'Auderghem, durant ses heures de travail, et y insultait les morts et leurs tombes présentes dans le cimetière, en les affichant sur ses réseaux sociaux.

on ne sait pas qui sont ces personnes, pour qui ils travaillent, dans quel but...
 
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