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PLD (Peace, Love and Diversity)
http://www.dhnet.be/actu/faits/idee...es-ne-s-ameliore-pas-5c0560f6cd70fdc91bc6259a
Idées noires, état dépressif sévère: l'état de plusieurs victimes des attentats de Bruxelles ne s'améliore pas
ABONNÉS GILBERT DUPONT Publié le mardi 04 décembre 2018 à 06h48 - Mis à jour le mardi 04 décembre 2018 à 08h05
FAITS DIVERSDes rapports psychiatriques exclusifs: "Idées noires, état dépressif sévère. Nous ne notons aucune amélioration."
Au physique, Michael, 42 ans, n’a pas été blessé. Rien. Employé à Brussels Airport, il a échappé aux explosions. Il était à l’abri, dans un local situé dans le hall des départs. Mais il a vu, dans les fumées et les odeurs de brûlé, les corps gisant sur le sol, et entendu les cris.
Il en est à son septième neuropsychiatre. Et tous relèvent "sa grande volonté de s’en sortir". Il n’a pourtant aujourd’hui toujours pas repris le travail : "État de stress post-traumatique avec ampleur anxio-dépressive sévère."
Et Michael s’en est sorti sans une égratignure. Que dire alors des autres ?
Quand ses premiers thérapeutes l’examinent en septembre 2016, les attentats datent de six mois : "Nous ne notons aucune amélioration. Méfiance vis-à-vis du monde extérieur, peur d’un nouvel attentat, il ne sort de chez lui qu’accompagné de quelqu’un."
Deux mois plus tard, novembre 2016 : "Peu d’amélioration. […] Les attentats se déroulant dans le monde ravivent continuellement l’événement traumatique et les symptômes qui en découlent."
source DHnet
Idées noires, état dépressif sévère: l'état de plusieurs victimes des attentats de Bruxelles ne s'améliore pas
ABONNÉS GILBERT DUPONT Publié le mardi 04 décembre 2018 à 06h48 - Mis à jour le mardi 04 décembre 2018 à 08h05
FAITS DIVERSDes rapports psychiatriques exclusifs: "Idées noires, état dépressif sévère. Nous ne notons aucune amélioration."
Au physique, Michael, 42 ans, n’a pas été blessé. Rien. Employé à Brussels Airport, il a échappé aux explosions. Il était à l’abri, dans un local situé dans le hall des départs. Mais il a vu, dans les fumées et les odeurs de brûlé, les corps gisant sur le sol, et entendu les cris.
Il en est à son septième neuropsychiatre. Et tous relèvent "sa grande volonté de s’en sortir". Il n’a pourtant aujourd’hui toujours pas repris le travail : "État de stress post-traumatique avec ampleur anxio-dépressive sévère."
Et Michael s’en est sorti sans une égratignure. Que dire alors des autres ?
Quand ses premiers thérapeutes l’examinent en septembre 2016, les attentats datent de six mois : "Nous ne notons aucune amélioration. Méfiance vis-à-vis du monde extérieur, peur d’un nouvel attentat, il ne sort de chez lui qu’accompagné de quelqu’un."
Deux mois plus tard, novembre 2016 : "Peu d’amélioration. […] Les attentats se déroulant dans le monde ravivent continuellement l’événement traumatique et les symptômes qui en découlent."
source DHnet