les marocaines que j'ai cité sont des victimes d'ordures et de mentalité ordurière ...Les mêmes mecs qui font croire à un mariage à des femmes sérieuses volent la virginité et vont au bled profiter de la misère de ces femmes.
je ne parle pas d'une catégorie de prostitués qui font ça tranquillou. Mais de pauvres femmes victimes et violés depuis gamines un classique au Maroc et Tunisie
Normalement c'est aux hommes marocains d'avoir une fierté et de protèger leurs femmes. Mais les mecs sont les premiers consommateurs. En France les mecs de cités dealers de drogues qui ramènent leurs potes comme la bonne bourgeoisie marocaine qui en profitent un max...
et ces pauvres femmes se retrouvent dans des réseaux aux quatres coins du monde
On les retrouve partout à Abidjan et volent la vedette aux Ivoiriennes. Elles, ce sont les Marocaines qui sont devenues les reines de la séduction et de la prostitution dans le pays de l’ivoire.
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«Mais, bien plus que la prostitution sur la voie publique ou dans des boites de nuit, très apparente, c’est un système bien plus ficelé et fantôme», rappelle le journal.
Assabah explique en effet que ces Marocaines sont souvent exploitées par des réseaux de proxénétisme. Ces jeunes filles, issues pour la plupart de la région de Casablanca, sont très fragiles économiquement et émotionnellement. Leur passeport est confisqué dès leur arrivée à Abidjan, où elles sont encadrées et contrôlés par des proxénètes. Certaines d’entre elles sont enfermés en cas de désobéissance. Elles ont bâti un empire, mais vivent un enfer.
Il y deux ans déjà, le quotidien français Le Monde consacrait un reportage à ces prostituées marocaines à Abidjan et en particulier l’histoire d’une proxénète du nom de Souad. La Côte d’Ivoire offre un cadre idyllique pour la prostitution marocaine. La loi ivoirienne condamne le proxénétisme et le racolage, pas la prostitution, souligne le reporter. Elles ont entre 22 et 30 ans, la plupart originaires de Casablanca et ses banlieues, et pratiquent les tarifs les plus élevés de la métropole. Leurs clients ? DEs libanais fortunés, mais aussi saoudiens, émiratis, ou maghrébins, précise l’article qui reste toujours d’actualité. Fait nouveau, l’apparition de Marocaines « free-lance », bêtes noires des proxénètes d’Abidjan.